Le Front de Libération Nationale est un parti politique algérien. Son président est l’actuel chef d’État algérien, Abdelaziz Bouteflika. Le parti a été créé en novembre 1954, afin d’obtenir l’indépendance de l’Algérie, alors colonie française. Après la signature des Accords d’Évian le 18 mars 1962, le FLN prend le pouvoir.
L’ancien parti unique a obtenu une majorité relative à la chambre basse du Parlement avec 105 députés élus aux législatives. Une surprise dans la mesure où le FLN est décrié pour sa compromission avec le régime de Bouteflika.
Le président Tebboune affirme ne chercher l’appui d’aucune entité partisane. Des listes indépendantes se sont pourtant structurées autour de son projet de réforme institutionnelle, dans la perspective du scrutin législatif du 12 juin 2021.
La célèbre prison française a « accueilli » des années durant les membres du FLN arrêtés en région parisienne durant la guerre d’Algérie. Grâce à divers témoignages et au travail des archivistes, le public apprend que l’indépendance du pays s’est, aussi jouée, entre ces hauts murs.
Le Front de libération nationale peine à retrouver son envergure d’antan. Et la pandémie de Covid-19 ne l’aide pas à se restructurer : la réunion du comité central prévue fin avril a été reportée.
Homme d’expérience, discret, travailleur… Le profil du nouveau chef du gouvernement plaide en sa faveur. Mais entre la situation économique algérienne, le vide du pouvoir laissé par la présidence Bouteflika et le mouvement de contestation populaire (le « Hirak »), la tâche qui lui échoit est colossale. Portrait.
Peut-on filmer la guerre d’Algérie sans le moindre parti pris ? L’option retenue par Abdel Raouf Dafri pour sa première réalisation dépeint avant tout une « guerre sale », sans héros à qui s’identifier, ce qui s’avère être un choix périlleux.
Construite en 1915 à l’époque coloniale, la prison d’El-Harrach a accueilli dans ses murs plusieurs personnalités, et notamment des figures de la révolution algérienne.
Après s’être disputé les commandes du Front de libération nationale (FLN), Mohamed Djemaï, récemment élu secrétaire général du parti historique, et Mouad Bouchareb, coordinateur par intérim de la formation et occupant du Perchoir, s’opposent désormais à l’Assemblée populaire nationale (APN), où le premier cherche à faire tomber le second.
Mohamed Djemai a été élu mardi 30 avril au poste de secrétaire général du Front de libération nationale (FLN), lors d’une session extraordinaire du 10e congrès du comité central. Une issue loin de faire l’unanimité dans les rangs du vieux parti.
En plein soulèvement en Algérie, l’historien Mohammed Harbi a coécrit un texte qui a beaucoup circulé dans le pays, dans lequel il appelle notamment à éviter « la confiscation de la souveraineté populaire ».
Alors que son congrès extraordinaire vient d’être reporté sine die, le Front de libération nationale (FLN) est rongé par de graves divisions et rejeté par les manifestants. Deux camps s’y opposent : l’un favorable au coordinateur général Mouad Bouchareb, l’autre réclamant l’élection d’une nouvelle direction. Analyse.
Lâché de toutes parts sous la pression de la rue, Abdelaziz Bouteflika vit sans doute ses derniers jours à la tête de l’État. Tandis que son camp s’entre-déchire…
Après les déclarations de Seddik Chihab (RND) sur la présence « de forces extra-constitutionnelles » au pouvoir, c’est au tour d’Amar Saadani, ex-secrétaire général du FLN, de parler d’un « État profond » qui serait aux manettes depuis la maladie du président. Des déclarations et une situation commentées pour Jeune Afrique par Abou El Fadel Badji, cadre du parti présidentiel.
L’instance dirigeante du Front de libération nationale (FLN) a décidé de fixer la date de la tenue du prochain congrès extraordinaire du parti après l’élection présidentielle, prévue le 18 avril prochain.
À la suite de la démission de Djamel Ould Abbès de la direction du Front de libération nationale (FLN), Mouad Bouchareb, le nouveau président de l’Assemblée, a été désigné pour assurer l’intérim. Sauf que celui-ci n’est ni membre du bureau politique du FLN ni du comité central, ce qui est contraire aux statuts du parti.
Djamel Ould Abbès, le secrétaire général du Front de libération nationale (FLN), a démissionné mercredi 14 novembre de la direction du parti, sans en donner les raisons. Mouad Bouchareb, le nouveau président de l’Assemblée nationale, devrait assurer l’intérim.
Dans l’édition enrichie de l’ouvrage de Sid Ahmed Semiane, le général-major Lakehal Ayat, patron du renseignement (DGPS), affirme que le FLN n’était pas en mesure de s’opposer au chef de l’État, lors des révoltes d’octobre 1988 en Algérie.
La guerre ouverte opposant la majorité au président de l’Assemblée populaire nationale révèle au grand jour des luttes intestines pour le contrôle de l’État. Décryptage.
À l’offensive pour créer un large consensus autour d’un cinquième mandat d’Abdelaziz Bouteflika, le secrétaire général du FLN veut donner à son parti un rôle incontournable dans la campagne présidentielle.
Le FLN a mobilisé des organisations estudiantines afin de faire campagne pour le président. Les partis de l’opposition dénoncent une « recrutement éhonté de jeunes à des fins électoralistes ».
Sa nomination à la tête de l’ex-parti unique devait être provisoire, en attendant de trouver la personne idoine. Un an et demi après, ce cacique parmi les caciques est toujours là et bien là. Portrait du doyen de la classe politique et patron de la première formation du pays.
Si le secrétaire général du FLN, Ould Abbès, menace Baha Tliba et Abdelouahab Benzaïm d’une éventuelle sanction du parti, pouvant aller jusqu’à l’exclusion, il a lui-même vécu une situation similaire en 1994.
Un nouveau rassemblement a été réprimé à Alger ce mercredi. En Algérie, manifester dans la capitale est proscrit depuis 2001. Les opposants n’attendent plus d’autorisations avant de descendre dans les rues et sont souvent dispersés par les forces de l’ordre.
Ce n’est pas la première fois qu’un pays africain confie la présidence à un footballeur professionnel. Le premier président de l’Algérie, Ahmed Ben Bella, a évolué à l’Olympique de Marseille, tout comme George Weah, le nouveau président libérien.
Les Algériens reprennent le chemin des urnes ce jeudi pour élire leurs responsables locaux. Enjeu principal de ce scrutin marqué par une campagne morose : (re)mobiliser les électeurs. Reportage.
À deux semaines des élections locales, certains candidats ont eu recours à des affiches surprenantes, et parfois hilarantes, pour faire campagne. Florilège.
L’homme d’affaires et militant anti-corruption algérien Rachid Nakkaz a été agressé ce matin devant une résidence de l’ex-chef du Front de libération nationale Amar Saâdani, située dans la ville de Neuilly-sur-Seine, à l’ouest de Paris.