Plus de 26 millions de Sud-Africains ont commencé lundi matin à se rendre aux urnes. Le parti au pouvoir depuis la fin de l’apartheid pourrait pour la première fois passer sous la barre des 50% des voix.
Accusé de corruption et suspendu, l’ex-secrétaire général du parti au pouvoir en Afrique du Sud, le Congrès national africain (ANC), a décidé d’attaquer le président Cyril Ramaphosa en justice.
Deux ans après son arrivée au pouvoir, Cyril Ramaphosa, sous pression, ne parvient pas à enrayer le déclin des petites villes, en grande difficulté financière.
Le patron de l’ANC et l’ancien Premier ministre de Gnassingbé Eyadéma se disent convaincus de pouvoir constituer une alternative crédible au président sortant Faure Essozimna Gnassingbé lors de l’élection présidentielle du 22 février.
Le maire de Johannesburg, la plus grande ville d’Afrique du Sud, a annoncé lundi 21 octobre sa démission, claquant également la porte de l’Alliance démocratique, principale formation d’opposition du pays, en lui reprochant son approche de la question raciale.
Depuis plusieurs semaines, la juriste Busisiwe Mkhwebane, chargée de contrôler les actes de l’exécutif, accuse le président sud-africain Cyril Ramaphosa d’avoir menti au Parlement.
Sommé de s’expliquer sur les scandales qui ont émaillé ses années de pouvoir, l’ancien président sud-africain se pose en victime d’une vaste conspiration au sein de l’ANC.
L’ancien président sud-africain Kgalema Motlanthe appelle le parti anti-apartheid à se renouveler d’urgence et prévient que « chaque petite malversation ou malfaisance sera punie par les urnes ».
Frederik Willem De Klerk, dernier président du régime d’apartheid en Afrique du Sud, est notamment opposé à l’amendement de la Constitution annoncé par l’ANC, qui vise à accélérer la réforme agraire.
Si l’ANC a remporté les élections générales du 8 mai, son socle électoral s’effrite dangereusement. Le président Cyril Ramaphosa réussira-t-il à réformer son parti pour renverser la tendance ?
Le Congrès national africain (ANC) semblait assuré de remporter les élections législatives selon des résultats provisoires jeudi mais avec un score en net recul qui va compliquer la tâche du président Cyril Ramaphosa pour réformer le pays.
Le Congrès national africain (ANC), au pouvoir depuis 1994 en Afrique du Sud, arrive en tête des élections législatives, selon des premiers résultats partiels présentés ce jeudi par la Commission électorale indépendante, portant sur près d’un quart des districts du pays.
Les Sud-Africains votaient mercredi pour des élections législatives et régionales dont le Congrès national africain (ANC), au pouvoir depuis 1994, devrait encore sortir vainqueur malgré le chômage, la corruption et la pauvreté qui gangrènent le pays.
Le président Cyril Ramaphosa a beau promettre le grand ménage, rien n’y fait. À moins d’un mois des élections générales en Afrique du Sud, les scandales de corruption n’en finissent pas de pourrir la campagne de son parti, le Congrès national africain (ANC).
Le principal parti d’opposition sud-africain, l’Alliance démocratique (AD), a promis de mettre un terme à la corruption qui entache l’ANC, le parti au pouvoir, en lançant samedi son manifeste en vue des élections législatives prévues en mai.
Le mouvement social lancé par la Cosatu, le principal syndicat du pays, exige la fin des licenciements à répétition dans le pays, à trois mois des élections générales du 8 mai.
Le président sud-africain Cyril Ramaphosa a annoncé jeudi que les élections générales auraient lieu le 8 mai, dans un long discours devant le Parlement largement consacré à la relance de l’économie et à la lutte contre la corruption.
Le président sud-africain Cyril Ramaphosa a lancé samedi 12 janvier son parti, le Congrès national africain (ANC), dans la course aux élections législatives de mai en promettant de lutter contre le chômage et de corriger les « erreurs » du passé.
L’ancien président sud-africain Thabo Mbeki, poussé à la démission en 2008, s’est récemment opposé à la réforme agraire de Cyril Ramaphosa, l’actuel président.
Une des têtes d’affiche de l’opposition radicale sud-africaine s’est vigoureusement défendue samedi d’avoir bénéficié du pillage organisé d’une banque du pays, une affaire qui secoue la classe politique à quelques mois des élections générales.
Trente ans après l’assassinat de cette figure de l’ANC en France, le 29 mars 1988, le mystère demeure sur l’identité de son auteur et de ses potentiels commanditaires…
Ancien syndicaliste et patron de l’ANC, ce richissime homme d’affaires remplace Jacob Zuma à la tête de l’Afrique du Sud. Mais est-il le mieux placé pour réformer le pays ?
Le nouveau chef de l’État sud-africain Cyril Ramaphosa s’est engagé vendredi à « renverser le cours de la corruption » à la tête de l’État, alors que la présidence de son prédécesseur Jacob Zuma a été éclaboussée par plusieurs scandales.
Le Congrès national africain (ANC) a décidé de « révoquer » le président Jacob Zuma. Le parti a annoncé sa volonté d’engager « les procédures parlementaires nécessaires qui découlent des cette décision ». Ce qui devrait conduire à un nouveau vote de défiance si le président sud-africain n’accepte pas de démissionner.
Après l’échec de la réunion lundi pour décider du sort de Jacob Zuma, la direction du Congrès national africain (ANC) se retrouvera à nouveau mercredi pour discuter de son éventuel départ anticipé, à quelques heures d’un discours important qu’il doit prononcer au Parlement.
Une des instances dirigeantes du Congrès national africain (ANC), au pouvoir en Afrique du Sud, doit se réunir en urgence lundi sur fond d’appels au départ anticipé du président Jacob Zuma, empêtré dans les affaires de corruption.
En 2008, une guérilla agressive entre le président du Congrès national africain (ANC) fraîchement élu, Jacob Zuma, et le chef de l’État, Thabo Mbeki, avait débouché sur la démission du second avant la fin de son mandat. Cyril Ramaphosa rejouera-t‑il pareil scénario, poussant prématurément Zuma vers la sortie ?
Depuis plusieurs mois, Rabat et Tel-Aviv ont la volonté de raviver leurs relations avec les capitales d’Afrique subsaharienne. Na’eem Jeenah, directeur de l’Afro-Middle East Center, à Johannesburg, analyse les réactions de la classe politique et de la société sud-africaine face à ces résolutions.
State capture, en français « captation de l’État » : phénomène de glissement furtif aboutissant à la mainmise des intérêts privés sur ceux de la collectivité. À l’œuvre en Russie, au Brésil, mais aussi, mais surtout, en Afrique.