Le FMI (Fonds monétaire international) est une institution internationale créée en 1944 destinée à assurer la stabilité du système monétaire international et la gestion des crises financières, à faciliter les échanges internationaux et à oeuvrer en faveur d’un emploi élevé. Il rassemble 188 États membres.
Fitch Ratings a annoncé dans un communiqué publié mardi 22 août avoir maintenu à « B+ » (catégorie « Très spéculatif) la note de la Côte d’Ivoire, avec perspective stable. L’agence s’inquiète des risques politiques croissants, mais estime que la croissance restera élevée et que l’endettement est maîtrisé.
L’opération vise à apurer des dettes anciennes, dans un contexte de stress macroéconomique pour le Gabon qui a récemment dû consentir un plan de sauvetage du FMI.
La responsabilité de la Tunisie dans l’expropriation illégale du groupe ABCI, qui était actionnaire majoritaire de la Banque franco-tunisienne (BFT), ayant été confirmée le 17 juillet par un tribunal international, les avocats représentant le gouvernement cherchent désormais à éviter le versement d’une amende qui plomberait le budget de l’État.
Les prestataires de service d’investissement désireux d’arranger l’opération ont déposé leurs offres au ministère des Finances le 5 août. D’une maturité de cinq ans, l’emprunt sera le cinquième du genre lancé par le pays.
Ils manifestent en réaction aux propos d’un conseiller du chef du gouvernement, qui a évoqué la possibilité de privatiser la RNTA pour renflouer les caisses de l’État.
Je vous soumets ici le cas d’un pays africain et méditerranéen de 11 millions d’habitants. Son PIB annuel (revenu national) est de l’ordre de 45 milliards de dollars, ce qui en fait un pays moyennement développé.
Le dernier rapport du FMI sur les perspectives économiques mondiales, publié lundi 24 juillet, prévoit un léger regain de croissance dans les économies émergentes, notamment en Afrique. Cependant, la rechute des cours du pétrole depuis mars 2017 et la forte croissance de la population entravent l’embellie économique dans de nombreux pays du continent. L’institution incite les économies en difficulté à mener leurs réformes structurelles tant que la croissance est encore bonne.
Jeudi 20 juillet, le ministre zimbabwéen des Finances, Patrick Chinamasa, a indiqué que des compensations de 134 millions de dollars ont été versées aux fermiers blancs expropriés lors de la réforme agraire de l’an 2000. Une demande ancienne, dont les intéressés disent ne pas avoir vu la couleur, et dont les prêteurs internationaux, FMI en tête, font une des conditions de leur retour dans le pays.
Des médias congolais ont fait état mardi 18 juillet d’une suspension des paiements de l’État au niveau de la Banque centrale du Congo (BCC). La rumeur, démentie par la BCC, trahit la fébrilité économique du pays, qui risque d’entrer en défaut de paiement à cause de la pénurie en devise.
Le Fonds monétaire international (FMI) a approuvé, lundi 19 juin, un prêt pour la période 2017-2020 de 642 millions de dollars (573 millions d’euros) au Gabon. Il était temps : le prix du pétrole a reculé de plus de 15 % en un mois.
Depuis le début de l’année 2017, la diplomatie allemande multiplie les initiatives économiques en faveur du continent africain. Profitant de sa posture de Président en exercice du G20, dont le prochain sommet est prévu à Hambourg les 7 et 8 juillet prochain, Angela Merkel, en recevant neuf chefs d’État du continent à Berlin, a confirmé son attachement à un partenariat fécond avec l’Afrique, avec comme premier socle la mise en œuvre d’un plan que d’aucuns ont qualifié de « Plan Marshall pour l’Afrique ».
Le conseil d’administration du FMI a approuvé un accord triennal de 312,1 millions de dollars pour le Tchad, soit 160% du quota du pays, dans le cadre de son programme de facilité élargie de crédit (FEC). Annoncée dans un communiqué publié le 30 juin, cette décision autorise un premier décaissement immédiat de 48,8 millions de dollars.
En difficulté, le Cameroun bénéficie d’une aide du FMI de 666,2 millions de dollars assortie d’un ajustement peu douloureux. Le Fonds lui demande de moins emprunter et de mieux choisir ses investissements.
Le Fonds monétaire international (FMI) a accordé lundi un crédit de 666,2 millions de dollars au Cameroun, en échange d’un programme économique à mener sur trois ans pour redresser une économie mise à mal par la chute des prix pétroliers.
Les compagnies publiques mozambicaines n’ont apporté aucune justification sur l’usage de près d’un quart des deux milliards de dollars de prêts actuellement audités, selon un rapport de Kroll LLC divulgué samedi 24 juin.
Le Fonds monétaire international (FMI) a approuvé une augmentation de 224,8 millions de dollars de ses deux programmes de crédit pour la Côte d’Ivoire, qui atteignent désormais un montant total de 899,2 millions de dollars.
Le Fonds monétaire international (FMI) a approuvé, le 19 juin, un prêt sur trois ans de 642 millions de dollars au Gabon au titre de son mécanisme élargi de crédit, conformément à son engagement de mener « une action décisive » dans la Communauté économique et monétaire d’Afrique centrale (Cemac) qui traverse une grave crise économique. Une première pour le pays.
Après avoir achevé un audit du programme économique tunisien, le conseil d’administration du FMI a autorisé le décaissement d’une nouvelle tranche d’aide de 314,4 millions de dollars pour le pays, dans le cadre de son programme de crédit sur 4 ans.
Le FMI a a approuvé un programme de facilité de crédit de 224,2 millions de dollars (199,4 millions d’euros) sur 3 ans pour soutenir les efforts de développement du gouvernement dans la lutte contre l’inflation, les dépenses en infrastructures et le renforcement du filet de sécurité sociale. L’institution a déjà autorisé un premier décaissement de 54,3 millions de dollars.
Le dernier message « africain » de François Hollande n’a pas été des plus amènes. Mi-avril, celui qui était encore le chef de l’État français a écrit à plusieurs de ses homologues d’Afrique centrale – dont le Camerounais Paul Biya et le Congolais Denis Sassou Nguesso – pour leur conseiller de conclure au plus vite un accord avec le FMI.
Le taux de chômage s’est établi à 27,7% au premier trimestre 2017, contre 26,5% au dernier trimestre 2016, d’après un rapport de l’agence nationale des statistiques, basée à Pretoria, publié jeudi 1er mai.
La Tunisie a relevé son taux d’intérêt de référence pour le deuxième mois consécutif, le propulsant à son plus haut niveau depuis plus de 5 ans, dans l’optique de lutter contre l’inflation et d’endiguer la dépréciation du dinar.
Après une mission de contrôle de dix jours au Mali qui s’est révélée satisfaisante, le FMI a décidé d’étendre son programme d’aide au pays sur une année supplémentaire.
Les habitants du Soum, qui redoutent plus que jamais le terrorisme islamique, tout comme les chômeurs de Bobo-Dioulasso, qui ne comprennent pas pourquoi ils ne trouvent pas de travail dans la capitale économique du pays, s’impatientent de ne pas voir d’amélioration dans leur quotidien. Et pourtant, le Burkina Faso bouge, et l’année 2017 est appelée à le confirmer.
Selon les prévisions du Fonds monétaire international (FMI), publiées le 9 mai à Dakar, l’économie de l’Afrique subsaharienne repart, mais à une vitesse décevante par rapport à la décennie 2005-2015. L’institution s’est, en outre, penchée pour la première fois sur le poids des entreprises du secteur dit informel dans le PIB du continent.
Si les pays pétroliers souffrent toujours, le FMI estime que le pire est passé pour de nombreuses économies africaines. Mais, dans un contexte mondial très instable, la prudence reste de mise…