L’Autorité palestinienne est créée par les Accords de Washington (ou Oslo I), signés conjointement par l’État d’Israël et par l’Organisation de Libération de la Palestine (OLP). Cette entité gouvernementale administre les habitants arabes de Cisjordanie et de la bande de Gaza. Elle est dirigée par un président et une assemblée élue au suffrage universel. L’Autorité palestinienne possède une police sous ses ordres, mais aucun corps d’armée.
Le procès de l’adolescente, nouvelle icône de la cause palestinienne, s’est ouvert près de Ramallah ce mardi. Malgré les nombreuses mobilisations en sa faveur, elle pourrait écoper d’une lourde peine.
Avec, « L’Insulte », le réalisateur libanais Ziad Doueiri s’interroge sur le soutien aveugle apporté à la cause palestinienne, même quand les victimes deviennent bourreaux.
Un livre récent mettant en cause son comportement immature et extravagant, certains en viennent à songer à une éventuelle destitution du président américain, Donald Trump. Il ne serait pas le premier responsable politique américain à souffrir de déséquilibre mental…
Le point de passage entre l’Égypte et la bande de Gaza, généralement fermé, a rouvert partiellement samedi pour quatre jours, a indiqué le ministère de l’Intérieur du Hamas, au pouvoir dans l’enclave palestinienne.
En reconnaissant Jérusalem comme capitale d’Israël, mercredi 6 décembre, Donald Trump a provoqué une vague de colère au Moyen-Orient qui ne se calme pas. Ce vendredi 15 décembre, à nouveau, le Hamas a appelé à des manifestations. Professeur de philosophie à l’université de Paris-Créteil, Ali Benmakhlouf interroge le rapport du président des États-Unis à cette « réalité » qu’il invoque pour asseoir sa décision.
Tous les trois sont des hommes neufs : ils se sont hissés au pouvoir suprême dans leurs pays respectifs il y a moins d’un an. Depuis, les médias du monde entier accordent à leurs moindres faits et gestes une attention toute particulière. Pas un jour ne passe sans que se révèle quelque chose de nouveau et d’intéressant sur eux.
Lors du sommet extraordinaire de l’Organisation de la coopération Islamique (OCI), à Istanbul, les leaders musulmans ont appelé la communauté internationale à reconnaître Jérusalem-Est comme capitale d’un État palestinien en riposte à la décision de Trump de considérer la ville sainte comme capitale d’Israël.
L’onde de choc continue de se propager dans le monde musulman, après la reconnaissance américaine de Jérusalem comme capitale de l’État hébreu. Des milliers de personnes ont défilé dans les rues en Égypte, en Iran ou en Turquie. Dans la bande de Gaza, un Palestinien a été tué par des tirs de l’armée israélienne.
Dans le désert diplomatique d’un processus de paix qui n’en est plus un, le président américain a pris le risque de mettre le feu aux poudres avec sa décision de reconnaître Jérusalem comme capitale d’Israël.
Le président des Etats-Unis a reconnu mercredi Jérusalem comme capitale d’Israël. Une rupture spectaculaire avec la politique de ses prédécesseurs qui suscite une vague de réprobation et de craintes d’une possible flambée de violence.
Le roi du Maroc interpelle le président américain après que ce dernier a annoncé son intention de transférer l’ambassade des États-Unis en Israël de Tel-Aviv à Jérusalem. Mohammed VI, dont les compatriotes soutiennent largement la cause palestinienne, préside aussi un puissant comité de solidarité avec la ville de Jérusalem, bras armé de l’action diplomatique marocaine dans la région.
Le président de l’Autorité palestinienne Mahmoud Abbas se rendra « dans moins d’un mois » dans la bande de Gaza. Le Hamas et son rival palestinien du Fatah ont annoncé jeudi un premier accord sur les termes concrets de leur réconciliation après deux jours de discussions menées à huis clos au Caire, en Égypte.
Après dix ans de règne chaotique à Gaza, le Hamas renonce à l’exercice du pouvoir et prône désormais la réconciliation avec le Fatah. Poker menteur ou volonté réelle d’apaisement ?
Dix ans après avoir fui Gaza tombé sous la coupe du Hamas, l’ancien chef de la sécurité du Fatah, Mohammed Dahlan, pourrait revenir diriger le territoire. Son atout ? Sa proximité avec certaines puissances arabes de la région.
Le roi du Maroc appelle le Secrétaire général des Nations unies à intervenir d’urgence pour amener Israël à mettre fin à son escalade dangereuse dans la ville d’Al Qods, nom arabe de Jérusalem.
Le point commun entre Wonderwoman, Michel Boujenah, Malek Jaziri ou encore Saber Rebaï ? Une polémique liée à Israël. En Tunisie, comme dans plusieurs autres pays arabes, la question des relations avec l’État hébreu est sensible et la société divisée : à ceux qui prônent une solidarité sans borne envers la cause palestinienne s’opposent les dénonciateurs de débats stériles, voire antisémites.
Les centaines de Palestiniens en grève de la faim depuis 39 jours dans les prisons israéliennes entrent dans une phase critique, a averti le Comité international de la Croix-Rouge (CICR) ce 25 mai.
Près de 1 700 prisonniers palestiniens se montrent solidaires du mouvement de grève de la faim lancé mi-avril par Marouane Barghouti. La popularité de l’ancien chef du Fatah en inquiète plus d’un.
En dévoilant un nouveau programme politique modéré à l’égard d’Israël, le Hamas a fait preuve d’ouverture pour donner le sentiment d’un front palestinien uni… Juste 48 heures avant une rencontre entre Donald Trump et Mahmoud Abbas à la Maison-Blanche, mercredi. Décryptage.
Plus de 1.000 Palestiniens détenus dans les prisons israéliennes ont entamé lundi une grève de la faim collective, un mouvement de protestation inédit depuis des années, lancé par Marwan Barghouthi, leader de la deuxième Intifada condamné à la perpétuité.
Les membres de l’organisation relancent le plan de paix proposé par feu le roi saoudien Abdallah Ibn Abdelaziz en 2002 pour régler le conflit israélo-palestinien.
La Jordanienne Rima Khalaf, secrétaire générale adjointe de l’ONU, vient de claquer la porte. Elle avait refusé l’ordre de sa hiérarchie de retirer un rapport accusant Israël d’apartheid.
Cinq ans après avoir été libéré par Tel-Aviv, cet « extrémiste » notoire, dixit les responsables sécuritaires israéliens, prend la tête du mouvement islamiste à Gaza.
Donald Trump a affirmé mercredi 15 février que la « solution à deux États » n’était pas la seule possible pour régler le conflit israélo-palestinien, assurant être ouvert à des alternatives si celles-ci mènent à la paix.
Ben Bella, Boumédiène, Chadli, le Sahara… Les archives déclassifiées de l’agence américaine constituent une plongée fascinante dans les arcanes du pouvoir algérien entre 1962 et 1988.
Le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, a défendu samedi par la voie de son porte-parole son choix de l’ancien Premier ministre palestinien Salam Fayyad comme émissaire de l’ONU en Libye, une nomination qui a été bloquée par les États-Unis.
À l’issue d’un vote onusien contre les colonies israéliennes, initié entre autres par le Sénégal, Benyamin Netanyahu à convoqué son ambassadeur à Dakar et ordonné l’annulation de toutes les aides accordées au pays.
En échange de l’évacuation d’une petite colonie de Cisjordanie, l’extrême droite tente de faire voter une loi facilitant l’annexion de territoires palestiniens. Au risque d’exposer le pays à des sanctions de l’ONU.