L’Autorité palestinienne est créée par les Accords de Washington (ou Oslo I), signés conjointement par l’État d’Israël et par l’Organisation de Libération de la Palestine (OLP). Cette entité gouvernementale administre les habitants arabes de Cisjordanie et de la bande de Gaza. Elle est dirigée par un président et une assemblée élue au suffrage universel. L’Autorité palestinienne possède une police sous ses ordres, mais aucun corps d’armée.
Félix Tshisekedi a profité de sa visite aux États-Unis pour annoncer la reprise des relations diplomatiques entre la RDC et Israël, ainsi que son soutien au plan de paix controversé de Donald Trump, au risque de déclencher une polémique, notamment avec certains de ses alliés du FCC. Retour sur un revirement diplomatique.
Hael Al Fahoum, l’ambassadeur de Palestine à Tunis, revient sur le plan de paix américain pour le Proche-Orient, contre lequel Tunis et Ramallah travaillent main dans la main.
Chercheure au CNRS (CERI-Sciences Po), Stéphanie Latte Abdallah décrypte les enjeux entourant la proposition du président américain Donald Trump pour résoudre le conflit israélo-palestinien. Et souligne l’influence qu’elle pourrait avoir sur les modes d’action de la lutte palestinienne.
Les Palestiniens et leurs alliés ont immédiatement désavoué le plan de paix pour le Proche-Orient du président Trump, présenté mardi 28 janvier, et favorable à Israël. Tour d’horizon des réactions.
Si le « Deal du siècle » est soutenu par le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou, en difficulté sur le plan domestique, il est catégoriquement rejeté par la diplomatie palestinienne, le chef de l’Autorité palestinienne, mais aussi le Hamas.
Malgré le soutien inconditionnel de Donald Trump à la politique expansionniste de Benyamin Netanyahou, le négociateur en chef de l’Autorité palestinienne veut continuer de croire au rêve d’une paix durable avec Tel-Aviv.
« Accord du siècle », solution à deux États, position américaine… Le négociateur en chef de l’Autorité palestinienne fait le point sur l’impasse dans laquelle se trouve le processus de paix israélo-palestinien.
Le documentaire « Le char et l’olivier, une autre histoire de la Palestine », en salles à partir de ce mercredi 6 novembre, raconte l’origine des territoires palestiniens à travers des entretiens avec des historiens, diplomates et experts internationaux. Un éclairage intéressant malgré l’absence de contre-arguments.
Première membre d’origine palestinienne de la Chambre des représentants, élue avec 84% des voix, Rashida Tlaib a réussi à faire bouger les lignes sur la question palestinienne. Et se bat bec et ongles, avec trois autres élues démocrates, pour obtenir la destitution de Donald Trump.
Au lendemain des élections législatives anticipées en Israël, l’écrivain et psychanalyste juif porte un regard sans concession sur la politique de Tel-Aviv, dont la critique est pour lui un impératif éthique.
Alors qu’Israël continue de se « droitiser », les jeunes Palestiniens, en rupture avec l’ancienne génération, estiment que la violence peut leur apporter des gains politiques. Quelques jours avant les élections législatives israéliennes, le politologue Khalil Shikaki revient sur les enjeux du scrutin.
Cinq mois après avoir voté sans permettre l’élection d’un Premier ministre, les Israéliens retourneront aux urnes le 17 septembre au terme d’une campagne sans saveur où la question palestinienne a encore été largement occultée.
Le célèbre défenseur marocain de la cause palestinienne Khalid Sefiani a rejoint à la mi-août les opposants à l’introduction du français comme langue d’enseignement dans les écoles du royaume.
Icône palestinienne de la lutte contre l’occupation israélienne, Ahed Tamimi a voyagé à l’étranger après sa sortie de prison en juillet 2018, avant d’être victime récemment d’un accident de la route près de Ramallah.
Le « deal du siècle » imaginé par l’administration de Donald Trump et censé mettre un terme au conflit israélo-palestinien, avec des investissements en Cisjordanie et à Gaza, s’est soldé par un fiasco. Les Palestiniens ne sont pas prêts à renoncer à leurs droits.
Malgré les tentatives d’intimidation de la ministre de la Culture, le fonds public israélien consacré au septième art continue de financer des films (très) critiques à l’égard de l’État hébreu.
Depuis son élection, l’hôte de la Maison-Blanche s’ingénie à prendre de court ses collaborateurs comme ses alliés, notamment en ce qui concerne le monde arabe.
En Palestine, en Érythrée, au Venezuela, en Syrie… Partout des femmes, des hommes et des enfants voient leurs droits bafoués et sont victimes de détention arbitraire, de torture, d’agression sexuelle ou de meurtre, déplore Graça Machel, à l’occasion du 70e anniversaire de la Déclaration universelle des droits de l’homme.
L’Australie a annoncé samedi qu’elle reconnaissait Jérusalem-Ouest comme capitale d’Israël tout en précisant que le déménagement de sa mission diplomatique de Tel-Aviv devra attendre la conclusion d’un accord de paix entre Israéliens et Palestiniens.
Avec son film « Screwdriver », racontant l’impossible réadaptation d’un ancien détenu, le réalisateur palestinien Bassam Jarbawi veut mettre des visages et des émotions sur le calvaire de son peuple.
Ahed Tamimi est arrivée lundi 1er octobre en Tunisie, où elle a été invitée par le président tunisien Béji Caïd Essebsi. Une occasion pour la présidence de réaffirmer le soutien de la Tunisie à la cause palestinienne.
Drame humanitaire, bavures à répétition, objectifs flous, divergences entre alliés… Le bourbier yéménite commence à faire pâlir l’étoile du prince héritier Mohamed Ibn Salman, dont la plupart des choix se sont pour l’instant révélés hasardeux, sinon désastreux.
La mort d’une soixantaine de manifestants palestiniens vaut à l’État hébreu de vives condamnations internationales. Outre la polémique sur le recours à la force, la stratégie israélienne pose question dans un territoire au bord du désastre humanitaire.
Au lendemain de la répression meurtrière qui a fait plusieurs dizaines de morts à la frontière entre Gaza et Israël, retour sur 70 années durant lesquelles les dirigeants israéliens se sont radicalisés, au risque de déboucher sur un régime d’apartheid.
Frappes en Syrie, conflit israélo-palestinien, élections en Libye, guerre au Yémen… Les enjeux sont nombreux pour ce 29e sommet de la Ligue arabe se tient dimanche 15 avril, à Dammam et qui réunira 21 chefs d’État arabes.
Le journaliste et historien français répond ici à Francis Kalifat, président du Crif, qui demandait en novembre que la « définition qui prend en compte l’antisionisme comme forme nouvelle de l’antisémitisme soit transposée dans l’arsenal législatif français ».
« Wajib, l’invitation au mariage », de la Palestinienne Annemarie Jacir, sort ce mercredi 14 février dans les salles françaises. Un road-movie tendre et drôle sur le fossé générationnel et idéologique entre un père et son fils, Arabes israéliens.