À l’heure où s’affrontent les troupes du dirigeant Abdel Fattah al-Burhane et de son numéro deux, Mohamed Hamdan Dagalo, surnommé « Hemetti », certains pays de la sous-région (mais pas seulement), ont pris position.
La tentative de convocation d’Abdellatif Hammouchi, chef du renseignement marocain, par la police française, en 2014, est un épisode qui a durablement sapé la confiance entre Rabat et Paris.
En Centrafrique mais surtout au Soudan, où il joue la carte Burhane quand les Russes soutiennent Hemetti, William Burns, le patron de la CIA, accentue ses efforts pour limiter l’influence du groupe Wagner et de son financier.
Après neuf mois de tergiversation, l’administration de Donald Trump s’est résolue à nommer, le 5 septembre, Donald Yamamoto au poste de chef par intérim du Bureau des affaires africaines du Département d’État. Bon connaisseur de l’Afrique, il est très sensible aux questions de défense, qui devraient rester la préoccupation principale des États-Unis sur le continent.
Ben Bella, Boumédiène, Chadli, le Sahara… Les archives déclassifiées de l’agence américaine constituent une plongée fascinante dans les arcanes du pouvoir algérien entre 1962 et 1988.
Analyste à la CIA jusqu’en 2014 et spécialiste de l’Irak, l’Américain John Nixon est l’homme qui a été chargé de débriefer Saddam Hussein au lendemain de son arrestation, le 13 décembre 2003.
Deux Tunisiens, emprisonnés et torturés dans une des prisons secrètes de l’Agence centrale du renseignement américain (CIA), reviennent, dans un rapport de Human Watch Rights publié lundi, sur les conditions de leur détention.
Chute de Mossadegh en 1953 et de Saddam Hussein en 2003, relations ambiguës avec Kadhafi… La rue arabe voit la main de la CIA partout. Suite de notre dossier sur la CIA.
Lumumba, Neto, Mandela… Jugeant ces trois leaders trop « communistes » et donc éminemment dangereux, les États-Unis les combattirent farouchement. Par des moyens fort peu recommandables. Nouvelles révélations.
L’Agence américaine de renseignement a profité de la date du cinquième anniversaire de la mort d’Oussama Ben Laden pour faire sa publicité, une opération peu appréciée des internautes.
La CIA a soumis des dizaines de détenus liés à Al-Qaïda à des interrogatoires violents mais inefficaces après le 11 septembre, tout en mentant au grand public, a conclu mardi un rapport accablant du Sénat américain, relançant le débat sur la torture.
Les États-Unis ont perdu le contact avec plusieurs éléments de la rébellion syrienne qu’ils avaient entraînés dans des camps secrets en Jordanie et partiellement armés. La question qui se pose maintenant est de savoir où ils se trouvent.
La CIA a décidément tout explorer pour lutter contre le terrorisme, et notamment pour éliminer celui qui était, avant sa mort, leur cible numéro un : Oussama Ben Laden. L’agence américaine a même imaginé inonder le Pakistan de figurines « démoniaques » de l’ancien leader d’Al Qaïda.
Incroyable bévue à la Maison Blanche : l’identité du chef de station de la CIA en Afghanistan a été malencontreusement communiquée à des journalistes par le service de presse…
Rien ne va plus entre le président guinéen Alpha Condé et le milliardaire franco-israélien Beny Steinmetz, accusé d’avoir acquis frauduleusement des permis miniers au mont Simandou. Et la note que la CIA aurait remise au chef d’État guinéen en août 2013 ne risque pas d’apaiser les hostilités.
Depuis 2001, la centrale de renseignements a illégalement sous-traité à des pays étrangers la détention et les interrogatoires de 136 jihadistes présumés.
Barack Obama a nommé John Brennan, son principal conseiller antiterroriste – qui est tout sauf un enfant de choeur -, à la tête de la centrale de renseignements.
Le patron de l’agence entretenait une liaison avec sa biographe. Laquelle adressait des courriels menaçants à une rivale présumée qui entretenait une correspondance « sexuellement explicite » avec le patron de l’Otan en Afghanistan.
Pris d’assaut par des éléments proches d’Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi), le 11 septembre dernier, le consulat de Benghazi abritait une mission secrète des services de renseignement américain (CIA), rapporte le Wall Street Journal, dans son édition du 2 novembre.
Le chef du bureau Moyen-Orient – Asie du Sud de l’agence américaine de renseignement a effectué, du 23 au 26 septembre, une tournée en Afrique du Nord.
Le chef du Groupe islamique combattant libyen (GICL), qui se bat dans les rangs des rebelles, avait été arrêté par les Américains en 2004 puis livré à Mouammar Kadhafi. Le régime l’avait libéré en 2010, avant qu’il ne rejoigne l’insurrection.
Les médecins américains qui ont assisté aux interrogatoires de la CIA après le 11-Septembre ont contribué à affiner les méthodes de torture, une pratique qui s’apparente à de l' »expérimentation humaine », selon une ONG. Ces praticiens ont ensuite pu émettre des recommandations pour améliorer ces techniques « d’interrogatoire ».
Le président américain a reproché aux services de renseignements de n’avoir pas su prévoir l’attentat manqué contre un avion reliant Detroit à Amsterdam, préparé par un jeune Nigérian. Alors que le père du responsable avait signalé son comportement à la CIA.
Des agents secrets américains et italiens avaient enlevé un imam égyptien en pleine rue, à Milan en 2003, dans le cadre de la « guerre contre le terrorisme ». C’est la première fois qu’une telle condamnation est prononcée en Europe.
Vingt deux ans après la mort du « Père de la révolution burkinabè », le documentaire d’un journaliste italien évoque une implication des services secrets américains.
Les Etats-Unis enquêteraient sur des accusations visant le chef du bureau de la CIA en Algérie, qui aurait violé deux musulmanes après avoir versé de la drogue dans leurs boissons. L’agent aurait été rappellé aux Etats-Unis.