Le FMI (Fonds monétaire international) est une institution internationale créée en 1944 destinée à assurer la stabilité du système monétaire international et la gestion des crises financières, à faciliter les échanges internationaux et à oeuvrer en faveur d’un emploi élevé. Il rassemble 188 États membres.
Cet accord est le troisième signé entre Rabat et le Fonds monétaire international depuis 2012. Le Maroc peut puiser dans cette ligne de financement pour répondre à une crise de sa balance de paiements. Ce mécanisme compte toutefois plusieurs détracteurs, qui mettent en doute son utilité et s’alarment de son coût.
Le Fonds monétaire international a approuvé mi-juillet un décaissement de 17,1 millions de dollars en faveur du Niger, dans le cadre d’un programme de prêt initié en 2012. Au total, le Fonds a déboursé 150 millions de dollars en quatre ans, à travers ce mécanisme.
Le Fonds monétaire international (FMI) a annoncé jeudi que l’Angola a interrompu le processus de demande d’aide financière, sollicitée par le pays en avril, alors qu’un pré-accord sur un prêt d’environ 4,5 milliards de dollars était déjà conclu.
Alors qu’une mission du FMI a séjourné à Luanda en juin, le banquier Daniel Ribant, auteur de « L’Angola de A à Z », estime que ce recours à l’institution est une excellente nouvelle. Explications.
Alors que le cours du baril stagne au plus bas, la Banque centrale de la Cemac multiplie les mesures exceptionnelles pour venir en aide aux États membres, très dépendants du pétrole. « Jeune Afrique » fait le bilan.
Ce décaissement, approuvé le 08 juin, porte à 58 millions de dollars le financement apporté par le Fonds monétaire international au Mali, dans le cadre d’une facilité de crédit instaurée en décembre 2013. Cet accord a été prorogé jusqu’à décembre 2017.
Personne n’aime être porteur de mauvaises nouvelles. Est-ce la raison pour laquelle ni leurs gouvernants ni l’Union africaine n’ont dit aux Africains que leur continent est dans une très mauvaise passe économique ?
Une mission du Fonds monétaire international (FMI), qui s’est rendu dans le pays mi-mai, suggère aux autorités algériennes l’emprunt extérieur et l’ouverture du capital de certaines entreprises publiques, pour faire face à la baisse de l’épargne publique. Une option pour le moment écartée alors qu’un emprunt obligataire national a été lancé en avril.
Ébranlés par la chute du cours de l’or noir, les principaux exportateurs adaptent leurs politiques monétaires pour faire face à l’inflation et à l’épuisement des réserves de change . Et éviter la catastrophe.
«Mettez en place des réformes économiques, nous vous financerons. » C’est en substance la condition que pose le FMI à la Tunisie pour l’octroi d’un prêt de 2,8 milliards de dollars (2,4 milliards d’euros), décaissés en quatre tranches et remboursables avec un taux d’intérêt compris entre 1 % et 3 % sur quatre à dix ans.
Confrontés à la baisse des cours de l’or noir et des matières premières, les pays subsahariens en sont réduits à faire appel à l’institution de Bretton Woods, dont l’aide passée a pourtant laissé de forts mauvais souvenirs.
Dans une note publiée cette semaine, le Fonds monétaire international (FMI) enjoint les pays d’Afrique subsaharienne à » changer radicalement de cap » alors que la croissance économique de la région est tombée à son plus bas niveau depuis une quinzaine d’années.
Après le Fonds monétaire international, la Banque mondiale a annoncé mercredi avoir suspendu certains de ses prêts au Mozambique après la découverte de près d’1,4 milliard de dollars de dette cachée.
La bonne performance de 2015 (+6 %) devrait être maintenue cette année, à moins d’une dégradation de la situation sécuritaire. L’institution internationale salue en outre les efforts en matière de discipline budgétaire du gouvernement.
Le Fonds monétaire international ne parie désormais que sur une croissance de +3 % en Afrique subsaharienne en 2016, contre une prévision de +4 % avancée en janvier dernier. En Afrique du Nord et au Moyen-Orient, elle est attendue à +2,9 %, contre +3,6 % évoqués précédemment.
Bénin, Togo, Maroc, France, UEMOA, FMI : les délégations de nombreux pays et organisations internationales ont été reçues par le président ivoirien après l’attentat qui a coûté la vie à quinze civils et trois membres des forces de sécurité, selon un dernier bilan.
La nouvelle estimation du FMI représente une hausse de 140 points de base par rapport à sa précédente évaluation. Le nouveau chiffre est très proche de celui évoqué fin 2015 par le gouvernement sénégalais – et qui avait été à l’époque contesté par une partie de l’opposition.
Une délégation du Fonds monétaire international est à Tunis pour des négociations autour d’une nouvelle ligne de crédit pouvant atteindre 1,7 milliard de dollars.
Le Fonds monétaire international se tient prêt à apporter son concours à toute demande de soutien financier d’un État africain mis sous pression par la chute des cours des hydrocarbures, a-t-il indiqué mardi. Pour l’heure, cependant, aucune demande officielle ne lui a été adressée.
Dans la nouvelle édition de son rapport « Perspectives de l’économie mondiale », le Fonds monétaire internationale parie sur une croissance de 4 % et 4,7 % en Afrique subsaharienne en 2016 et en 2017 respectivement, contre 3,5 % en 2015. Dans la zone Afrique du Nord et Moyen-Orient, elle est attendue à 3,6 % cette année, contre 2,5 % en 2015.
Le faible niveau des cours du pétrole est « une nouvelle réalité » pour les pays d’Afrique centrale, a déclaré Christine Lagarde. La directrice générale du FMI, en visite au Cameroun, a invité les pays de la Cemac dont les économies dépendent des hydrocarbures à accélérer leur diversification.
Le Nigeria, première puissance économique d’Afrique, dont les recettes ont fondu avec la chute mondiale des cours de pétrole, n’a pas besoin d’un prêt du Fonds monétaire international, a estimé mardi la patronne du FMI.
La directrice générale du Fonds monétaire international (FMI) entame ce lundi une tournée de six jours en Afrique. Elle devrait notamment rencontrer le président nigérian Muhammadu Buhari et son homologue camerounais Paul Biya.
Ce montant constitue la deuxième tranche de l’accord triennal de facilité élargie de crédit (FEC) portant sur 148,4 millions de dollars. Confronté à la chute des cours du brut et au choc sécuritaire en rapport avec Boko Haram, Ndjamena veut prévenir les difficultés de balance de paiements.
Après sa première année d’exercice, malgré la fronde menée par les puissants syndicats des régies financières, l’Office togolais des recettes affiche un bilan plutôt positif.