La Fédération Internationale de Football Association a été fondée en 1904, afin de promouvoir le football à l’international. Son siège se situe à Zurich, en Suisse, et son président actuel est Sepp Blatter.
S’il est élu fin février 2016, le prince Ali, l’un des cinq candidats à la présidence de la Fifa, a annoncé mercredi à Dakar son intention de reformer l’instance qui gère le football mondial. Le demi-frère du roi Abdallah de Jordanie a également promis à l’Afrique un « rôle dirigeant ».
Compagnon de lutte de Nelson Mandela, ancien ministre, homme d’affaires prospère dans les mines et la communication, le Sud-Africain brigue la présidence de la Fifa en 2016. Son programme : assainir une organisation gravement corrompue.
Après le Sud-Africain Tokyo Sexwale, Musa Bility, président de la Fédération libérienne de football, a annoncé lundi le dépôt de sa candidature pour la présidence de la Fifa.
Le Sud-Africain Tokyo Sexwale, ancien compagnon de cellule de Nelson Mandela, est officiellement candidat à l’élection à la présidence de la Fifa du 26 février, a affirmé l’un de ses assistants.
Ils ont beau être absents, leur nom est sur toutes les lèvres. Michel Platini et Joseph Blatter ne seront pas à Zurich mardi 20 octobre pour le comité exécutif (CE) extraordinaire de la Fifa, le premier depuis leurs suspensions. En leur absence, ce CE sera pour la première fois dirigé par le Camerounais Issa Hayatou, président par intérim.
Michel Platini est de plus en plus fragilisé dans sa course à la présidence de la Fifa : le front uni européen s’est lézardé avec le lâchage de l’Angleterre et Joseph Blatter lui-même a alimenté les doutes sur son fameux versement d’1,8 million d’euros au Français.
Sepp Blatter et Michel Platini ont été suspendus provisoirement 90 jours par la commission éthique de la Fifa, a annoncé l’organisation jeudi 8 octobre. Selon les statuts, c’est le Camerounais Issa Hayatou, vice-président senior, qui prend donc provisoirement la tête de l’organisation.
L’homme d’affaires sud-africain et ancien compagnon de cellule de Nelson Mandela, Tokyo Sexwale, a dit vendredi à Tel Aviv se laisser encore du temps pour décider de briguer ou non la succession de Sepp Blatter à la présidence de la Fifa.
Nouvelle tempête au-dessus de la tête de Joseph Blatter. Une procédure pénale pour « gestion déloyale » et « abus de confiance » vient d’être officiellement ouverte contre le président de la Fifa par le Procureur général de Suisse. Il est soupçonné d’avoir effectué « un paiement déloyal » de 2 millions de Francs suisses en faveur de Michel Platini, actuel président de l’UEFA.
Le président de la Fédération congolaise (RDC) de football (Fecofa), Constant Omari, également membre du comité exécutif de la Fifa, a été nommé vendredi à la tête de la « task force » de l’organisation contre le racisme et les discriminations.
Les enquêtes sur les soupçons de corruption à la Fifa se poursuivent et avancent peu à peu. De nouvelles personnes et organisations sont en ligne de mire. Lundi, le procureur général suisse et la ministre américaine de la Justice ont annoncé la saisie de plusieurs appartements dans les Alpes suisses.
Segun Odegbami, ancien capitaine de la sélection du Nigeria, a annoncé mardi être candidat à la présidence de la Fifa, qui doit élire le successeur de Joseph Blatter le 26 février 2016.
L’Association nationale des footballeurs professionnels du Gabon (ANFPG) a saisi la Fifa pour améliorer la situation de ses adhérents. L’international gabonais Rémy Ebanega, son président, explique les raisons de cette plainte.
La justice américaine enquête sur leur rôle dans les transferts d’argent entre les comptes suspects liés au scandale de corruption à la Fifa, rapporte l’AFP.
Probable candidat à la présidence de la Fifa, le patron de l’UEFA aura bien du mal à convaincre les 54 pays du continent de voter pour lui. Les raisons de cette défiance sont anciennes. Et nombreuses.
Les autorités suisses ont autorisé vendredi le transfert aux États-Unis de l’un des sept responsables de la Fifa, arrêtés fin mai à Zurich et soupçonnés d’être impliqués dans le récent scandale de corruption qui a éclaboussé Sepp Blatter et ses collaborateurs.
Comment interpréter les propos de Musa Bility, candidat à la présidence de la Fifa, qui a affirmé qu’il se retirerait si Issa Hayatou, le patron de la CAF, décidait finalement de se présenter ?
Depuis presque trente ans, il règne sur le foot africain. Ses méthodes, son style, son obstination à vouloir se maintenir à la tête de la CAF sont souvent critiqués, mais le Camerounais tient bon. Et le scandale qui a emporté Sepp Blatter, le patron de la Fifa, ne l’a pour l’instant pas ébranlé.
Peu lui importent les scandales et les accusations. Le président de la CAF maintient son soutien à Blatter et dit n’avoir lui-même rien à se reprocher.
La justice américaine est suspendue à ses basques. Son président se retire, deux de ses anciens poids lourds sont recherchés par Interpol, les fédérations marocaine et sud-africaine sont sur la sellette… La Fifa tremble sur ses bases.
Éclaboussé par le scandale à la Fifa, le Maroc s’est défendu dimanche de toute tentative de corruption et a conspué des « allégations (…) visent à ternir l’image d’un pays ».
La Fédération sud-africaine de football s’est exprimée jeudi au sujet des accusations de corruption dans l’attribution de la Coupe du monde 2010. Une affaire dans laquelle sont inculpés des hauts dignitaires de la Fifa.
Des fonctionnaires de la Fifa ont été interpellés par la police suisse mercredi matin à Zurich à la demande de la justice américaine. Ces hauts responsables du monde du football sont soupçonnés d’avoir accepté des dessous de table de plus de 90 millions d’euros depuis vingt-cinq ans.
Avant qu’une partie de l’armée ne se soulève le 13 mai et tente de le renverser en son absence, les diplomates occidentaux en poste à Bujumbura auront tout essayé pour dissuader Pierre Nkurunziza de se représenter à l’élection présidentielle du 26 juin.
Depuis le 1er avril, nul besoin d’une licence de la Fédération internationale pour exercer la profession d’agent de joueurs. En clair : n’importe qui peut faire n’importe quoi !
L’Afrique unie derrière Issa Hayatou, l’inamovible patron de la CAF, pour voter comme un seul homme pour Sepp Blatter, l’inamovible patron de la Fifa ? Voire…
L’association Foot Solidaire, présidée par l’ancien international camerounais Jean-Claude Mbvoumin, publie « Le passeport Foot Solidaire 2015-2016 ». Objectif : lutter contre le trafic de jeunes joueurs africains par des intermédiaires peu scrupuleux.
Demi-frère du roi Abdallah de Jordanie, le prince Ali Ibn al-Hussein, 39 ans, s’est déclaré, le 6 janvier, candidat au poste de président de la Fédération internationale de football association (Fifa) face au sortant, Sepp Blatter, et au Français Jérôme Champagne.