Le FMI (Fonds monétaire international) est une institution internationale créée en 1944 destinée à assurer la stabilité du système monétaire international et la gestion des crises financières, à faciliter les échanges internationaux et à oeuvrer en faveur d’un emploi élevé. Il rassemble 188 États membres.
Réunis à N’Djamena, les chefs d’État de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale sont parvenus à régler nombre de dossiers épineux… À commencer par la suppression des visas.
Alors que les manifestations reprennent ce mardi, la délégation du FMI qui était en mission de revue à Lomé la semaine dernière estime que les tensions qui secouent le pays depuis plusieurs semaines pourraient écorner les bons résultats économiques du Togo.
la politique économique et financière de Yaoundé a été passée au crible par les deux institutions financières internationales. Si la BAD salue les progrès réalisés en matière de développement, le FMI encourage le gouvernement à « poursuivre ses efforts », notamment en matière de gestion de la trésorerie.
Une fois de plus, si l’on en croit les prévisions qu’a publiées le mardi 30 octobre le Fonds monétaire international (FMI) pour les 23 pays du Maghreb et du Moyen-Orient, la cassure est franche entre les pays exportateurs de pétrole et les pays qui l’importent. Même si leur point commun est que le pire est passé.
Dans son dernier rapport sur les perspectives régionales de l’économie de l’Afrique subsaharienne, le Fonds monétaire international confirme la reprise économique dans la zone, mais s’inquiète de voir dans certains pays le revenu par habitant se dégrader et l’endettement augmenter.
La Tunisie veut réduire son déficit budgétaire en augmentant les impôts et en freinant l’augmentation des salaires l’année prochaine, rapporte Bloomberg.
Malgré l’instabilité politique et la situation sécuritaire, le Mali reste le troisième producteur d’or du continent, le second pour la production du coton et le premier pays de l’Uemoa en matière de cheptel…
L’agence de notation Moody’s a déclaré, dans une analyse annuelle publié ce lundi, que le profil de crédit du gouvernement de la république du Congo présentait un risque de défaut élevé. L’agence de notation a pointé les risques de pertes pour les créanciers privés, à cause d’une crise de liquidité aiguës et d’un bilan fragile.
Le port d’Owendo, inauguré ce samedi 14 octobre, offre une « nouvelle porte maritime » au Gabon et va « accélérer les échanges et générer une économie de plusieurs milliards par an », promet le chef de l’État. Opérationnel depuis juin, le port entièrement rénové a finalement été lancé après un bras de fer tendu entre l’État, Bolloré Transport & Logistics et Olam Gabon.
L’État gabonais a adopté son projet de loi de finances pour 2018, avec un budget en légère baisse dans un contexte économique difficile et un pays confronté à des détournements massifs d’argent public.
L’institution européenne vient de valider le versement de la première des trois tranches du Programme d’assistance macrofinancière de 500 millions d’euros en faveur de la Tunisie, validé en 2016. Des fonds affectés au budget général, qui doivent aider le pays à faire face à la crise de balance des paiements qu’il traverse.
Le président de la National Oil Corporation (NOC), Mustafa Sanalla, est l’une figure clé du pays. Pour Jeune Afrique, il revient sur les enjeux de la sécurisation de la production pétrolière et en appelle à toutes les parties pour mettre un terme aux blocages et attaques qui ont coûté 180 milliards de dollars au pays depuis le début de la crise.
Le Sénégal est sur une trajectoire de croissance soutenue. Mais pour tenir le cap, il faut renforcer la compétitivité du privé, en soutenant les PME-PMI et en remobilisant l’investissement direct étranger.
Les trois entreprises publiques mozambicaines impliquées dans l’affaire de la dette cachée, qui avait conduit le FMI et d’autres grands bailleurs de fonds à suspendre leur aide budgétaire aux pays, ont contesté des conclusions de l’audit réalisé par le cabinet Kroll LLC, rapporte Bloomberg.
Le Fonds monétaire international (FMI) a confirmé ce 10 octobre sa prévision de croissance à 2,6% pour l’Afrique subsaharienne en 2017. Mais l’institution de Bretton Woods souligne la fragilité récurrente des deux moteurs économiques du continent, le Nigeria et l’Afrique du Sud.
Pour « sauver l’État de la faillite », le Premier ministre algérien, Ahmed Ouyahia a opté pour la planche à billets. À cet effet, les députés ont adopté dimanche 8 octobre un texte autorisant le Trésor à emprunter directement à la Banque centrale. Au-delà de cette arme à double tranchant, quelles sont les mesures urgentes à prendre pour sortir du marasme ? L’avis des experts et des opérateurs privés.
La dette publique de la République du Congo s’élevait à quelque 9,14 milliards de dollars américains fin juillet, représentant 110% du PIB, a annoncé mercredi le Fonds monétaire international à l’issue d’une mission menée dans le pays.
Le FMI a annoncé que son conseil d’administration avait révisé le cadre d’évaluation de la viabilité de la dette pour les pays à faibles revenus. Un cadre que l’institution partage avec la Banque Mondiale et qui conditionne les politiques de prêts de nombreux bailleurs de fonds.
L’aide du FMI ne suffira pas à relancer les économies de la zone. Nouvelles sources de financement, recettes fiscales, diversification… JA fait le tour des réformes à engager d’urgence pour renouer avec la croissance.
Le Fonds monétaire international (FMI) a annoncé vendredi qu’il allait envoyer mardi une équipe à Brazzaville pour faire notamment le point sur l’évolution économique de la République du Congo et la situation précaire de sa dette.
La dernière mission du FMI à Antananarivo a remarqué les efforts déployés par le gouvernement malgache pour redresser l’économie du pays. Cependant, les chocs climatiques subis cette année, et en particulier le passage du cyclone Enawo, ont laissé des traces.
À l’issue d’une mission de contrôle à Dakar, du 7 au 19 septembre 2017, le FMI s’est inquiété de l’endettement du pays. Le service de la dette – soit la somme que le Sénégal doit payer chaque année pour honorer sa dette -, qui s’élevait à 24% des recettes de l’État en 2014, devrait passer à 30% en 2017.
Inscrite dans la continuité plutôt que dans la rupture, la nouvelle équipe de Youssef Chahed n’en est pas moins sommée de mettre en œuvre les indispensables réformes dont la Tunisie a urgemment besoin, sous peine de sombrer.
Dans un communiqué publié lundi 5 septembre, le Groupement inter-patronal du Cameroun (Gicam) se dit inquiet des « contraintes et risques importants » que fait peser le programme de réformes économiques et financières imposé par le FMI, en juin dernier, en échange d’une aide financière, et a formulé des remarques et propositions sur la mise en oeuvre de ces réformes.
Alors que N’Djamena va tenter de collecter 3 milliards d’euros à Paris début septembre, le ministre tchadien de l’Économie et de la Planification du développement défend les efforts engagés par le pays pour relancer son économie.
Mi-juillet, le président Nana Akufo-Addo voulait « passer à autre chose » au terme du programme d’un milliard de dollars de soutien à l’économie ghanéenne conclu en avril 2015 et prévu pour durer trois ans. Il n’en sera rien : il sera prolongé d’un an, ont fait savoir les équipes de l’Institution de Bretton Woods jeudi.
Après plus de vingt ans dans l’opposition, Clément Mouamba, banquier au long cours, a été nommé à la tête du gouvernement en avril 2016, au lendemain de la présidentielle et au plus fort de la crise financière.
Avec la chute des cours mondiaux du baril amorcée en 2014 et une production pétrolière également en baisse au niveau national, il ne faut pas attendre de miracle au Congo-Brazzaville.