Le FMI (Fonds monétaire international) est une institution internationale créée en 1944 destinée à assurer la stabilité du système monétaire international et la gestion des crises financières, à faciliter les échanges internationaux et à oeuvrer en faveur d’un emploi élevé. Il rassemble 188 États membres.
Climat des affaires délétère, incertitudes politiques, soupçons de favoritisme… De plus en plus contestées, la gouvernance et l’attitude de l’ex-star du foot devenu président inquiètent investisseurs et partenaires internationaux.
L’Égypte a annoncé le 9 novembre avoir enregistré en octobre un taux d’inflation annuel de 2,4%, le plus bas depuis près de dix ans dans ce pays plongé dans une crise économique et sociale qui s’est accentuée ces trois dernières années.
La honte du regard de l’autre, l’extrême jalousie, l’obligation du consensus, la peur omniprésente et d’autres dominances culturelles entravent le développement socio-économique de Madagascar. La corruption, les inégalités et l’insécurité en sont les conséquences.
Depuis trois ans, les taux d’intérêt des prêts bancaires sont plafonnés. La mesure, combattue depuis le début par les banques, affiche un bilan décevant d’après le FMI. Le président Uhuru Kenyatta veut supprimer ce plafond, quitte à affronter une fronde parlementaire.
Si la conjoncture mondiale freine la reprise dans les économies du Maghreb et du Moyen-Orient, selon les prévisions du FMI publiées le 28 octobre, des raisons plus locales comme les déficits, les dettes et la mauvaise gouvernance y contribuent aussi.
Les prévisions de croissance de l’Afrique subsaharienne publiées par le Fonds monétaire international (FMI) le 18 octobre font état d’un ralentissement sous l’effet d’une poussée du protectionnisme.
Un Égyptien sur trois vit aujourd’hui au-dessous du seuil de pauvreté. Une réalité qui n’empêche pas Abdel Fattah al-Sissi d’accuser les islamistes d’être derrière les manifestations qui secouent son pays.
Critiqué pour sa faiblesse, le projet de budget 2020 s’achemine vers une refonte avant d’arriver à l’Assemblée nationale. Le gouvernement confirme en parallèle qu’il va négocier un nouveau programme d’aide avec le Fonds monétaire international.
L’Afrique doit entièrement revoir son modèle de croissance pour cesser d’être une bombe à retardement du fait de sa démographie. Voilà ce que suggère en substance l’économiste togolais Kako Nubukpo dans un nouvel essai publié aux éditions Odile Jacob.
Kristalina Georgieva, économiste bulgare de 66 ans, a succédé le 1er octobre à Christine Lagarde au poste de directrice générale du Fonds monétaire international (FMI). Son parcours à la Banque mondiale ou à la Commission européenne lui a donné plusieurs occasions de travailler avec le continent africain.
Fini le marasme, les principaux indicateurs macroéconomiques sont à l’équilibre et le pays affiche désormais une croissance stable. Qu’il va falloir mettre à profit pour enfin diversifier les activités et rendre la RDC plus compétitive.
Le Fonds monétaire international (FMI) et le Sénégal se sont entendus sur un ensemble de politiques macroéconomiques et de réformes censées engager l’État sénégalais à une bonne conduite en termes de croissance et d’endettement, et l’aider à obtenir des financements internationaux.
En chute libre depuis la mi-2014, les cours du brut ont légèrement remonté, le niveau des réserves est à nouveau positif, et le contexte sous-régional moins crispé. Autant de raisons d’espérer de meilleurs lendemains.
Si l’équilibre budgétaire a été rétabli, la prudence reste de mise, d’autant qu’il reste beaucoup à faire pour assurer l’essor des activités non extractives et, surtout, pour faciliter la vie du secteur privé.
Poids écrasant de la dette, déficits qui se creusent, investissement privé en berne, infrastructures insuffisantes… Faute d’une vision ambitieuse, les promesses du Printemps tunisien sont restées lettre morte, et les opérateurs étrangers s’impatientent.
Sur fond de crise causée par l’épidémie d’Ebola en RDC, le FMI salue l’opportunité de la transition politique pacifique du début d’année et appelle à plus de transparence dans les affaires économiques et minières congolaises, ainsi qu’à une clarification du budget.
«La relance économique par la diversification et le travail acharné. » C’est sous ce slogan qu’ont été placées, le 15 août dernier, les célébrations – moins ostentatoires que de coutume – de la fête nationale.
Après cinq ans de marasme financier et de récession, le pays renoue avec la croissance. Et, depuis qu’il a négocié la restructuration de sa dette bilatérale avec Pékin, il est revenu dans les bonnes grâces du FMI. À charge maintenant pour Brazzaville de prendre les mesures nécessaires pour repartir sur de bonnes bases.
En dépit de conditions sécuritaires difficiles, l’économie malienne a obtenu des résultats raisonnables selon le FMI qui approuve un nouvel accord pour appuyer la création d’emplois, la diversification de l’économie et renforcer la résilience,
Ce montant a été décaissé dans le cadre d’un accord triennal signé en 2017. Le dossier du pays n’avait pas été examiné lors de la précédente session du conseil d’administration du FMI à cause de la non-déclaration par Yaoundé de l’échéance de remboursement d’une dette vis-à-vis de l’Espagne.
Le Fonds monétaire international (FMI) a accordé, en juin, 245 millions de dollars à la Tunisie dans le cadre de son programme quinquennal (2016-2020) de Facilité élargie de crédit (FEC). Dans le compte-rendu de son 5e examen de la FEC, publié ce 18 juillet, l’institution internationale distribue ses bons et mauvais points.
Le responsable de la mission du FMI au Maroc salue les réformes déjà entreprises par le royaume mais juge qu’il reste des mesures à adopter pour l’accessibilité au marché du travail et la lutte contre les inégalités.
Le Fonds monétaire international (FMI) a annoncé, le 16 juillet que le conseil d’administration avait accepté la démission, effective à partir du 12 septembre, de sa directrice générale. L’institution doit lancer « rapidement » le processus de sélection du successeur de Christine Lagarde, laquelle doit prendre la tête de la Banque centrale européenne (BCE).
La Tunisie a émis un eurobond le 10 juillet dernier. Elle a obtenu 700 millions d’euros à rembourser sur sept ans à un taux de 6,375 %. Que disent ces chiffres de la situation financière du pays ? Décryptage.
Suite à l’article de Jeune Afrique annonçant la validation par le conseil d’administration du FMI d’un programme d’aide à destination du Congo-Brazzaville, l’avocate de la République du Congo, Simone Bernard-Dupré, a tenu à apporter des précisions.
Le conseil d’administration du FMI a approuvé le 11 juillet un programme triennal à destination de la République du Congo portant sur un montant de 448,6 millions de dollars. Une première tranche, de 44,9 millions de dollars, doit être immédiatement débloquée.
Pour les avocats de la société Commisimpex, en conflit depuis près de trente ans avec la République du Congo, le FMI doit exiger de Brazzaville une avancée dans le règlement du litige qui les oppose, comme elle l’a fait vis-à-vis d’autres créanciers du pays, notamment la Chine et les sociétés pétrolières Glencore et Trafigura.