Le Front de Libération Nationale est un parti politique algérien. Son président est l’actuel chef d’État algérien, Abdelaziz Bouteflika. Le parti a été créé en novembre 1954, afin d’obtenir l’indépendance de l’Algérie, alors colonie française. Après la signature des Accords d’Évian le 18 mars 1962, le FLN prend le pouvoir.
Depuis le limogeage de Mohamed Mediène, trois autres généraux ont été inculpés et plusieurs officiers supérieurs écartés. Que signifie cette épuration et jusqu’où ira-t-elle ?
Adoubé par les tout-puissants chefs de l’armée en 1999, Abdelaziz Bouteflika s’est progressivement et méthodiquement affranchi de leur tutelle. Jusqu’à leur ravir toutes les clés du pouvoir.
Athmane Tartag, dit Bachir, a succédé à Mohamed Mediène, le « Monsieur Sécurité » du DRS en Algérie. Retour sur le parcours de cet homme secret, réputé réservé en public mais dur dans ses méthodes.
En annonçant sa décision de créer un parti politique en vertu d’un accord secret avec le pouvoir, l’ancien chef de l’Armée islamique du salut a semé la colère et l’incompréhension.
Les explications d’Amar Saadani, le secrétaire général du FLN, concernant l’appartement de 665 000 euros dont il est propriétaire à Neuilly-sur-Seine, dans la banlieue ouest de Paris, sont mises à mal par de nouvelles informations.
C’est une sacrée gifle que vient de recevoir Amar Saadani, le secrétaire général du Front de libération nationale (FLN), déjà confronté à la contestation de plusieurs cadres de son parti.
Dans la nuit du 31 octobre au 1er novembre 1954, le Front de libération nationale algérien diffusait une déclaration portant sur l’insurrection face à l’occupation française. En voici le texte intégral.
L’homme d’affaires algérien Rachid Nekkaz passe pour un original, voire un provocateur. Son dernier « coup » ? Jouer les justiciers en portant plainte contre le patron du FLN.
La session du comité central du FLN organisée mardi à Alger a dégénéré. Les partisans de l’ancien secrétaire général du parti, Abdelaziz Belkhadem, ont été empêchés d’y assister par ceux de l’actuel patron de la formation au pouvoir, Amar Saadani. Et c’était violent !
Dans une interview au site « Tout sur l’Algérie », Amar Saadani, le secrétaire général du FLN, se livre à une diatribe inédite contre le général Mohamed Médiène, chef du puissant DRS. Et appelle publiquement à sa démission.
Abdelaziz Bouteflika, âgé de 76 ans et au pouvoir depuis 1999, a été désigné, samedi, par le Front de libération nationale (FLN, parti majoritaire en Algérie) candidat à l’élection présidentielle de 2014 pour un quatrième mandat à la tête de l’État.
La fronde se lève contre le secrétaire général du Front de libération nationale (FLN), Amar Saadani. De nombreux cadres du parti réclament sa démission.
À défaut de charisme et de programme, Amar Saïdani, le tout nouveau patron du FLN, le parti algérien au pouvoir, a le soutien de « Monsieur Frère », Saïd Bouteflika…
Amar Saïdani a été élu, jeudi 29 août, nouveau secrétaire général du FLN. Seul candidat, en raison du désistement de ses deux adversaires, il a été plébiscité à main levée par le comité central du parti, mais sa victoire est largement contestée par ses rivaux.
Avant la tenue de son comité central, qui se réunira les jeudi 29 et vendredi 30 août, la guerre des clans fait rage au FLN. En jeu, l’élection du nouveau chef du parti, à quelques mois de l’élection présidentielle d’avril 2014.
Un secrétaire général destitué, un président de la République en convalescence prolongée, une base désemparée. Le Front de libération nationale (FLN), première force politique de l’Algérie, traverse depuis trois mois une crise sans précédent.
Avec la mort soudaine d’Abderrazak Bouhara, la perspective d’un secrétaire général consensuel pour diriger le premier parti du pays jusqu’à la tenue du prochain congrès semble s’éloigner.
Le sénateur du tiers présidentiel et dirigeant du Front de libération nationale (FLN), Abderrazak Bouhara, est décédé à l’âge de 79 ans, ce dimanche 10 février, à l’hôpital militaire de Ain Naâdja, sur les hauteurs d’Alger.
L’ex-secrétaire général du FLN, Abdelaziz Belkhadem, ne lâche rien. Il compte briguer un nouveau mandat pour le poste dont il vient à peine de se faire démettre…
C’est une demi-surprise : Abdelaziz Belkhadem, le secrétaire général du Front de libération nationale (FLN) au pouvoir en Algérie, n’a pas remporté le vote de confiance qu’il avait sollicité à la réunion du comité central du parti, jeudi 31 janvier. Il se trouve donc relevé de ses fonctions mais le nom de son successeur n’est pas encore connu.
Malgré d’excellents résultats aux élections locales, le Front de libération nationale a perdu bon nombre de communes qui lui étaient promises. Un tour de passe-passe signé des autres partis algériens.
Le secrétaire général critiqué du Front de libération nationale (FLN), Abdelaziz Belkhadem, n’en finit plus de voir son autorité contestée. Mercredi 9 janvier, huit ministres, membres du parti au pouvoir, ont publiquement réclamé sa démission. Ils lui demandent de céder sa place à un nouveau secrétaire général lors de la prochaine session du comité central, prévue du 31 janvier au 2 février.
Selon des résultats officiels publiés lundi 31 décembre, le Front de libération nationale (FLN) n’a obtenu que 17 sièges sur les 48 qui étaient soumis au suffrage indirect des élus locaux. Le parti au pouvoir, qui compte désormais 39 des 144 qui composent le Sénat, perd la majorité à la Chambre haute, au profit du Rassemblement national démocratique (RND, nationaliste) de l’ex-Premier ministre algérien Ahmed Ouyahia.
Abdelaziz Belkhadem, le patron du Front de libération national (FLN), majoritaire à l’Assemblée nationale algérienne, a affirmé avoir gagné un vote de confiance au Comité central du parti. Il était pourtant visé par une procédure de destitution lancée par des dirigeants du FLN.
Après examen des recours à la suite des législatives du 10 mai, le Conseil constitutionnel algérien a annoncé le nombre définitif des sièges des partis à l’Assemblée. Le FLN perd 13 députés, tandis que l’Alliance de l’Algérie verte et des partis d’opposition gagnent des sièges supplémentaires.
Le Conseil constitutionnel algérien a annoncé mardi 15 mai les résultats définitifs des législatives du 10 mai, remportées par le Front de libération national (FLN) et marquées par le faible score des partis islamistes. Deux tendances qui ont surpris en Algérie mais qu’un sondage, réalisé en mars par l’institut d’études Ecotechnics et publié le 4 avril par le quotidien El Watan, annonçait déjà (de même que le faible taux de participation, 44%). Le directeur général d’Ecotechnics, Saïd Ighilahriz, commente pour Jeune Afrique les résultats des élections. Les nombreux partis mécontents, notamment islamistes, ont jusqu’au 17 mai, pour faire appel.