Créée le 1er juillet 2002, la Cour pénale internationale (CPI) est une juridiction permanente, dont le siège est basé à La Haye (Pays-Bas), chargée de juger les cas de génocide, de crime contre l’humanité, de crime de guerre et de crime d’agression. Au 1er janvier 2015, 123 États avaient ratifié le Statut de Rome.
Certes, Simone et Laurent Gbagbo sont séparés. Mais le couple politique, lui, a-t-il encore un avenir ? L’ancienne première dame pourrait lancer son propre parti.
Présidente du Fonds au profit des victimes de la Cour pénale internationale (CPI), un organe peu connu de l’institution, la Malienne Mama Koité Doumbia et son équipe se battent pour venir en aide aux victimes.
L’ex-ministre de la Jeunesse, qui fut un pilier du régime Gbagbo, s’apprête à regagner son pays, où il compte jouer un rôle politique majeur. Voici les personnalités sur lesquelles il s’appuie pour y parvenir.
Le Soudan va remettre à la Cour pénale internationale (CPI) plusieurs de ses anciens dirigeants, dont Omar el-Béchir, recherchés notamment pour crimes contre l’humanité et crimes de guerre lors du conflit au Darfour.
Le mandat d’arrêt de la Cour pénale internationale (CPI) contre l’ex-Première dame ivoirienne, accusée notamment de crimes contre l’humanité lors de la crise de 2010-2011, a été levé.
Alassane Ouattara reçoit Laurent Gbagbo le 27 juillet. La dernière fois que les deux hommes se sont rencontrés, c’était le 25 novembre 2010, à l’occasion d’un débat télévisé sans concession avant le second tour de la présidentielle. Retour sur une rencontre tout aussi historique.
L’ancien président ivoirien a achevé mercredi une visite de six jours dans la capitale congolaise. Retrouvailles, dîner présidentiel, futures invitations… Laurent Gbagbo a eu un programme chargé.
Après avoir échoué sur les dossiers Bemba et Gbagbo, la CPI est en passe de juger Omar el-Béchir pour génocide. Une occasion pour les juges de La Haye de faire taire les critiques.
Le successeur de Fatou Bensouda a pris officiellement ses fonctions le 16 juin dernier. Pour mener ses réformes et convaincre, il pourra compter sur des personnalités de premier plan.
Le nouveau procureur de la Cour pénale internationale prend ses fonctions ce 16 juin. Bien connu sur le continent, le Britannique y compte des soutiens importants… et quelques détracteurs.
Si la Côte d’Ivoire a finalement pris acte de la date du 17 juin pour le retour de l’ancien président, les méthodes employées par son parti ont irrité au sommet de l’État.
La Cour pénale internationale a rendu son verdict, le 6 mai. Reconnu coupable de crimes de guerre et de crimes contre l’humanité, l’Ougandais purgera une peine de vingt-cinq ans de prison.
De retour dans la majorité, aux côtés de Félix Tshisekedi, après quinze années dans le costume d’opposant, Jean-Pierre Bemba sort du silence. Pourquoi a-t-il choisi de rallier le chef de l’État, dont il avait pourtant contesté l’élection ? Quelles sont ses relations avec Joseph Kabila ? L’Union sacrée peut-elle résister aux frustrations des uns et des autres ? Le président du MLC se confie en exclusivité à Jeune Afrique.
Acquitté par la CPI, l’ex-chef de l’État prépare son retour au pays, sous le regard vigilant d’Alassane Ouattara… Dans quel état d’esprit est-il, où logera-t-il et, surtout, quel rôle jouera-t-il ? Les questions sont nombreuses.
L’ancien président ivoirien, définitivement acquitté par la CPI, a la possibilité de réclamer des dommages et intérêts pour la longue privation de liberté qu’il a subie. Mais la procédure est très codifiée et sans garantie de succès.
Acquitté par la CPI le 31 mars dernier, Laurent Gbagbo s’apprête à rentrer au pays. Les principaux acteurs de la politique ivoirienne ont-ils pour autant tiré les leçons du passé ?
Confirmé en appel le 31 mars dernier, l’acquittement de Laurent Gbagbo vient clore une liste d’échecs marquants pour la procureure de la Cour pénale internationale (CPI). De quoi éclipser les réussites de son mandat de neuf ans, qui s’achèvera le 16 juin prochain ?
Au moment où la procureure générale de la Cour pénale internationale, Fatou Bensouda, prépare ses valises, son institution semble moins obsédée par les dossiers africains. Elle enquête désormais sur des crimes présumés dans les territoires palestiniens.
C’est finalement le Britannique Karim Khan qui a été élu procureur de la Cour pénale internationale. Cet avocat spécialisé dans les droits humains succèdera à la Gambienne Fatou Bensouda le 16 juin pour un mandat de neuf ans.
Le Britannique a été élu procureur pour un mandat de neuf ans, vendredi 12 février, lors d’un vote à bulletin secret. Faute d’avoir atteint un consensus, les États-parties ont dû, pour la première fois, en passer par un vote.
La Cour pénale internationale (CPI) a rendu son verdict jeudi sur cet ancien enfant soldat ougandais devenu l’un des chefs de l’Armée de résistance du seigneur (LRA) de Joseph Kony.
Ancien chef de guerre au sein de la rébellion de l’ex-Séléka, Mahamat Said Abdel Kani a été remis par les autorités centrafricaines à la Cour pénale internationale, le 24 janvier. Il est accusé de crimes de guerre et de crimes contre l’humanité.
Le juriste espère représenter la Tunisie pour la première fois à la Cour pénale internationale. Mais se bat seul (ou presque) pour promouvoir sa candidature.
Déçus par les quatre personnes présélectionnées pour succéder à la procureure générale, les États parties ont décidé le 13 novembre de faire revenir dans la compétition dix candidats précédemment écartés.
Fatou Bensouda, la procureure générale de la Cour pénale internationale (CPI), a publié un communiqué en forme de mise en garde sur la situation en Côte d’Ivoire, qu’elle affirme suivre de près en raison des violences qui ont fait plusieurs morts ces dernières semaines.
Ciblée par des sanctions américaines depuis le 2 septembre, la procureure de la Cour pénale internationale a vu plusieurs de ses comptes gelés par l’administration Trump.
Alors que Washington a placé la procureure de la CPI sur liste noire après l’ouverture d’une enquête sur les crimes de guerre et crimes contre l’humanité commis en Afghanistan, l’inquiétude domine à La Haye. Quels sont les recours dont disposent la Cour ?
Le procès d’Al Hassan, accusé de crimes de guerre et crimes contre l’humanité, reprend le 8 septembre devant les juges de La Haye. Mais d’autres responsables présumés d’exactions n’ont toujours pas été inquiétés par la justice.
L’ancien président soudanais était devant ses juges, ce lundi. Accusé d’avoir violé l’ordre constitutionnel lors du coup d’État qui l’a porté au pouvoir en 1989, il risque la peine de mort.