Le Front de Libération Nationale est un parti politique algérien. Son président est l’actuel chef d’État algérien, Abdelaziz Bouteflika. Le parti a été créé en novembre 1954, afin d’obtenir l’indépendance de l’Algérie, alors colonie française. Après la signature des Accords d’Évian le 18 mars 1962, le FLN prend le pouvoir.
Amar Saadani, qui avait été débarqué de la direction du parti présidentiel en octobre 2016, vient d’être nommé au sein de sa commission électorale. Une réconciliation ?
« Scandaleux » et « dignes de l’extrême droite ». Les défenseurs des droits de l’Homme en Algérie n’ont pas mâché leurs mots dimanche après les propos tenus la veille à l’égard des migrants par Ahmed Ouyahia, le directeur de cabinet du Président algérien.
Vous êtes marocain, algérien ou tunisien et vous vous apprêtez à passer votre baccalauréat ? Révisez vos connaissance en histoire contemporaine maghrébine en quelques clics.
S’il est un facteur révélant combien la classe politique s’est transformée au cours des vingt dernières années, c’est l’entrée du pouvoir financier dans l’hémicycle.
Le FLN garde la majorité mais perd des sièges. Les principaux partis d’opposition aussi. Les électeurs, ne s’estimant pas représentés, ont boudé les urnes… Les législatives du 4 mai n’ont fait que des perdants.
Le scrutin du jeudi 4 mai a débouché sans grande surprise sur la victoire du vieux parti FLN (Front de libération nationale) qui obtient une majorité relative au sein de l’Assemblée nationale populaire. Ce scrutin aura été marqué par un net recul du taux de participation comparativement aux législatives de mai 2012.
Le scrutin du jeudi 4 mai a débouché sans grande surprise sur la victoire du vieux parti FLN (Front de libération nationale), qui obtient une majorité relative à l’Assemblée nationale populaire avec 164 sièges sur 462. Le RND (Rassemblement national démocratique) reste la deuxième force politique du pays, tandis que les islamistes arrivent en troisième position.
Indifférence, désenchantement, défiance… Les législatives du 4 mai ne passionnent guère les foules, laissant craindre un faible niveau de participation. Au grand dam des autorités.
Dans l’est du pays, les candidats à la députation croisent le fer, espérant remporter les huit sièges octroyés à la wilaya d’Annaba. Leurs slogans : lutte contre le chômage et développement économique.
Dans la ville kabyle de Tizi Ouzou, alors que les législatives approchent, les revendications berbéristes trouvent un écho important. Mais les pro-boycott ne relâchent pas la pression.
Dans la capitale algérienne, les principales têtes de liste sont des visages connus de la scène politique nationale et des frondeurs qui ne craignent pas d’épingler le bilan du FLN. Parmi les candidats, deux femmes se montrent particulièrement vindicatives.
Le 4 mai, les Algériens éliront leurs représentants à l’Assemblée. Depuis 1991, les élections législatives se tiennent dans un contexte social ou politique généralement agité.
Pendant près d’une décennie, l’Algérie nouvellement indépendante a apporté un soutien actif aux militants africains-américains, notamment les plus radicaux, qu’elle a même accueillis à bras ouverts sur son sol. Flash-back.
Sourde ou mise en veilleuse pendant qu’ils gouvernaient ensemble, la rivalité entre les partis jumeaux refait surface à la faveur des élections législatives de mai prochain. Qui l’emportera ?
Sept membres du gouvernement d’Abdelmalek Sellal seront en lice lors des législatives de mai sous la bannière du FLN, selon une source autorisée au sein du parti au pouvoir.
L’armée congolaise a tué dans la nuit de mercredi à jeudi cinq soldats burundais dont le contingent avait pénétré en territoire congolais, dans l’est du pays, a annoncé vendredi un porte-parole local de l’armée.
Veille de la Toussaint 1954. Un calme relatif plane sur les départements de l’Algérie française. En cette nuit sombre, partout sur le territoire, des hommes très mal équipés, armés pour la majorité de simples poignards et ne disposant que de quelques armes à feu, se préparent à lancer la lutte pour l’indépendance de l’Algérie.
Évoquant des raisons de santé, le chef de l’ancien parti unique a annoncé sa démission samedi. Moins belliqueux que lui, Djamel Ould Abbès, un autre proche de Bouteflika, lui succède.
Le 29 juin 1992, le président algérien est froidement assassiné alors qu’il tient un discours à la maison de la culture d’Annaba. Un espoir disparaît et l’Algérie s’enfonce dans ce qui sera appelé la décennie noire.
L’affaiblissement du DRS ? C’est lui. Le retour en Algérie de Chakib Khelil ? C’est lui aussi. Dernière preuve de l’influence grandissante du secrétaire général du FLN : le remaniement gouvernemental du 11 juin.
Elles furent nombreuses à avoir participé à la guerre d’indépendance et à être restées dans l’anonymat. Un documentaire rend hommage à l’une de ces Algériennes, pionnière du combat nationaliste.
Secrétaire général très controversé du FLN, ce proche d’Abdelaziz et Saïd Bouteflika est devenu l’une des pièces maîtresses du système. Au point de ne craindre rien ni personne. Enquête sur un stratège au bras long.
Les 50 personnalités les plus influentes ont toutes, sans exception et chacune à son niveau, un rôle à jouer pour conduire l’Algérie sur la première voie.
Les 50 personnalités les plus influentes ont toutes, sans exception et chacune à son niveau, un rôle à jouer pour conduire l’Algérie sur la première voie.
Les 50 personnalités les plus influentes ont toutes, sans exception et chacune à son niveau, un rôle à jouer pour conduire l’Algérie sur la première voie.
Les 50 personnalités les plus influentes ont toutes, sans exception et chacune à son niveau, un rôle à jouer pour conduire l’Algérie sur la première voie.
Colère des dirigeants du FLN après la création d’une association à caractère politique dénommée Front de libération nationale, dont le siège social se trouve dans le 18e arrondissement de Paris.
Les jours d’Amar Saadani au secrétariat général du FLN – et en tant que porte-parole autoproclamé de la présidence de la République – sont-ils comptés ?
Le 11 janvier 1992, le président Chadli Bendjedid décide de quitter le pouvoir en le remettant aux militaires qui le lui avaient offert en février 1979. Cette démission fait suite à une grave crise politique née de la victoire des islamistes du FIS aux élections législatives de décembre 1991. Départ volontaire ou démission forcée ? Enquête sur un épisode qui a fait basculer le destin de l’Algérie.
Figure historique de la guerre d’indépendance, cet éternel opposant au « système » a tiré sa révérence après plus de soixante-dix ans de militantisme passés en grande partie loin de son pays.