La Banque africaine de développement (BAD) est une institution financière multilatérale régionale créée en 1964 dans le but de contribuer au développement économique durable et au progrès social des pays africains. Basée à Abidjan en Côte d’Ivoire, elle regroupe 54 pays africains membres et 26 pays non-africains. Son rôle principal est de mobiliser des ressources pour promouvoir l’investissement en Afrique, fournir une assistance technique et des conseils, tout en finançant des projets structurants dans des domaines clés comme l’agriculture, la qualité de vie, l’intégration régionale, l’énergie et l’industrialisation, dans l’objectif de faire reculer la pauvreté via un développement durable sur le continent.
Mis en cause par un groupe anonyme de « salariés inquiets », le président de la Banque africaine de développement (BAD), candidat à un second mandat, défend énergiquement son intégrité. Ressources humaines, marchés, management… Enquête sur la gestion Adesina.
Le modèle des années 1980 de l’importation en masse des produits de consommation courante ne peut plus tenir, estime ce responsable de la BAD qui plaide pour le renforcement de l’environnement de production locale.
La Banque africaine de développement (BAD) créé un fonds doté de quelque 10 milliards de dollars (9,2 milliards d’euros) et qui a pour objet d’aider les pays africains à lutter contre le coronavirus sur le continent.
L’économiste bissau-guinéen analyse la crise sanitaire et ses conséquences à l’échelle du continent. Craignant que l’Afrique soit la grande oubliée des mesures préconisées par les institutions internationales et les grandes puissances, il salue néanmoins leur retour à un certain interventionnisme.
La BAD vient de signer un accord de financement avec Libreville d’un montant 137 millions d’euros pour la construction de plusieurs projets d’infrastructures routières, et notamment la construction d’un pont sur la rivière Ngongo.
Cet Américain diplômé du Georgia Institute of Technology et de l’Atlanta University Center devient vice-président chargé du secteur privé, des infrastructures et de l’industrialisation. Passé par Rothschild Global Advisory et la coopération danoise, il dispose de plus de vingt-cinq ans d’expérience dans le financement du développement et des services bancaires d’investissement.
À trois mois du scrutin qui décidera de son sort à la tête de la Banque africaine de développement, Akinwumi Adesina se serait bien passé d’une joute avec David Malpass, le président du groupe de la Banque mondiale.
Pour le président de la Banque mondiale, la BAD « prête trop rapidement » et aggrave de ce fait le problème de la dette des pays. « Inexact et non fondé », rétorque l’institution panafricaine dans un communiqué.
Pour que les producteurs africains de coton puissent remonter la chaîne de valeur et s’intégrer aux circuits internationaux, le public et le privé doivent travailler ensemble sur les trois éléments principaux de compétitivité que sont les prix, la gestion efficace de la production et la capacité à délivrer (logistique).
Dans son rapport 2020 sur « Les perspectives économiques en Afrique » qu’elle a publié le 30 janvier, la Banque africaine de développement (BAD) se montre relativement optimiste sur la santé du continent malgré les secousses qui perturbent le commerce mondial.
Alors que les États africains voient leur dette s’envoler, les fonds d’infrastructures et les partenariats public-privé deviennent incontournables pour le financement des équipements qui manquent à l’Afrique. Mais reste à donner un cadre idoine à cet écosystème pour éviter les problèmes de corruption et de sous-investissement.
Épaulé par son équipe, le président de la BAD, élu en 2015, s’apprête à briguer un second mandat. Le Nigérian, 59 ans, fait déjà du lobbying auprès des chefs d’État du continent. Le 5 septembre, en Conseil des ministres, Alassane Ouattara a annoncé à son gouvernement que la Côte d’Ivoire, où siège la BAD, le soutiendrait.
Pour son quinzième réapprovisionnement depuis sa création en 1972, le Fonds africain de développement (FAD) vient de rassembler trente-deux pays donateurs, pour soutenir des projets de développement dans les pays les plus pauvres du continent.
Ainsi va le cliché : la plus grande richesse de l’Afrique, ce sont les Africains. Pourquoi pas… Mais soyons précis. Cette richesse surgit-elle des amphithéâtres surpeuplés de Dakar et d’Abidjan ou des mines de l’ex-Katanga ?
Ils comptent parmi les grands bailleurs de fonds pour les projets énergétiques en Afrique : la BAD et la BEI ont chacune à leur manière annoncé qu’elles ne financeraient plus de programmes ayant recours à des sources d’énergies fossiles ou au charbon.
À travers un investissement de 50 millions d’euros, la BAD entre au capital de l’institution spécialisée dans le financement des infrastructures en Afrique et obtient un siège au sein de son conseil d’administration.
Les actionnaires de l’institution financière panafricaine, réunis à Abidjan le 31 octobre, ont accepté de doubler à 208 milliards de dollars le capital autorisé de la Banque africaine de développement. Des négociations serrées entre actionnaires à l’impact réel sur les opérations de la Banque, tour d’horizon de ce qu’il faut savoir sur cette décision « historique », selon Akinwumi Adesina, son président.
Afin de réduire le déficit de financement estimé à 42 milliards de dollars entre les femmes et les hommes entrepreneurs sur le continent, les dirigeants du G7 ont accordé un prêt global de 251 millions de dollars à la BAD, pour soutenir l’initiative AFAWA.
À la tête de la Banque africaine de développement depuis 2015, l’ex-ministre nigérian Akinwumi Adesina ambitionne d’être réélu en mai 2020. Il vient de remporter une bataille en convainquant les actionnaires internationaux de participer à la prochaine augmentation de capital.
Sur proposition du président Félix Tshisekedi, Freddy Matungulu a accepté de siéger au conseil d’administration de la Banque africaine de développement (BAD), où il devrait occuper le poste d’administrateur pour le compte de la RDC.
Dévoilé à la mi-juin, la Facilité africaine d’inclusion financière numérique (ADFI) espère consacrer 400 millions de dollars au total, d’ici 2030, en faveur de l’inclusion financière digitale de 330 millions de personnes en Afrique, dont 60 % de femmes.
Durant les assemblées annuelles de la BAD, à Malabo, Akinwumi Adesina a affirmé disposer d’un « appui solide » des actionnaires pour renforcer les fonds propres de la banque. Le niveau de cette recapitalisation reste néanmoins en suspens et devrait être décidé en septembre.
Si de nombreuses réformes ont été engagées et que le FMI félicite le gouvernement béninois pour ses résultats économiques, les tensions politiques, ainsi que le retard pris par plusieurs grands projets, inquiètent les milieux d’affaires.
Comme la croissance économique, le chiffre d’affaires des 500 premières entreprises du classement Jeune Afrique repart nettement de l’avant. La chute des monnaies et la faiblesse des cours des matières premières sont absorbées. Mais les entreprises ne retrouvent pas encore les sommets passés.
La Banque africaine de développement (BAD) a promis dimanche que les travaux du pont Kinshasa-Brazzaville seraient lancés en août 2020, selon les déclarations de son président qui a détaillé le financement des 550 millions de dollars d’un très vieux projet.
La Banque africaine de développement (BAD) chiffre à 4,4 milliards de dollars (3,9 milliards d’euros) d’investissements les 30 opérations qui contribueront à renforcer l’intégration économique en Afrique centrale au cours des sept prochaines années.
MyAfricanStartUp, plateforme de mise en relation entre start-up, investisseurs et médias, a publié mercredi 17 avril son palmarès 2019 des « 100 start-up africaines dans lesquelles investir ». Rencontre avec son fondateur, Christian Kamayou.
Prêt à augmenter sa souscription au capital exigible de la Banque africaine de développement (BAD) de 1,1 milliard de dollars, le Canada prend les devants d’une augmentation générale du capitale de l’institution bancaire.
Le spécialiste du crédit-bail Fidélis entend tirer profit de son implantation réussie en Côte d’Ivoire en partant à la conquête de nouveaux marchés en Afrique de l’Ouest.
Trois anciennes filiales d’Alstom rachetées par General Electric en 2015 ont été exclues pour respectivement douze et soixante-seize mois des appels d’offres de la Banque africaine de développement (BAD), pour des faits de corruption et de fraude remontant à 2006 et 2011.