L’ACTU VUE PAR – Réélection de Donald Trump, islamisme, wokisme, racisme, BRICS, coups d’État en Afrique… Autant de sujets brûlants que Rama Yade, ex-ministre française désormais directrice Afrique du think tank Atlantic Council, aborde dans l’entretien qu’elle a accordé à Jeune Afrique.
Selon Cheryl Buss, PDG d’Absa International, l’expansion des États membres des Brics devrait entraîner une augmentation des investissements internationaux en Afrique.
Avant d’arriver à Addis-Abeba, où il doit assister au sommet de l’Union africaine, le président brésilien a fait étape au Caire. Un nouveau signe de l’intérêt des grands pays émergents pour le conflit à Gaza, mais aussi une façon de saluer l’entrée de l’Égypte et de l’Éthiopie au sein des Brics.
Le vote du report de la présidentielle au 15 décembre continue de faire des vagues au Sénégal. Quelle que soit l’issue de cette crise politique, la boîte de Pandore est désormais ouverte. Seul espoir d’apaiser les tensions si ce report est acté, la promesse d’un départ de Macky Sall au terme légal de son mandat, le 2 avril 2024.
L’intégration de nouveaux membres comme l’Éthiopie et l’Égypte au groupe sonne comme une tentative du « Sud global » de trouver un contrepoids à une architecture financière jugée inadaptée.
Développement durable, dette, intégration régionale, éducation, santé, technologies et innovation… L’économiste américain pose un regard acéré sur l’état du continent et explore ses perspectives.
Alors que Le Caire et Addis-Abeba ont intégré le groupe le 1er janvier, l’administration d’Abdelmadjid Tebboune, éconduite en septembre, espère toujours rebondir ailleurs. Elle lorgne désormais l’Organisation de coopération de Shanghai (OCS) et tente d’intégrer la banque des Brics.
Expansion en Europe, départ du marché tunisien, rentabilité dans le secteur de la presse, perspectives africaines en 2024… Le patron du holding marocain H&S Invest et ancien ministre revient sur le développement de son groupe et aborde les grands enjeux du continent.
Union monétaire en Afrique de l’Est, franc CFA, remise en question du dollar par les Brics… La monnaie et son importance dans la perspective du développement de la Zone de libre-échange continentale (Zlecaf) a été au cœur des débats lors du panel de clôture de l’AFIS 2023. Extraits.
L’Algérie a été classée 150e destination touristique mondiale en 2022, selon le cabinet espagnol Bloom Consulting. L’État semble pourtant vouloir développer ce secteur, même s’il part de loin.
Médiateur pour la Libye et les Grands Lacs, protecteur de la forêt tropicale… À deux ans et demi de la présidentielle, Denis Sassou Nguesso a les mains libres, et du temps, pour enchaîner les voyages diplomatiques.
Éconduit par les membres des Brics, mais déterminé à peser sur l’échiquier internationale, Alger se tourne vers l’Organisation de coopération de Shanghai (OCS) et la Nouvelle banque de développement, la banque des Brics, pour rebondir. Mais quelle serait l’utilité concrète de cette adhésion pour l’Algérie ?
À un peu plus d’un an de l’échéance présidentielle, les partis d’opposition sont étonnamment apathiques. Le Front des forces socialistes vient de lancer une initiative dans le but, sinon de les unir, du moins de les revitaliser.
Au regard des indicateurs macroéconomique de l’Égypte et l’Éthiopie qui rejoindront le groupement économique à compter du 1er janvier 2024, la candidature algérienne avait toutes ses chances. Explications.
La question de l’adoption d’une monnaie commune pour briser leur dépendance au dollar est un sujet récurrent au sein du groupe des économies émergentes. Mais le chemin est encore long. Analyse.
Le récent sommet des Brics à Johannesburg a marqué un moment clé dans les discussions économiques mondiales. Dans un monde de plus en plus multipolaire, la rencontre annuelle a attiré l’attention sur la poursuite d’un ordre économique mondial diversifié, en particulier en réponse à la domination de la gouvernance économique occidentale.
Si les divergences de fond entre Alger et Rabat ne manquent pas, la tension entre les deux voisins est telle que le moindre incident suffit maintenant à mettre le feu aux poudres. Florilège de quelques polémiques dérisoires ou farfelues.
Réuni à Johannesburg, le groupe des Brics va accueillir six nouveaux pays à compter de janvier 2024, a annoncé le président sud-africain, Cyril Ramaphosa, ce 24 août.
Élargir le cercle, oui mais comment ? Les cinq économies émergentes réunies en sommet en Afrique du sud doivent encore statuer sur les modalités d’adhésion des futurs membres.
L’administration Biden a annoncé, le 22 août, jour de l’ouverture du sommet des Brics en Afrique du Sud, vouloir renforcer les capacités de financement du FMI et de la Banque mondiale. Dans sa ligne de mire, les prêts « opaques » consentis par Pékin aux pays en développement, notamment en Afrique.
Entre une annonce de candidature avancée par la diplomatie sud-africaine et les dénégations de son homologue marocaine, le sommet des Brics commence sur un air de polémique.
Le 15e sommet des Brics, qui ouvre ses portes ce 22 août jusqu’au 24 août à Johannesburg, sera particulièrement scruté. Notamment car ses pays membres vont aborder la possibilité d’ajouter de nouveaux entrants et de créer une monnaie pour contrer le dollar.
Maroc, Algérie, Sénégal… La liste des pays africains ayant demandé à rejoindre le groupement économique s’allonge alors que le sommet des Brics aura lieu du 22 au 24 août, en Afrique du Sud.
Alors que s’est ouvert le deuxième forum économique et humanitaire Russie-Afrique, l’hôte tente d’éblouir le continent, tout autant que les invités essaient de séduire le régime de Vladimir Poutine.
La venue du président russe constituait un dilemme pour Pretoria qui, en tant que membre de la CPI, aurait dû appliquer le mandat d’arrêt international lancé à son encontre.