La Banque africaine de développement (BAD) est une institution financière multilatérale régionale créée en 1964 dans le but de contribuer au développement économique durable et au progrès social des pays africains. Basée à Abidjan en Côte d’Ivoire, elle regroupe 54 pays africains membres et 26 pays non-africains. Son rôle principal est de mobiliser des ressources pour promouvoir l’investissement en Afrique, fournir une assistance technique et des conseils, tout en finançant des projets structurants dans des domaines clés comme l’agriculture, la qualité de vie, l’intégration régionale, l’énergie et l’industrialisation, dans l’objectif de faire reculer la pauvreté via un développement durable sur le continent.
Ce prêt de la Banque africaine de développement (BAD) va financer un projet d’amélioration des chaînes de valeurs agricoles, qui vise à soutenir jusqu’à 240 000 petits producteurs.
Dresser la liste des personnalités qui marqueront l’Afrique en cette année qui débute est un exercice périlleux, même si les élections, les crises dont l’épilogue se fait attendre ou les événements sportifs et culturels mettront certainement en avant des protagonistes bien connus. Jeune Afrique vous propose une liste non-exhaustive. Parmi eux, Akinwumi Adesina, président de la BAD.
La Banque africaine de développement (BAD) a approuvé une financement de 138 millions de dollars pour le financement de ce barrage hydroélectrique, qui doit alimenter le Burundi, la République démocratique du Congo (RDC) et le Rwanda.
L’African Guarantee Fund (AGF – le Fonds africain de garantie) a finalisé le 18 décembre la prise de contrôle du Fonds de garantie des investissements en Afrique de l’Ouest (Fonds Gari), qui devrait mettre davantage l’accent sur l’efficacité opérationnelle.
L’économiste rwandais avait à peine quitté la présidence de la BAD qu’il enseignait à Harvard. Aujourd’hui, il entre chez l’un des plus grands capital-investisseurs.
Après sa première année d’exercice, malgré la fronde menée par les puissants syndicats des régies financières, l’Office togolais des recettes affiche un bilan plutôt positif.
La banque africaine de développement s’est associée à sept autres organisations multilatérales pour lancer un appel en faveur des solutions de transport durables. L’institution a également réaffirmé son soutien au fonds des Pays les moins avancés (PMA).
La Banque africaine de développement s’associe au Fonds pour l’environnement mondial pour financer un volet du pan camerounais du Projet de dorsale de télécommunications en Afrique centrale, qui prévoit le déploiement de la fibre optique.
À quoi ressemble la classe moyenne africaine ? Épineuse question, à laquelle ont tenté de répondre le groupe CFAO, l’institut de sondage Ipsos et le cabinet de conseil BearingPoint à travers une enquête réalisée dans cinq pays auprès de 4 000 foyers.
La Banque africaine de développement (BAD) mettra à la disposition du Sénégal 70,61 millions d’euros pour l’édification de son Parc technologique numérique. Objectif ? Faire du pays un centre d’excellence des Technologies de l’information et de la communication (TIC).
Passons ensemble, si vous le voulez bien, du particulier au général. Le particulier sera cette semaine le Burkina. Il nous donne l’impression d’être « revenu dans le droit chemin ». Est-ce vraiment le cas et pour combien de temps ? Le général sera le continent africain dans son ensemble : comment se porte-t-il et où va-t-il ?
Accès à l’électricité, modernisation de l’agriculture, soutien aux PME… Face à Jeune Afrique, le patron de l’institution panafricaine fixe clairement ses objectifs. Quelques jours après avoir pris ses fonctions, il se montre confiant et déterminé.
Le Nigérian a officiellement pris ses fonctions de patron de la BAD. Les mots d’ordre de son discours inaugural ? La lutte contre les inégalités, la promotion du secteur privé et l’intégration régionale.
Akinwumi Adesina et Ade Ayeyemi sont investis aujourd’hui à la tête de la première institution de développement du continent et à celle de la principale banque panafricaine.
Absence de grands contributeurs comme l’Algérie ou l’Afrique du Sud, erreurs de communication, vision hésitante de la nature des participations futures… Le lancement du fonds Africa50, initié par la Banque africaine de développement et domicilié à Casablanca, a connu un démarrage poussif. Explications.
La Banque africaine de développement a accordé ce prêt au leader burkinabè du crédit-bail pour financer les besoins de croissance des petites et moyennes entreprises.
Dans la sous-région comme sur le plan international, la politique active de coopération d’Alassane Ouattara redonne au pays toute son influence après des années d’isolement.
Ces ressources, explique la Banque africaine de développement, financeront des réformes qui éliminent les contraintes qui pèsent sur l’investissement privé et facilitent l’intégration du secteur informel.
« Le centre du monde est partout », dit-on depuis quelques années pour souligner qu’il ne se trouve plus en Europe et que les États-Unis eux-mêmes n’en sont plus que l’un des pôles de puissance.
Si certains pays ont encore fort à faire en la matière, d’autres ont mené d’ambitieuses politiques pour réduire l’inégalité hommes-femmes sur le continent.