Au cœur du scandale qui a ébranlé en 2016, la Banque internationale pour l’Afrique au Congo (Biac), l’homme d’affaires a été blanchi des accusations qui le visaient.
Déjà en proie à un conflit interne entre actionnaires, la 7e banque commerciale du pays s’oppose au redressement décidé par la Banque centrale congolaise. Les deux affaires comportent de nombreuses zones d’ombres.
Le clan de l’ancien président congolais a cherché à prendre le contrôle de plusieurs banques congolaises, entre 2013 et 2017, avec l’aide d’associés angolais et chinois. Ce sont les conclusions d’un rapport de l’ONG américaine The Sentry, cofondée par George Clooney.
Investissements, déroutes, annonces, litiges… Voici notre sélection des événements qui ont marqué la vie des entreprises du continent, de janvier à décembre.
Le Premier ministre congolais sortant s’est confié en exclusivité à Jeune Afrique au sujet de ses cinq années passées à la tête du gouvernement. C’est la première interview qu’il accorde à un média depuis qu’il a quitté ses fonctions.
La Banque internationale pour l’Afrique au Congo (Biac), la quatrième banque congolaise, contrôlée par le groupe Elwyn Blattner, a annoncé mardi dans un communiqué sa liquidation volontaire – décision prise en Assemblée générale extraordinaire le 4 novembre selon les informations de JA. La Biac était en grandes difficultés depuis plusieurs mois.
Dans un communiqué au ton surprenant, la Primature dénonce une « mafia financière connectée à la Banque centrale » au sein de la Biac, la troisième banque du pays, actuellement sous administration provisoire. La Banque centrale dément et s’offusque.
Après des années de progrès, le pays voit la conjoncture se retourner. Un nouveau problème qui s’ajoute au déficit de gouvernance, au manque d’infrastructures et à l’absence de vraie vision économique.
Après avoir placé sous administration provisoire, le 30 mai, la troisième banque de la RD Congo, la Banque centrale porte plainte contre ses administrateurs et anciens dirigeants.
Alors que la Banque internationale pour l’Afrique au Congo (Biac), l’une des quatre premières banques de la RD Congo, est confrontée à un problème de liquidités, J.A. a eu connaissance des recommandations de la Banque centrale du Congo (BCC) pour remettre cet établissement à flot.
En suspendant la ligne de refinancement dont bénéficiait cette banque, les autorités ont couru le risque de déstabiliser l’économie du pays. Qu’avaient-elles donc derrière la tête ?
Alors que la quatrième banque du pays, la Biac, devait être renflouée après la « brutale suspension » d’un financement que lui octroyait la Banque Centrale du Congo (BCC), la primature de la République démocratique du Congo (RDC) se livre à un exercice de pédagogie sur les mesures prises pour maintenir la stabilité monétaire dans le pays. « Une mise au point » parvenue à « Jeune Afrique » jeudi.
Une enveloppe de la Banque centrale du Congo (BCC) pour la Banque internationale pour l’Afrique au Congo (BIAC) doit être entérinée au retour à Kinshasa, lundi, du Premier ministre Augustin Matata Ponyo, a appris « Jeune Afrique » lundi alors que les 150 agences de la quatrième banque de détail du pays, fermées depuis le 1er avril, demeurent closes lundi.
La Banque internationale pour l’Afrique au Congo (Biac), concède « une tension passagère de liquidité » après la « brutale suspension » d’un financement que lui octroyait la Banque Centrale du Congo (BCC). Anne Mbuguje est nommée directrice générale par intérim, en remplacement de Michel Losembe, directeur général depuis 2013.