L’Autorité palestinienne est créée par les Accords de Washington (ou Oslo I), signés conjointement par l’État d’Israël et par l’Organisation de Libération de la Palestine (OLP). Cette entité gouvernementale administre les habitants arabes de Cisjordanie et de la bande de Gaza. Elle est dirigée par un président et une assemblée élue au suffrage universel. L’Autorité palestinienne possède une police sous ses ordres, mais aucun corps d’armée.
Ismaïl Haniyeh, le chef du bureau politique du Hamas, a été tué dans une frappe, mercredi 31 juillet, alors qu’il séjournait à Téhéran. Le mouvement islamiste palestinien accuse Israël et condamne « un lâche assassinat ».
Le président palestinien a choisi l’économiste Mohammad Mustafa pour former un nouveau gouvernement, alors que l’Autorité palestinienne doit préparer l’après-guerre à Gaza.
L’Afrique du Sud a saisi la Cour internationale de justice, réclamant notamment que Tel-Aviv soit condamné pour « génocide ». Pourquoi cette décision de Cyril Ramaphosa ? L’analyse de François Soudan au micro de RFI, dans la Semaine de JA.
Le secrétaire d’État américain poursuit sa tournée au Moyen-Orient et doit s’entretenir avec le président égyptien, Abdel Fattah al-Sissi. Israël, dans le même temps, fait face à des accusations « d’actes génocidaires » devant la Cour internationale de justice.
La communauté internationale doit « agir d’urgence » pour mettre fin à la « catastrophe humanitaire » à Gaza, a déclaré lundi 20 novembre le ministre chinois des Affaires étrangères, Wang Yi, à des diplomates de pays arabes et à majorité musulmane.
Au 43e jour des confrontations entre Israël et le Hamas, qui ont déjà fait quelque 12 000 morts, l’État hébreu resserre un peu plus l’étau sur Gaza. Pour Skander Ounaies, il est encore temps d’éviter le désastre annoncé, et de contrer la rupture définitive qui se profile entre le monde arabe et l’Occident.
Emprisonné depuis vingt ans pour des attentats qu’il n’a jamais reconnus, intransigeant mais favorable à des négociations avec Israël, le leader palestinien reste un symbole d’espoir pour ses compatriotes. Mais Tel-Aviv ne semble guère pressé de le libérer.
Plusieurs milliers d’Algériens ont manifesté, ce jeudi 19 octobre, aux quatre coins du pays en soutien à la Palestine, alors que les rassemblements populaires sont strictement encadrés, sinon interdits, depuis 2021.
Depuis le début des hostilités entre Israël et le Hamas, aux yeux des populations arabes, les pays occidentaux ont définitivement pris fait et cause pour Israël, au mépris du droit international.
Le président de l’Autorité palestinienne a mis plusieurs jours à réagir au déclenchement d’une nouvelle guerre entre Israël et le Hamas. Mais est-il encore audible ?
Pour sa première visite en Arabie saoudite depuis la réconciliation entre les deux pays, le ministre iranien des Affaires étrangères a appelé à l’unité des musulmans et tenté de contrecarrer les efforts américains visant à pousser les pays arabes à normaliser leurs relations avec Israël.
C’était un 14 août, en 1994. Le Vénézuélien Ilich Ramirez Sanchez, surnommé « Carlos », était arrêté au Soudan. La fin d’une cavale de plusieurs années pour celui qui était aussi un lecteur assidu de Jeune Afrique.
Accusée de « normalisation » avec Israël, alors qu’elle s’était produite à Jérusalem-Est et à Ramallah, en Cisjordanie occupée, la chanteuse tunisienne a été déprogrammée de manière incompréhensible du Festival international de Hammamet.
Alors qu’Israël vient de reconnaître la souveraineté du Maroc sur le Sahara et que le Premier ministre Benyamin Netanyahou est invité en visite officielle au Maroc, Jeune Afrique revient sur un évènement qui, en 1999, aurait pu changer la physionomie des relations israélo-arabes.
Rabat a officiellement décidé d’ajourner ce forum réunissant les États-Unis ainsi qu’Israël et des partenaires arabes, censé se tenir pendant l’été au Maroc, en raison des violences en Cisjordanie occupée, a annoncé le 23 juin le chef de la diplomatie marocaine, Nasser Bourita.
La Palestine est une présence fantomatique dans les couloirs de notre imaginaire, un rappel insidieux du malheur qui nous guette tous. On l’oublie, mais elle ne nous oublie pas.
Depuis la normalisation des relations diplomatiques entre Israël et le Maroc en décembre 2020, Alger ne cesse de reprocher à Rabat son désengagement de la cause palestinienne. Pourtant, les projets du Comité Al-Qods, présidé depuis sa création par le roi du Maroc, laissent penser le contraire. Qu’en est-il réellement ?
Si le déploiement de l’armée israélienne sur l’esplanade des Mosquées à Jérusalem a provoqué la colère des États arabes, les deux voisins du Maghreb ont surtout trouvé dans ces événements de quoi nourrir leur antagonisme.
Dans un rapport publié le 1er février, l’ONG Amnesty International dénonce l’existence d’un système d’apartheid progressivement mis en place par Israël à l’encontre de ses citoyens arabes. Des accusations que rejette l’État hébreu, qui qualifie le rapport d’« antisémite ».
Un an après la normalisation des relations entre Rabat et Tel-Aviv, le Royaume peut-il réellement jouer un rôle de médiateur dans le conflit israélo-palestinien ? Eléments de réponse.
Malgré l’instauration d’un cessez-le-feu le 21 mai dernier, les tensions restent vives entre Israéliens et Palestiniens. Seuls des dirigeants pragmatiques leur permettront de progresser vers la paix.
Au-delà de son lourd bilan humain, la dernière guerre entre Israël et le Hamas nous dit des choses inédites et graves sur l’éloignement des perspectives de paix, mais aussi sur la responsabilité des puissances occidentales et arabes dans l’aggravation de la situation.
Dakar manifeste depuis dix jours son soutien au peuple palestinien. Tout en tâchant de préserver au maximum ses relations avec Israël. Un équilibre parfois difficile à tenir pour le président sénégalais.
Des incidents à la mosquée Al-Aqsa aux bombardements sur la bande de Gaza, les derniers événements au Proche-Orient ont suscité un élan de solidarité pour les Palestiniens en Tunisie.
Les heurts entre Palestiniens et la police israélienne sur l’esplanade des Mosquées de la Ville sainte ont provoqué des réactions d’indignation dans le monde entier. ONU, Union européenne, pays arabes… tous appellent l’État hébreu à faire preuve de « retenue » afin de « mettre un terme à la violence ».
Fervent défenseur de la solution à deux États, le secrétaire général de l’Organisation de libération de la Palestine (OLP) s’est éteint ce 10 novembre, victime du Covid-19.
Ce 1er juillet devait marquer le début du passage sous souveraineté israélienne d’une partie de la Cisjordanie. Mais face à la réprobation générale et aux risques d’embrasement, Benyamin Netanyahou semble contraint de repousser l’échéance.
Encouragé par le plan Trump, Israël se prépare à coloniser 30% de la Cisjordanie, le 1er juillet. Les Palestiniens, furieux, menacent d’une troisième Intifada. La dynamique de l’escalade est enclenchée.