La Banque africaine de développement (BAD) est une institution financière multilatérale régionale créée en 1964 dans le but de contribuer au développement économique durable et au progrès social des pays africains. Basée à Abidjan en Côte d’Ivoire, elle regroupe 54 pays africains membres et 26 pays non-africains. Son rôle principal est de mobiliser des ressources pour promouvoir l’investissement en Afrique, fournir une assistance technique et des conseils, tout en finançant des projets structurants dans des domaines clés comme l’agriculture, la qualité de vie, l’intégration régionale, l’énergie et l’industrialisation, dans l’objectif de faire reculer la pauvreté via un développement durable sur le continent.
Le président de la Banque africaine de développement (BAD) a achevé sa prestigieuse liste de vice-présidents et peut désormais terminer la grande réorganisation qu’il a entreprise. Un défi loin d’être aisé à relever.
À l’issue de la première journée de la conférence des bailleurs et investisseurs pour Madagascar qui se tient à Paris jeudi et vendredi, la Grande Île a récolté plus de 6,4 milliards de dollars d’engagements.
Dans un entretien à Jeune Afrique, la Banque africaine de développement indique qu’une partie de ses équipes quittera le siège pour
rejoindre ses cinq bureaux régionaux. On sait déjà que trois de ces bureaux seront situés à Johannesburg, Nairobi et Tunis.
En déplacement à Marrakech à l’occasion de la COP 22, la ministre française de l’Environnement et gardienne de l’esprit de l’accord de Paris a annoncé l’installation prochaine d’une antenne auprès de la Banque africaine de développement (BAD). Cette antenne gérera les dix milliards de dollars mobilisés pour les initiatives africaines en matière d’énergies renouvelables. Interview.
C’est le 21 novembre prochain, à l’occasion de l’Africa Day 2016, que la BAD et la Banque européenne d’investissement (BEI) lanceront leur projet commun, Boost Africa.
Union africaine, projet d’électrification de Borloo… L’ex-patron de la BAD ne manque pas de sollicitations. Pour l’heure, il continue de dispenser ses conseils aux institutions comme aux entreprises.
Baptisé « Nourrir l’Afrique », le nouveau plan de la Banque africaine de développement (BAD) sur la période 2016-2025 se concentre sur le développement de 18 « chaînes de valeurs intégrées » sur le continent.
La Banque africaine de développement (BAD) va fournir 830 milliards de F CFA (1,2 milliard d’euros) sur la période 2016-2020 au Sénégal pour développer ses infrastructures et soutenir la transformation agricole.
Créée par la BAD il y a six ans pour fournir son aide aux pays d’Afrique dans leurs négociations commerciales, la Facilité africaine de soutien juridique (ALSF) reçoit le soutien de l’organisme américain Institute for Public-Private Partnership (IP3).
La Banque africaine de développement (BAD) a été l’un des principaux acteurs de la 6e Conférence de Tokyo pour le développement en Afrique (Ticad VI), organisée les 27 et 28 août à Nairobi. Charles Boamah, vice-président pour la finance de la BAD, a répondu aux questions de « Jeune Afrique » sur la place de l’institution panafricaine dans la coopération entre le Japon et les pays du continent.
Le président du groupe BAD, Akinwumi Adesina, n’est pas rentré les mains vides du Maroc, où il a présidé, le 21 juillet, la deuxième assemblée générale des actionnaires du fonds Africa 50.
À l’occasion de la deuxième assemblée générale du fonds piloté par la BAD, de nouvelles institutions rejoignent le tour de table. La Banque centrale marocaine et la BCEAO ont injecté 25 millions de dollars dans ce véhicule d’investissement panafricain spécialisé dans les infrastructures.
La Banque africaine de développement (BAD) a approuvé deux prêts d’une valeur totale de 410 millions d’euros en appui à la réforme du secteur financier au Maroc et en Tunisie.
Ce prêt va financer la construction d’une autoroute de 24 kilomètres en Ouganda et la réhabilitation de 208 kilomètres de voies routières au Rwanda. Ces deux projets sont intégrés aux corridors routiers reliant ces deux pays enclavés aux ports de Mombasa (Kenya) et Dar es Salam (Tanzanie).
La Banque africaine de développement (BAD) a accordé un prêt de 88,85 millions d’euros au Maroc pour financer un vaste projet d’amélioration de la qualité et du service de l’eau potable.
Quatre ans après la création du Fonds africain de garantie (AGF), un millier d’entreprises ont obtenu des financements. Un résultat satisfaisant pour le patron ivoirien, qui ne compte pas s’arrêter en si bon chemin.
Lors des assemblées générales annuelles de la Banque africaine de développement (BAD) à Lusaka, le nouveau président de l’institution a affirmé son style. Et dévoilé ses cinq priorités pour le continent.
À travers son nouveau plan national de développement, l’État espère enfin atteindre une croissance vraiment inclusive. Car les Ivoiriens les plus vulnérables attendent toujours que les progrès économiques du pays se concrétisent davantage dans leur quotidien.
Verre à moitié plein ou à moitié vide, c’est selon. L’Afrique du Nord, Égypte inclue, est la seule région du continent à avoir connu une augmentation de sa croissance entre 2014 et 2015, de +1,4 % à +3,2 %. Pour autant, ce pourcentage reste en-deçà des résultats des autres régions africaines à la croissance, certes en recul, atteint +3,5 %.
La Banque africaine de développement a annoncé la création d’un comité spécial constitué d’experts de haut niveau en vue d’accélérer la mise en œuvre de sa stratégie 2013-2022. De fait, un travail d’harmonisation est attendu avec les Objectifs du développement durable et les priorités fixées par Akinwumi Adesina, le nouveau patron de la Banque africaine de développement.
Personne n’aime être porteur de mauvaises nouvelles. Est-ce la raison pour laquelle ni leurs gouvernants ni l’Union africaine n’ont dit aux Africains que leur continent est dans une très mauvaise passe économique ?
Lancé par la BAD en 2013, ce fonds dévolu aux infrastructures peine à décoller. Son nouveau directeur général, un Camerounais venu de l’IFC, saura-t-il activer la machine ?
Maîtrise de l’inflation, du déficit budgétaire et de l’endettement, hausse des investissements… Le pays a fait des progrès spectaculaires. Vivement qu’ils bénéficient à tous !
La Banque africaine de développement a adopté la « Stratégie de partenariat » avec le Gabon pour la période 2016-2020. Dans le cadre de ce programme, la BAD pourrait apporter jusqu’à 811 milliards de F CFA (1,24 milliard d’euros) en prêts et en aide au pays. Le déboursement de ce financement dépendra, toutefois, de l’état d’avancement des projets proposés par Libreville.
En prévision du Africa CEO Forum qui se tiendra les 21 et 22 mars à Abidjan sous la houlette de J.A. et de la Banque africaine de développement (BAD), cette dernière a publié le 12 février un rapport sur le degré d’ouverture des pays d’Afrique aux ressortissants des autres États du continent. Quelle est la politique de votre pays en matière de visa ? Est-il plutôt fermé ou, au contraire, accueillant ?
Élu en mai 2015 à la tête de la Banque africaine de développement, le Nigérian nourrit de grandes ambitions pour le continent. Ses priorités : l’énergie et l’agriculture.