La Banque africaine de développement (BAD) est une institution financière multilatérale régionale créée en 1964 dans le but de contribuer au développement économique durable et au progrès social des pays africains. Basée à Abidjan en Côte d’Ivoire, elle regroupe 54 pays africains membres et 26 pays non-africains. Son rôle principal est de mobiliser des ressources pour promouvoir l’investissement en Afrique, fournir une assistance technique et des conseils, tout en finançant des projets structurants dans des domaines clés comme l’agriculture, la qualité de vie, l’intégration régionale, l’énergie et l’industrialisation, dans l’objectif de faire reculer la pauvreté via un développement durable sur le continent.
Avant sa nomination comme DG du bureau régional de développement et de prestation de services pour l’Afrique australe, cet Indien, docteur de l’université George-Washington, aux États-Unis, était directeur de la stratégie et des politiques opérationnelles depuis 2012. Auparavant, il avait fait l’essentiel de sa carrière à la Banque mondiale.
Cette Camerounaise experte de la finance et du développement a été nommée directrice générale du bureau régional de développement et de prestation de services pour l’Afrique de l’Ouest. Diplômée en économie appliquée et en gestion des universités Paris-Dauphine et Panthéon-Sorbonne, elle a intégré la banque en 1991.
Alors que les énergies renouvelables deviennent plus économiques, les centrales au charbon, polluantes, ne sont plus la solution pour les pays africains.
Huit bailleurs de fonds internationaux, dont le FMI, la Banque mondiale et l’Union européenne, se sont rendus au chevet de la Tunisie les 11 et 12 juillet. Ils promettent de soutenir ensemble le pays durant les deux prochaines années.
A mi-mandat, le patron de la BAD, sûr de ses choix, s’apprête à soumettre un plan de recapitalisation à ses actionnaires. Mais il doit encore convaincre ses partenaires non africains.
Deux ans et demi après son arrivée aux commandes de la BAD, Akinwumi Adesina dispose désormais d’un état-major composé de fidèles de longue date ou de vétérans des marchés africains compatibles avec son style de leadership.
Sophie Pignon, associée du cabinet Bird & Bird, chargée du département Droit public-Financements de projets au sein du bureau de Paris revient sur les caractéristiques essentielles d’un projet viable.
Suivre un modèle de développement calqué sur la Corée du Sud, en misant sur l’industrialisation comme le préconise le président de la Banque africaine de développement, ou tracer son propre chemin en investissant dans l’éducation et la santé, comme le prône le patron de la Banque mondiale ? Les divergences entre les deux hommes sont apparues plus claires que jamais lors de l’assemblée annuelle de la BAD, à Busan.
Faute de réelle volonté politique, la plupart des États peinent à améliorer les filières de recyclage. Qui présentent pourtant de nombreux débouchés industriels.
S’exprimant lors de la cérémonie d’ouverture des assemblées générales de la Banque africaine de développement, son président a défendu son bilan et exhorté les actionnaires à renforcer les capacités de l’institution.
Durant la 6e conférence de la Conférence sur la Coopération économique entre la Corée et l’Afrique (KOAFEC), le gouvernement coréen s’est engagé à renforcer son appui à l’industrialisation du continent, en particulier dans l’électricité et les TIC.
Représentante de la BAD au Maroc depuis novembre 2017, Leila Farah Mokaddem présente à Jeune Afrique sa vision, ses ambitions et ses priorités pour son mandat.
Facinet Sylla, économiste et ancien directeur de la banque centrale de Guinée, plaide pour une monnaie commune dépouillée des poids symboliques que sont son nom et la présence d’officiels français au sein de ses instances de gouvernance.
Critiqué pour sa volonté de réformer l’institution, le président de la Banque africaine de développement a défendu son bilan lors d’un discours le 6 février à Abidjan devant les ambassadeurs accrédités en Côte d’Ivoire.
Selon la Banque africaine de développement (BAD), qui a publié son rapport mercredi, la majorité des pays africains a réussi à surmonter en 2017 la mauvaise passe de 2016. Elle invite néanmoins les États à accompagner la restructuration du marché du travail pour éviter « une croissance sans emploi ».
Un taux de croissance en hausse, une inflation en recul et une balance commerciale dopée par les exportations d’or et de pétrole. L’économie du Ghana se porte relativement mieux, en dépit du déficit budgétaire.
La Banque africaine de développement (BAD) a alloué jeudi une enveloppe de 7,47 milliards de FCFA au Togo, notamment en vue de faciliter les investissements publics pour le développement de l’agriculture et de ses chaînes de valeurs.
Les quatre premiers contributeurs du nouveau fonds dédié à l’énergie hors réseau, géré par le cabinet Lion’s Head Global Partners, se sont faits connaître ce 4 janvier. Il s’agit de la Banque africaine de développement, de Calvert Impact Capital, du Fonds pour l’environnement mondial et du Fonds nordique de développement.
D’ici à 2021, la plus grande commune d’Abidjan sera reliée par une voie express et un nouveau pont à celles d’Adjamé et du Plateau. Un projet qui devrait changer le quotidien des citadins et booster l’économie.
L’écrivain et philosophe français Régis Debray nous a prévenus il y a déjà plusieurs mois : « Macron a fait preuve d’une vaillance certaine en se lançant dans cette bagarre. Il va vite, il pense vite et, surtout, il est capable de se repenser et de “dépenser”, c’est-à-dire de se décaler par rapport à son milieu. »
La Banque africaine de développement (BAD) vient d’accorder un prêt de 150 millions d’euros pour la construction du barrage hydroélectrique de Nachtigal. Avec un coût de construction de 1,05 milliard d’euros, ce barrage est développé conjointement par l’État camerounais, EDF et la SFI, filiale de la Banque mondiale.
La Banque africaine de développement a voté le 24 novembre le décaissement de près de 90,4 millions d’euros pour la construction et la réhabilitation de la liaison routière entre la province de Kouritenga et la frontière nigérienne. Une somme qui représente près de la moitié du coût du chantier.
La Banque africaine de développement (BAD) a décidé d’épauler la stratégie de développement de la jeune compagnie ivoirienne. Au total, la compagnie va bénéficier de 253 millions d’euros de capitaux qui doivent notamment permettre de générer 684 emplois directs et 5 000 emplois indirects.
la politique économique et financière de Yaoundé a été passée au crible par les deux institutions financières internationales. Si la BAD salue les progrès réalisés en matière de développement, le FMI encourage le gouvernement à « poursuivre ses efforts », notamment en matière de gestion de la trésorerie.
Pour « sauver l’État de la faillite », le Premier ministre algérien, Ahmed Ouyahia a opté pour la planche à billets. À cet effet, les députés ont adopté dimanche 8 octobre un texte autorisant le Trésor à emprunter directement à la Banque centrale. Au-delà de cette arme à double tranchant, quelles sont les mesures urgentes à prendre pour sortir du marasme ? L’avis des experts et des opérateurs privés.
Créé il y a quatre ans, ce fonds consacré aux infrastructures constitue enfin son premier portefeuille de projets. Mais il doit pour cela mobiliser davantage d’investisseurs, à commencer par les États…
La Banque africaine de développement (BAD) a annoncé mardi 19 septembre sa décision de bannir la société malienne Entreprise de construction urbaine et rurale (Ecur) de tous les projets financés par elle, et ce pour une durée minimale de trois ans. Ce n’est pas la première fois que l’institution panafricaine prend une telle mesure : focus sur la chasse aux fraudes, en sept enquêtes.