La Bourse de Casablanca est le marché officiel des actions au Maroc. Elle est la première bourse du Maghreb et d’Afrique de l’Ouest, et la deuxième d’Afrique derrière Johannesburg. Sa capitalisation est estimée à 57 milliards d’euros.
Les valeurs liées à l’infrastructure et au tourisme suscitent un intérêt accru. Et provoquent l’augmentation des volumes de transactions à la Bourse de Casablanca (CSE).
La société marocaine de construction va rejoindre la Bourse de Casablanca. L’occasion pour le capital-investisseur Mediterrania Capital Partners de récupérer du cash, et pour TGCC de poursuivre son expansion au sud du Sahara. Le décryptage de Jeune Afrique.
Si le bilan de la place marocaine n’est pas aussi sombre que d’aucuns auraient pu le craindre, Casa le doit à une poignée d’entreprises qui ont tiré vers le haut l’ensemble de la cote.
Après un timide rebond la semaine dernière, l’afflux de mauvaises nouvelles en provenance des sociétés cotées a quelque peu terni l’optimisme à la Bourse de Casablanca.
La Bourse de Casablanca a choisi son prochain directeur général, Tarik Senhaji. Cet ancien de la City devra d’abord surmonter cette période de crise liée coronavirus avant de boucler la mue entamée par son prédécesseur.
Après avoir bouclé l’année 2019 sur une franche progression, la Bourse de Casablanca a entamé une année 2020 sous de bons auspices, avec l’entrée en vigueur de la nouvelle réglementation de l’Autorité marocaine du marché des capitaux et des taux bas.
En 2018, le nombre d’opérations a baissé sur les Bourses du continent, qui peinent à attirer de nouveaux émetteurs. La Tanzanie, le Zimbabwe et la Tunisie font figure d’exceptions notables.
Les plus grandes Bourses du continent se préparent à s’associer comme jamais auparavant via l’African Exchanges Linkage Project. Mais les défis représentés par cette interconnexion sont légion.
Le débat fait rage entre les partisans du modèle boursier et les défenseurs du private equity. Mais où trouver les meilleurs retours sur investissement ?
À six mois de la fin de son mandat et alors qu’un nouveau règlement vient d’être adopté, le patron de la BVC livre une analyse lucide des réussites et des blocages de la place marocaine.
Le groupe de la famille Zahid, qui prépare son introduction en Bourse en 2021, vient d’implanter deux de ses filiales à Abidjan et s’apprête à se lancer dans le sud du royaume.
« Centré sur la satisfaction des besoins des citoyens » et sur la réduction des inégalités, un projet de nouveau modèle de développement est à l’étude pour le Maroc. Quels sont les principaux domaines concernés ? L’exemple du hub financier de Casablanca.
L’Autorité marocaine du marché des capitaux (AMMC) a émis, le 21 juin, une circulaire obligeant les sociétés cotées à publier leurs comptes trimestriels. Objectif : informer plus régulièrement les investisseurs et limiter les profit warning.
Après une tentative ratée en 2015, le groupe marocain d’Adil Douiri est parvenu à lever près de 37 millions d’euros en s’introduisant à la Bourse de Casablanca en décembre 2018. Ses résultats sont un bon signal pour l’entreprise comme pour la place marocaine.
Les principales places boursières du continent affichent des performances médiocres depuis le début de l’année. Mais l’amélioration de la conjoncture devrait ranimer l’intérêt des investisseurs.
À la bourse de Casablanca, les profit-warnings s’enchaînent et touchent même les plus grosses capitalisations, au premier rang desquelles les entreprises ciblées par le boycott en 2018.
Casablanca, Abidjan, Lagos… En ce début de 2019, Jeune Afrique dresse le bilan de l’année écoulée dans les principales places financières du continent. Aujourd’hui, direction le Maroc, où le Masi, l’indice principal, a terminé dans le rouge.
Après avoir offert deux belles années (2016 et 2017) aux investisseurs, la Bourse de Casablanca montre des signes d’essoufflement et se dirige vers une clôture dans le rouge de l’exercice actuel.
Largement absentes des places financières africaines, les compagnies de téléphonie ne semblent pas disposées à inverser la tendance malgré les pressions des États.
Ce pionnier des marchés vient d’introduire sa première filiale sur la place marocaine de Casablanca. Retour sur le parcours mouvementé de cet hyperactif, de la banque d’affaires à l’industrie en passant par la politique.
L’introduction en bourse de Immorente Invest a été accueillie vendredi sans grand enthousiasme par les investisseurs. La société de placement immobilier a difficilement bouclé sa levée de fonds.
Malgré l’annonce d’une nouvelle introduction, la place financière du royaume marocain semble marquer le pas et peine à séduire de nouvelles entreprises.
Selon l’indice GFCI du cabinet britannique Z/Yen, la capitale économique du royaume chérifien se hisse cette année en première position dans le classement des places financières africaines, et à la 30e place au niveau mondial.
En 2015, déjà, ce n’était pas brillant. Les prix des matières premières – au plus bas – et la hausse des taux d’intérêt américains, entre autres, n’augurent rien de bon pour les places africaines.
Au terme de négociations difficiles qui ont duré plusieurs mois, pouvoirs publics et sociétés de Bourse se sont enfin mis d’accord sur la nouvelle structure de l’actionnariat de la société gestionnaire de la place casablancaise.