La Société islamique pour le développement du secteur privé et la société indienne de capital-investissement IIML ont signé un accord dans le but de créer un fonds d’un milliard de dollars, destiné au financement des infrastructures en Afrique.
12,6 milliards de dollars d’engagements fermes ont été pris durant les deux jours de discussions entre le gouvernement guinéen et ses partenaires à Paris. Avec les appuis du FMI et de l’IFC, ainsi que les 6 milliards promis par la Chine dans un autre cadre, les financements dépasseront les 20 milliards de dollars, quand la Guinée en espérait 14,6.
La Banque africaine de développement (BAD) et la Banque islamique de développement (BID) se sont mises d’accord pour mobiliser ensemble 2 milliards de dollars US sur les trois prochaines années afin de financer conjointement des projets dans l’agriculture, la sécurité alimentaire, les énergies renouvelables, les PME, la santé et l’éducation.
La Banque islamique de développement a annoncé, dans un communiqué publié lundi 3 juillet, avoir approuvé plusieurs prêts d’un montant total de 452,9 millions de dollars (398,68 millions d’euros) à destination de pays africains, afin de financer des projets de développement concernant la production d’électricité ou l’adduction d’eau.
La banque islamique de développement (BID) a signé des accords avec la Tunisie, le Mali et la Gambie, via sa filiale, la société islamique internationale de financement du commerce (SIFC), afin de financer le développement du secteur des matières premières stratégiques.
L’un des patrons de la Banque islamique de développement (BID), le vice-président Mansur Muhtar, débute lundi matin une tournée dans les capitales sénégalaise et guinéenne où il signera de nombreux accords de financement pour un total d’environ 300 millions de dollars.
La Société internationale islamique de financement du commerce (ITFC) a accordé un prêt de neuf millions de dollars à Coris bank international. Ces ressources doivent permettre au numéro deux burkinabè du secteur bancaire de développer sa gamme de produits de finance islamique.
La Banque islamique de développement (BID) vient d’accorder au Sénégal un montant de 132,2 milliards de F CFA (201,2 millions d’euros) pour financer un important projet d’hydraulique urbaine près du Lac de Guiers ainsi que la campagne arachidière en cours. La BID s’est par ailleurs engagée à financer 1,3 milliard d’euros d’infrastructures sénégalaises d’ici 2020.
La Banque participative du Maroc, née du partenariat entre la Banque populaire (BP) et l’américain Guidance Financial group, a annoncé vendredi le début prochain de ses opérations dans le royaume.
La Banque centrale des États de l’Afrique de l’Ouest (BCEAO) et la Société islamique pour le développement du secteur privé (SID) ont signé un protocole d’accord portant sur un financement de 30 millions de dollars – potentiellement relevable à 100 millions de dollars – en faveur des PME de la sous-région.
Lancée en novembre dernier, l’émission de ces obligations conformes aux règles de l’islam, a permis de mobiliser 150 milliards de F CFA, dont quasiment la moitié auprès d’investisseurs situés en dehors de la zone UEMOA.
Qatar International Islamic Bank a trouvé un accord avec Crédit immobilier et hôtelier (CIH Bank) pour la création d’une filiale commune dédiée à la banque islamique au Maroc. Détenue à 40 % par le groupe qatari, son lancement est attendu courant 2016.
Le gouvernement ivoirien a lancé le 20 novembre l’émission d’un sukuk de 150 milliards de F CFA. La levée du premier emprunt obligataire conforme à la sharia du pays prend fin le 21 décembre.
La Côte d’Ivoire va émettre son premier emprunt sous forme de sukuks (obligations islamiques). Cette opération se déroulera en novembre prochain avec l’appui de la Banque Islamique de Développement (BID).
La Côte d’Ivoire s’allie à la Société islamique pour le développement du secteur privé pour l’émission d’obligations islamiques (sukuk). Le programme, d’un montant de 300 milliards de F CFA (455 millions d’euros), couvre la période 2015-2020.
Le groupe bancaire camerounais vient d’ouvrir à Yaoundé sa première agence spécialisée dans la finance islamique et envisage une extension du réseau au reste du pays. Une première au Cameroun et en Afrique centrale.
Dopée par l’entrée de la Banque islamique de développement (BID) à son capital, la banque islamique tunisienne Banque Zitouna souhaite s’étendre et diversifier ses produits. Et envisage de se développer en Afrique.
Elle n’a que trois années d’existence. Mais déjà, la Banque islamique de Mauritanie s’est fait une place dans le paysage bancaire national. Sa recette ? Des services pratiques et, surtout, halal.
Le Sénégal a lancé les souscriptions pour son émission d’obligations souveraines conformes à la charia (sukuk) d’un montant de 100 milliards de F CFA (environ 150 millions d’euros). Une première pour un pays d’Afrique occidentale francophone.
Le Sénégal relance son projet d’émission de sukuk (obligations charia-compatibles) de 100 milliards de F CFA en 2014, en partenariat avec la Société islamique pour le développement du secteur privé (SID).
La Banque islamique de développement va financer des projets de développement dans plusieurs pays, notamment en Tunisie, en Égypte et au Burkina Faso, pour un montant total de 747 millions de dollars.
La Société islamique pour le développement du secteur privé (SID) prévoit d’ouvrir deux banques islamiques au Mali et au Bénin dans le courant de l’année prochaine.
Dans un rapport sur la banque islamique en Afrique du Nord, l’agence de notation Standard & Poor’s souligne les améliorations des perspectives de la finance islamique dans la foulée du printemps arabe. Mais le décollage n’est pas pour tout de suite.
Se présentant comme la seule alternative à la crise, la finance conforme à la charia cherche à étendre son emprise, notamment en Afrique. Mais la cherté et la complexité des produits freinent sa course en avant.