Le FMI (Fonds monétaire international) est une institution internationale créée en 1944 destinée à assurer la stabilité du système monétaire international et la gestion des crises financières, à faciliter les échanges internationaux et à oeuvrer en faveur d’un emploi élevé. Il rassemble 188 États membres.
Proposée pour la présidence de la Banque centrale européenne, Christine Lagarde a cessé de diriger le Fonds monétaire international (FMI). Durant ses huit années passées à la tête de l’institution, elle a sillonné l’Afrique et contribué à adoucir l’image de « Père Fouettard » du Fonds.
Récusant les conclusions du FMI sur son taux d’endettement, Djibouti met en avant ses progrès en matière de climat des affaires, d’investissement et de diversification.
Nommé en janvier, le Premier ministre défend les réformes menées depuis la convalescence d’Ali Bongo Ondimba : réduction des dépenses, diversification de l’économie, lutte contre l’inflation…
Les uns souhaitent abolir ce qu’ils présentent comme un anachronique symbole de la colonisation. Les autres redoutent de déstabiliser les économies de la zone par des initiatives précipitées. Pour enfin sortir de ce débat stérile autour du franc CFA, JA propose des pistes de réflexion.
Le président togolais, Faure Gnassingbé, mise sur le Plan national de développement 2018-2022 pour accélérer les réformes structurelles et conduire le pays vers l’émergence. Cela sera-t-il suffisant ?
Si de nombreuses réformes ont été engagées et que le FMI félicite le gouvernement béninois pour ses résultats économiques, les tensions politiques, ainsi que le retard pris par plusieurs grands projets, inquiètent les milieux d’affaires.
Face à la baisse anticipée des recettes minières qui risque de ralentir la croissance du PIB congolais, une mission du FMI recommande à Kinshasa de consolider ses recettes, notamment fiscales, tout en encourageant la diversification de l’économie.
Comme la croissance économique, le chiffre d’affaires des 500 premières entreprises du classement Jeune Afrique repart nettement de l’avant. La chute des monnaies et la faiblesse des cours des matières premières sont absorbées. Mais les entreprises ne retrouvent pas encore les sommets passés.
Frappé en 2016 par la chute des cours des hydrocarbures, le pays a su retrouver le chemin de la croissance grâce à la diversification de l’activité. Mais de nombreux progrès restent à faire pour parvenir à l’émergence.
Le PIB du deuxième producteur d’or noir d’Afrique pourrait croître très modestement de 0,3 % en 2019. Moins que prévu en fin d’année dernière, mais mieux que jamais depuis trois ans.
Après avoir obtenu, en novembre 2018, un accord de principe pour la restructuration de son eurobond, Maputo annonce être proche d’un accord avec un autre de ses créanciers, la banque russe Vnechtorgbank (VTB), proche du Kremlin.
Comme le révèle le classement Jeune Afrique des 100 Africains les plus influents, de nombreuses personnalités du continent occupent des postes éminents dans les institutions internationales, mais rares sont celles à y occuper les plus hautes fonctions. Explications.
Le gouvernement ivoirien maintient sa prévision de croissance économique à 7,5 % pour l’année 2019, malgré les réticences du Fonds monétaire international (FMI) qui l’estimait plutôt à 7,4 %.
L’organisation de Bretton Woods a annoncé, ce 9 mai, avoir conclu un accord avec le gouvernement du Congo-Brazzaville, ouvrant la voie à un programme d’aide. Une décision attendue depuis plus de deux ans.
Malgré le contexte difficile, la croissance devrait se maintenir durablement grâce aux efforts des pouvoirs publics, ainsi qu’à la vitalité des secteurs agricole et minier.
Annoncé en conseil des ministres, l’accord de restructuration de la dette congolaise signé le 29 avril avec la Chine pourrait ouvrir la voie à la conclusion d’un programme d’aide du FMI.
Selon Jihad Azour, directeur du département Moyen-Orient, Afrique du Nord et Asie centrale au Fonds monétaire international (FMI), c’est l’incertitude qui domine sur la croissance des pays du Maghreb et du Moyen-Orient.
Les prévisions du Fonds monétaire international (FMI) publiées vendredi 12 avril confirment le regain de croissance en Afrique subsaharienne, où les économies devraient progresser de 3,5 % en 2019 contre 3 % en 2018.
Meilleure gestion des finances publiques, économie plus résiliente, climat des affaires amélioré : de retour du Maroc, une mission du FMI livre des observations positives et encourageantes concernant la politique économique du royaume.
Alors que la dette crevait le plafond, le Ghana n’a eu d’autre choix, en 2015, de se tourner vers le FMI pour redresser la barre, avec un programme qui a pris fin le 20 mars dernier et que Nana Akufo-Addo n’a pas souhaité renouveler. Si les indicateurs macroéconomiques sont presque revenus à la normale, il reste du chemin à parcourir, alors que l’approche de l’élection présidentielle laisse présager d’importantes dépenses.
Denis Sassou Nguesso (DSN) avait invité plusieurs personnalités à Oyo, le 10 mars dernier. L’ancien dirigeant du FMI Dominique Strauss-Kahn, le patron de presse français Matthieu Pigasse ou encore l’ancien président béninois Thomas Boni Yayi étaient notamment présents.
Des négociations entre la Chine, Exim Bank et la République du Congo ont été axées sur l’annulation ou le rééchelonnement de la dette congolaise, dont 35% sont détenus par Pékin. L’annonce de l’ambassadeur chinois à Brazzaville devrait permettre au pays de conclure un accord avec le FMI.
Grâce à des choix stratégiques avisés et à une conjoncture favorable dans les secteurs clés, le gouvernement sénégalais affiche un bilan positif. Mais la population attend une amélioration plus tangible de ses conditions de vie.
Le Fonds monétaire international (FMI) a annoncé lundi le déblocage d’une nouvelle tranche de prêt de quelque deux milliards de dollars en faveur de l’Égypte, à l’issue d’un nouvel examen du programme de réformes économiques de cette dernière.
Deux ans après le lancement du Programme d’actions du gouvernement, la relance est bien engagée dans tous les secteurs clés. Mais cette croissance retrouvée est-elle pérenne ? Et profitera-t-elle vraiment à tous ?
Nous sommes à la fin de 2018 et je m’adresse à vous, amis lecteurs, pour la dernière fois de l’année. Quitte à endosser le rôle du rabat-joie, il m’incombe d’attirer votre attention sur deux problèmes aigus qui risquent de mener le continent vers la plus sérieuse des régressions !
Cinq interpellations ont eu lieu, entre le 29 décembre 2018 et le 3 janvier 2019, dans le cadre de l’enquête sur la « dette cachée » du Mozambique, emprunts réalisés en 2013 et 2014 par trois entreprises publiques qui avaient précipité le pays dans une grave crise financière.
Après deux années de récession, la croissance reprend timidement des couleurs en Afrique centrale. Mais, si la catastrophe a pu être évitée, il y a encore loin de la coupe aux lèvres.
Tous les pays membres de la Cemac ne respectent pas l’obligation d’apporter leurs gains en devises à la Beac, préférant en déposer une partie sur un compte plus rémunérateur à l’étranger. Rompre avec cette pratique pourrait leur permettre de reconstituer leurs réserves de change, préconise le FMI.