Créée le 1er juillet 2002, la Cour pénale internationale (CPI) est une juridiction permanente, dont le siège est basé à La Haye (Pays-Bas), chargée de juger les cas de génocide, de crime contre l’humanité, de crime de guerre et de crime d’agression. Au 1er janvier 2015, 123 États avaient ratifié le Statut de Rome.
Le président sortant n’a pas encore déclaré sa candidature, mais son ministre du Tourisme, Mame Mbaye Niang, mise déjà sur lui. De passage à Paris, il s’active pour défendre l’image du chef de l’État sénégalais.
Candidat à l’élection présidentielle du 20 décembre, l’ancien Premier ministre de Joseph Kabila sera l’une des têtes d’affiche de l’opposition à ce scrutin. Il s’appuie sur des collaborateurs de longue date, issus du milieu politique, économique ou judiciaire.
Le procureur de la Cour pénale internationale, Karim Khan, a effectué une visite de quatre jours en RDC. Il s’est notamment rendu en Ituri et dans le Sud-Kivu.
Karim Khan a rencontré Denis Mukwege, le 29 mai à Bukavu. Il a déploré la permanence des exactions et plaidé pour une nouvelle manière de travailler avec les autorités congolaises.
Si la guerre entre les généraux Burhane et Hemetti met une nouvelle fois en évidence la faiblesse des mécanismes internationaux de prévention des conflits, elle souligne avant tout l’absence de volonté politique, dénonce l’ancien Premier ministre du Tchad.
Le quinzième sommet des cinq pays dits en développement se tiendra en août prochain à Durban, en Afrique du Sud. Parmi les chefs d’État attendus, le Russe Vladimir Poutine, sous le coup d’un mandat d’arrêt depuis le 17 mars 2023.
Le parti de l’ancien président a dévoilé les noms de ses candidats pour les élections locales du 2 septembre. Fondé en 2021, au retour de Laurent Gbagbo à Abidjan, le PPA-CI concentre ses efforts dans la moitié sud du pays.
De retour en Côte d’Ivoire après son acquittement par la CPI, l’ancien leader des Jeunes Patriotes continue à jouer la carte de la loyauté à l’égard de son ancien mentor… Tout en affichant ses ambitions. Interview.
En Côte d’Ivoire, l’ancien président s’est exprimé ce vendredi devant une foule de partisans réunis à Yopougon. Il s’agit de son premier grand meeting depuis son retour à Abidjan en 2021 et le lancement de son parti, le PPA-CI.
Visé par un mandat d’arrêt émis par la Cour pénale internationale, le président russe assistera-t-il au sommet des Brics fin août ? Et comment réagira l’Afrique du Sud qui, selon le statut de Rome, aurait pour obligation de l’arrêter ?
Les 19 et 20 mars, une quarantaine de délégations africaines se sont rendues à Moscou en amont du sommet Russie-Afrique prévu en juillet à Saint-Pétersbourg, pour discuter coopération et lutte contre l’influence des « anciennes puissances coloniales ».
Soupçonné d’être impliqué dans l’attaque d’un camp militaire en avril 2021, le secrétaire général du PPA-CI a été placé sous contrôle judiciaire quelques jours après une tournée à Abidjan au cours de laquelle il avait tenu des propos virulents à l’adresse du pouvoir.
Le sommet de l’Union africaine, qui s’est achevé le 19 février, a été le théâtre d’un intense lobbying des dirigeants présents… Et de quelques remous lors de la conférence des chefs d’État. Coulisses.
Renversé le 5 septembre 2021 et désormais en exil en Turquie, l’ancien président guinéen est poursuivi par la justice de son pays. Pour ses avocats, les accusations dont il fait l’objet sont scandaleuses.
Compagnons politiques et de détention, les deux hommes ont tout pour être liés. Mais depuis leur libération et leurs retours respectifs en Côte d’Ivoire, ils semblent plus éloignés que jamais.
C’est l’homme le plus recherché d’Afrique. Le fondateur de l’Armée de résistance du Seigneur (LRA), un groupe rebelle qui a semé la terreur pendant plus de trente ans en Ouganda, est traqué depuis 2005 par la justice internationale pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité.
Huit ans après avoir été transféré à la Cour pénale internationale, l’ancien « général de la rue » a reçu un accueil triomphal de ses partisans ce samedi 26 novembre.
Son comité d’accueil a annoncé que l’ancien ministre de Laurent Gbagbo rentrerait « sobrement » à Abidjan et a demandé à ses partisans de ne pas se rendre à l’aéroport. Acquitté en 2021 par la CPI, il n’était pas revenu en Côte d’Ivoire depuis son transfert à La Haye, il y a huit ans.
Le président de la transition a reçu ce mercredi le procureur de la Cour pénale internationale en marge de l’ouverture du procès du massacre du 28 septembre 2009.
Ce procès annoncé comme historique s’est ouvert treize ans après les faits. Une occasion pour ce pays de rompre avec un long cycle d’impunité et de liens décriés entre justice et politique.
À la veille du premier tour de l’élection présidentielle kényane, le duel qui se dessine entre l’ex-opposant Raila Odinga et le vice-président William Ruto paraît plus incertain que jamais.
L’ancien leader des Jeunes patriotes, proche de Laurent Gbagbo, s’est vu délivrer son passeport dans les locaux de l’ambassade de Côte d’Ivoire aux Pays-Bas, le 30 mai. Plusieurs conditions lui ont été posées.
C’est le Tchad qui a confié Maxime Mokom à la Cour pénale internationale, lundi 14 mars. Il est soupçonné de crimes de guerre et de crimes contre l’humanité.
Huit négociateurs de Félix Tshisekedi, missionnés en Ituri, ont été capturés par le groupe armé Codeco. Parmi eux : deux anciens chefs rebelles qui ont eu maille à partir avec la CPI. Les miliciens ont fait part de leurs revendications.
Définitivement acquitté de crimes contre l’humanité le 31 mars dernier, l’ancien ministre de Laurent Gbagbo réclamait jusqu’à 819 300 euros de dommages et intérêts.
En marge du programme officiel, les grand-messes de l’Union africaine (UA) sont souvent le théâtre d’un intense lobbying. À Addis-Abeba, les 5 et 6 février, les réunions informelles se sont multipliées.
Il était le co-accusé de Laurent Gbagbo devant la CPI. Aux côtés de l’ancien président, il a enduré les années de prison et de procès avant d’être acquitté. Mais, contrairement à son mentor, l’ex-ministre ivoirien de la Jeunesse ne peut toujours pas rentrer au pays.
Nommé procureur adjoint à la Cour pénale internationale (CPI), ce magistrat a auparavant géré des dossiers sensibles, du Sénégal au Rwanda. Avec le départ de Fatou Bensouda, il sera le seul Africain dans l’équipe de Karim Khan.