La Banque africaine de développement (BAD) est une institution financière multilatérale régionale créée en 1964 dans le but de contribuer au développement économique durable et au progrès social des pays africains. Basée à Abidjan en Côte d’Ivoire, elle regroupe 54 pays africains membres et 26 pays non-africains. Son rôle principal est de mobiliser des ressources pour promouvoir l’investissement en Afrique, fournir une assistance technique et des conseils, tout en finançant des projets structurants dans des domaines clés comme l’agriculture, la qualité de vie, l’intégration régionale, l’énergie et l’industrialisation, dans l’objectif de faire reculer la pauvreté via un développement durable sur le continent.
Verre à moitié plein ou à moitié vide, c’est selon. L’Afrique du Nord, Égypte inclue, est la seule région du continent à avoir connu une augmentation de sa croissance entre 2014 et 2015, de +1,4 % à +3,2 %. Pour autant, ce pourcentage reste en-deçà des résultats des autres régions africaines à la croissance, certes en recul, atteint +3,5 %.
La Banque africaine de développement a annoncé la création d’un comité spécial constitué d’experts de haut niveau en vue d’accélérer la mise en œuvre de sa stratégie 2013-2022. De fait, un travail d’harmonisation est attendu avec les Objectifs du développement durable et les priorités fixées par Akinwumi Adesina, le nouveau patron de la Banque africaine de développement.
Personne n’aime être porteur de mauvaises nouvelles. Est-ce la raison pour laquelle ni leurs gouvernants ni l’Union africaine n’ont dit aux Africains que leur continent est dans une très mauvaise passe économique ?
Lancé par la BAD en 2013, ce fonds dévolu aux infrastructures peine à décoller. Son nouveau directeur général, un Camerounais venu de l’IFC, saura-t-il activer la machine ?
Maîtrise de l’inflation, du déficit budgétaire et de l’endettement, hausse des investissements… Le pays a fait des progrès spectaculaires. Vivement qu’ils bénéficient à tous !
La Banque africaine de développement a adopté la « Stratégie de partenariat » avec le Gabon pour la période 2016-2020. Dans le cadre de ce programme, la BAD pourrait apporter jusqu’à 811 milliards de F CFA (1,24 milliard d’euros) en prêts et en aide au pays. Le déboursement de ce financement dépendra, toutefois, de l’état d’avancement des projets proposés par Libreville.
En prévision du Africa CEO Forum qui se tiendra les 21 et 22 mars à Abidjan sous la houlette de J.A. et de la Banque africaine de développement (BAD), cette dernière a publié le 12 février un rapport sur le degré d’ouverture des pays d’Afrique aux ressortissants des autres États du continent. Quelle est la politique de votre pays en matière de visa ? Est-il plutôt fermé ou, au contraire, accueillant ?
Élu en mai 2015 à la tête de la Banque africaine de développement, le Nigérian nourrit de grandes ambitions pour le continent. Ses priorités : l’énergie et l’agriculture.
Ce prêt de la Banque africaine de développement (BAD) va financer un projet d’amélioration des chaînes de valeurs agricoles, qui vise à soutenir jusqu’à 240 000 petits producteurs.
Dresser la liste des personnalités qui marqueront l’Afrique en cette année qui débute est un exercice périlleux, même si les élections, les crises dont l’épilogue se fait attendre ou les événements sportifs et culturels mettront certainement en avant des protagonistes bien connus. Jeune Afrique vous propose une liste non-exhaustive. Parmi eux, Akinwumi Adesina, président de la BAD.
La Banque africaine de développement (BAD) a approuvé une financement de 138 millions de dollars pour le financement de ce barrage hydroélectrique, qui doit alimenter le Burundi, la République démocratique du Congo (RDC) et le Rwanda.
L’African Guarantee Fund (AGF – le Fonds africain de garantie) a finalisé le 18 décembre la prise de contrôle du Fonds de garantie des investissements en Afrique de l’Ouest (Fonds Gari), qui devrait mettre davantage l’accent sur l’efficacité opérationnelle.
L’économiste rwandais avait à peine quitté la présidence de la BAD qu’il enseignait à Harvard. Aujourd’hui, il entre chez l’un des plus grands capital-investisseurs.
Après sa première année d’exercice, malgré la fronde menée par les puissants syndicats des régies financières, l’Office togolais des recettes affiche un bilan plutôt positif.
La banque africaine de développement s’est associée à sept autres organisations multilatérales pour lancer un appel en faveur des solutions de transport durables. L’institution a également réaffirmé son soutien au fonds des Pays les moins avancés (PMA).
La Banque africaine de développement s’associe au Fonds pour l’environnement mondial pour financer un volet du pan camerounais du Projet de dorsale de télécommunications en Afrique centrale, qui prévoit le déploiement de la fibre optique.
À quoi ressemble la classe moyenne africaine ? Épineuse question, à laquelle ont tenté de répondre le groupe CFAO, l’institut de sondage Ipsos et le cabinet de conseil BearingPoint à travers une enquête réalisée dans cinq pays auprès de 4 000 foyers.
La Banque africaine de développement (BAD) mettra à la disposition du Sénégal 70,61 millions d’euros pour l’édification de son Parc technologique numérique. Objectif ? Faire du pays un centre d’excellence des Technologies de l’information et de la communication (TIC).
Passons ensemble, si vous le voulez bien, du particulier au général. Le particulier sera cette semaine le Burkina. Il nous donne l’impression d’être « revenu dans le droit chemin ». Est-ce vraiment le cas et pour combien de temps ? Le général sera le continent africain dans son ensemble : comment se porte-t-il et où va-t-il ?
Accès à l’électricité, modernisation de l’agriculture, soutien aux PME… Face à Jeune Afrique, le patron de l’institution panafricaine fixe clairement ses objectifs. Quelques jours après avoir pris ses fonctions, il se montre confiant et déterminé.
Le Nigérian a officiellement pris ses fonctions de patron de la BAD. Les mots d’ordre de son discours inaugural ? La lutte contre les inégalités, la promotion du secteur privé et l’intégration régionale.
Akinwumi Adesina et Ade Ayeyemi sont investis aujourd’hui à la tête de la première institution de développement du continent et à celle de la principale banque panafricaine.