Le FMI (Fonds monétaire international) est une institution internationale créée en 1944 destinée à assurer la stabilité du système monétaire international et la gestion des crises financières, à faciliter les échanges internationaux et à oeuvrer en faveur d’un emploi élevé. Il rassemble 188 États membres.
Le royaume poursuit le processus de réforme du régime de change avec un nouvel élargissement des bandes de fluctuation du dirham, une étape fortement encouragée par le FMI.
Le 16 mars, l’ancienne ministre libérienne des Finances rejoindra l’équipe des directeurs généraux adjoints du FMI, qui seconde la Bulgare Kristalina Georgieva. Elle est la première Africaine à occuper ces fonctions.
Cinquante milliards de dollars, dont 10 pouvant être prêtés à taux 0, ont été rendus disponibles par le FMI dans le cadre de la lutte contre le coronavirus, tandis que la Banque mondiale mobilise 12 milliards de dollars.
Dans une étude publiée sur son site le 18 février, la Banque mondiale s’est penchée sur les déboursements de l’aide au développement à destination de 24 pays et les transferts depuis ces États vers des paradis fiscaux.
Clôturant sa mission dans le pays, le Fonds monétaire internationale (FMI) se dit globalement satisfait, mais exprime des inquiétudes à l’issue de sa mission à Kinshasa sur le programme de référence approuvée avec le gouvernement.
Antoinette Sayeh, ancienne ministre des Finances du Liberia, devient directrice générale adjointe du Fonds monétaire international. Elle secondera la Bulgare Kristalina Georgieva, directrice générale de l’institution internationale depuis le mois de décembre dernier.
Malgré la pression du FMI, qui voudrait voir la réforme du régime de change accélérer au Maroc, Mohamed Benchaâboun et Abdellatif Jouahri insistent sur la souveraineté du royaume et misent sur une bascule « progressive » vers le nouveau système.
Malgré une situation toujours tendue dans les deux régions anglophones du pays et des arriérés de paiement toujours présents, Douala bénéficie du soutien du FMI et voit ses perspectives de croissance s’améliorer légèrement.
Lors de la visite du président tunisien Kaïs Saïed, en Algérie, la Banque centrale a promis un dépôt de 150 millions de dollars à son homologue de Tunisie. Une aide d’une portée aussi bien politique qu’économique.
Pas un mois ne se passe sans que des organismes multilatéraux, comme le FMI ou la Banque mondiale, ne tirent la sonnette d’alarme en raison de la montée de la dette publique dans les pays en développement en général et africains en particulier. Par rapport aux années 2000, le fardeau a doublé voire triplé, et un bon tiers des pays africains risquent d’avoir des difficultés à rembourser leur dette.
Fort des recettes provenant de la privatisation de Togocom, le pays finance cette année intégralement son déficit sans recourir à l’endettement. Ce budget rectificatif coïncide avec un soutien renouvelé du FMI et de la Banque mondiale. Le premier presse désormais Lomé de privatiser les deux banques publiques togolaises, l’UTB et la BTCI, et la seconde de continuer à faciliter l’investissement privé.
Le conseil d’administration du FMI a approuvé vendredi 20 décembre un programme d’aide triennal d’un montant de 2,9 milliards de dollars en faveur de l’Éthiopie. Objectif : aider les autorités à mettre en place leurs réformes économiques, a annoncé le Fonds monétaire international.
Baisse des revenus, hausse des prix des produits de base… Ces dernières années, les Gabonais ont vu leur pouvoir d’achat se réduire comme peau de chagrin. Un casse-tête pour tous, y compris pour l’État.
En poste depuis bientôt dix-sept ans, le gouverneur de la banque centrale du Maroc est connu pour son franc-parler et son conservatisme. Retour sur le parcours du « gardien du temple ».
L’analyste et consultant librevillois revient sur les handicaps de l’économie gabonaise, sur les résultats mitigés du Plan de relance économique (PRE) 2017-2019 et analyse les conditions de la reprise, sur laquelle il se montre néanmoins optimiste.
Alors que les États africains voient leur dette s’envoler, les fonds d’infrastructures et les partenariats public-privé deviennent incontournables pour le financement des équipements qui manquent à l’Afrique. Mais reste à donner un cadre idoine à cet écosystème pour éviter les problèmes de corruption et de sous-investissement.
Si les mesures de relance ont été saluées par le FMI, le pays est aussi confronté au blues des ménages et à une explosion de la pauvreté. Décryptage d’une reprise à deux vitesses.
Le chef du gouvernement gabonais défend les réformes menées depuis le début de la convalescence du président Ali Bongo Ondimba, ainsi que l’unité de son équipe, malgré les nombreux bouleversements opérés au sein de l’exécutif. Interview exclusive.
Le Fonds monétaire international (FMI) a annoncé lundi 16 décembre le déblocage de 368,4 millions de dollars d’une ligne de crédit d’urgence pour que Kinshasa puisse répondre « à ses besoins urgents en matière de balance des paiements », explique un communiqué de l’institution.
Si les récents remaniements au sein du cabinet présidentiel et du gouvernement ont inquiété les uns et déconcerté les autres, ils ont aussi et surtout clarifié la situation au sommet de l’État : un an après son AVC, Ali Bongo Ondimba est bel et bien de retour aux commandes de l’exécutif et dicte le tempo.
À la tête du Fonds monétaire international depuis deux mois, la Bulgare a effectué son premier voyage officiel sur le continent. Elle se penche ici sur les grands défis qui l’attendent.
Le Fonds monétaire international (FMI) accorde à la Mauritanie une nouvelle tranche du prêt signé en 2017. L’institution attribue à Nouakchott un satisfecit pour son pilotage macro-économique, moins pour sa gouvernance.
Six chefs d’État ouest-africains ont soutenu qu’il n’y aura pas de développement si le FMI, la Banque mondiale et l’OCDE ne révisent pas leurs analyses macro-économiques sur leurs pays.
Et si le diagnostic des institutions internationales sur le Maghreb et le Machrek était erroné ? C’est la thèse de ce spécialiste de la finance qui a conseillé divers gouvernements.
Mi-décembre, le Fonds monétaire international (FMI) devrait accorder à la République démocratique du Congo (RDC) une aide d’urgence, malgré un budget 2020 peu crédible.
Entre une présidence étatiste et un Parlement libéral, la définition des priorités risque d’être une gageure. Il y a pourtant urgence, car la dette publique s’alourdit dangereusement.