Le FMI (Fonds monétaire international) est une institution internationale créée en 1944 destinée à assurer la stabilité du système monétaire international et la gestion des crises financières, à faciliter les échanges internationaux et à oeuvrer en faveur d’un emploi élevé. Il rassemble 188 États membres.
Un écolo nigérian à la tête de l’Opep, Isabel dos Santos qui prend la tête de la compagnie pétrolière angolaise Sonangol, le Nigeria officiellement entré en récession… Voici un condensé des principaux tournants économiques pris par le continent durant l’année 2016.
Un programme de financement du Plan national de développement 2016-2020 avait fait l’objet d’un accord entre Abidjan et Washington en octobre. Il vient d’être validé par le FMI.
La directrice générale du FMI et ancienne ministre de l’Économie de Nicolas Sarkozy a été reconnue coupable de négligence par la Cour de justice de la République, pour son rôle en 2008 dans l’arbitrage en faveur de l’homme d’affaires Bernard Tapie dans le litige qui l’opposait au Crédit Lyonnais.
Il s’en est fallu d’un cheveu pour que Hakim Ben Hammouda devienne directeur du département Moyen-Orient et Asie centrale du FMI – poste qui était à pourvoir depuis l’annonce du départ de son titulaire, le Pakistanais Masood Ahmed.
Comme la Banque mondiale, le Fonds monétaire internationale avait suspendu en avril 2016 son aide financière au Mozambique, après la découverte d’1,4 milliard de dettes absentes des statistiques officielles.
Ouagadougou s’est vu promettre 12,2 milliards d’euros de la part de bailleurs de fonds tels que le FMI et la Banque mondiale pour le financement de son Plan national de développement économique et social (2016-2020) adopté en mai dernier.
À l’issue de la première journée de la conférence des bailleurs et investisseurs pour Madagascar qui se tient à Paris jeudi et vendredi, la Grande Île a récolté plus de 6,4 milliards de dollars d’engagements.
La Banque centrale a annoncé ce jeudi que l’Égypte, en quête de liquidités pour soutenir une économie chancelante, avait obtenu un financement de deux milliards de dollars (1,8 milliard d’euros) de la part d’un consortium de banques internationales.
Les prévisions de croissance du Fonds monétaire international (FMI) s’assombrissent une fois de plus pour l’Afrique subsaharienne, si l’on en croit les chiffres publiés mardi.
Les équipes du FMI n’ont pas adressé de satisfecit à la Tunisie lors de leurs rencontres avec ses dirigeants, en marge des assemblées annuelles du Fonds et de la Banque mondiale qui se tenaient le 7 et 8 octobre à Washington.
Le Fonds monétaire international (FMI) et les autorités ivoiriennes sont parvenus à un accord préalable sur un programme économique de trois ans visant à soutenir le Programme national de développement. Entre 2016 et 2020, le PND vise notamment à aider l’industrialisation de l’économie ivoirienne par le secteur privé.
Dans une nouvelle mise à jour de son rapport « World Economic Outlook 2016 » paru mardi, le Fonds monétaire international a réduit de 0,2 point sa prévision de croissance pour l’Afrique subsaharienne cette année. Le FMI tire également la sonnette d’alarme sur les effets de la fuite des cerveaux sur les économies de la région.
Le ministre de l’Investissement Fadhel Abdelkéfi a tiré la sonnette d’alarme mercredi : selon lui, la Tunisie est en « état d’urgence économique », frappée par une croissance atone et des déficits publics grandissants.
Christine Lagarde a annoncé jeudi qu’Abebe Aemro Sélassié allait succéder à Antoinette Sayeh à la tête du département africain du Fonds monétaire international. Il prendra ses nouvelles fonctions le 19 septembre.
Selon une note du Fonds monétaire international, le PIB de la Guinée équatoriale devrait reculer de près de -10 % cette année, dans un contexte marqué par un prix du pétrole faible et un recul de la production d’hydrocarbures. Sur la base des projections actuelles de l’institution internationale, le pays ne devrait pas retrouver la croissance avant 2021.
Dans une interview accordée à l’agence « Reuters », la directrice générale du Fonds monétaire international a indiqué qu’une nouvelle baisse de la prévision de croissance mondiale en 2016 était probable, du fait notamment de la faiblesse de la demande et du ralentissement des investissements.
Stabilité du cadre macroéconomique et robustesse de la croissance, telle est, en substance, l’appréciation faite sur l’économie sénégalaise par la mission du Fonds monétaire international, qui a séjourné dans la capitale sénégalaise du 17 au 30 août.
Le président zambien s’est engagé à « maîtriser » les dépenses budgétaires d’ici 2021. Une baisse des subventions énergétiques et agricoles devrait faire partie du package de réformes élaboré dans le cadre d’une aide négociée avec le Fonds monétaire international.
Les équipes du Fonds monétaire international ont trouvé ce jeudi un accord préliminaire avec le gouvernement égyptien pour un prêt d’environ 12 milliards de dollars. Ce financement doit maintenant être approuvé par le conseil d’administration du FMI.
Albert Zeufack à la Banque mondiale, Célestin Monga à la BAD. Ces Camerounais pilotent désormais la stratégie économique des deux plus importantes institutions de développement en Afrique. Portraits croisés.
Réunis à Cotonou, au Bénin, les gouverneurs africains de la Banque mondiale et du FMI ont validé une déclaration commune, exhortant ces institutions à soutenir le continent à travers des financements massifs et à des taux préférentiels.
Les ministres en charge du Développement et/ou des Finances des 54 pays africains ainsi que les gouverneurs des banques centrales de la région sont réunis depuis jeudi au Palais des congrès de Cotonou, pour le « Caucus africain Banque mondiale-FMI 2016 autour du thème : « Accroître l’appui des Institutions de Bretton Woods en vue de répondre aux chocs, renforcer la croissance et promouvoir la transformation de l’Afrique ».
Le 30 juin, le FMI a annoncé que l’Angola abandonnait sa demande de soutien financier, lancée en avril 2016. Cette décision surprenante s’explique tout d’abord par le rebond des prix du pétrole – dont le cours moyen depuis le 1er avril a atteint 46 dollars le baril.
Le Parlement a approuvé une modification de la loi encadrant les activités de la Banque centrale du Ghana, limitant ses prêts au gouvernement à 5 % des recettes de l’année précédente. Le FMI réclamait une abolition de cette facilité de financement.
Améliorer la gouvernance des établissements, encadrer la finance islamique, protéger les déposants… Le texte adopté par l’Assemblée serait-il le prélude à une réforme plus profonde du secteur ?
C’est l’affaire des « tuna bonds » (obligations thonières), autour de la société Ematum, créée en août 2013 par les autorités, qui a mis le feu aux poudres.