Le FMI (Fonds monétaire international) est une institution internationale créée en 1944 destinée à assurer la stabilité du système monétaire international et la gestion des crises financières, à faciliter les échanges internationaux et à oeuvrer en faveur d’un emploi élevé. Il rassemble 188 États membres.
Comme prévu, le yuan chinois a fait son entrée le 30 novembre dans le club très fermé des principales monnaies de réserve internationale à la faveur de son intégration dans l’unité de compte du Fonds monétaire international (FMI).
Quand ils ne leur sont pas favorables, les classements du FMI, de la Banque mondiale et consorts ont le don de les irriter. Après le Cameroun, le Rwanda ou la France, c’est le Sénégal qui fait la tête.
Les recettes budgétaires fondent, l’inflation augmente, l’industrie est en panne… Pourtant, la croissance pourrait rebondir en 2016, pourvu que la situation politique s’éclaircisse.
Alors que l’indice Mo Ibrahim montre que le continent souffre de problèmes de gouvernance accrus, le FMI pense qu’il devra se contenter d’une croissance de 3,8 % cette année. Mais ces rapports soulignent aussi la diversité de ses pays : quand la Cemac recule, l’UEMOA continue de progresser…
Malgré un risque politique « élevé » et les menaces terroristes pesant sur l’économie tunisienne, Fitch a maintenu la notation à long terme de la dette du pays à « BB-« . L’agence salue notamment la recapitalisation des banques publiques.
Freddy Matungulu Mbuyamu, qui a pris sa retraite du Fonds monétaire international à la fin de l’année dernière, s’apprête à faire son grand retour dans l’arène politique kinoise.
Gouverneur de la Banque centrale de Tunisie (BCT) depuis 2012, Chedly Ayari envisage-t-il de faire un second mandat à la tête de l’institution (le premier s’achèvera en mars 2016) ?
En visite à Tunis, la directrice du FMI, Christine Lagarde, a fait le point sur l’avancement des réformes auxquelles s’est engagé le pays, tout en réitérant son soutien aux autorités tunisiennes. Ces dernières envisageraient même de recourir à une nouvelle aide financière.
L’institution internationale, qui a accepté de prêter près d’un milliard de dollars à Accra, appelle le pays d’Afrique de l’Ouest à poursuivre ses efforts afin de contrôler les dépenses publiques et l’inflation.
La délégation du Fonds monétaire international a trouvé un accord avec les autorités tunisiennes pour la mise à disposition de 304 millions de dollars dans le cadre du programme d’aide de 1,7 milliard de dollars approuvé par l’institution internationale en 2013.
Le Fonds monétaire international a réduit de 150 points de base ses estimations de la hausse du PIB de Madagascar en 2015. La situation pourrait encore se dégrader avertit l’institution internationale.
Faut-il que les plus fortunés gagnent un maximum d’argent pour que les pauvres en profitent à leur tour ? Sûrement pas. Et c’est le Fonds monétaire international, chantre de l’ultralibéralisme, qui le dit.
Alors que le gouvernement ivoirien parie sur une hausse de 9,4 % du PIB du pays en 2015, dans une note publiée cette semaine, le Fonds monétaire internationale se montre plus prudent.
Selon le FMI, l’Algérie doit mettre en place des réformes structurelles qui permettent de diversifier le secteur des exportations et de le rendre beaucoup plus compétitif, pour faire face à la chute du prix du pétrole.
Le FMI a prolongé de six mois la durée de son programme de soutien à la Tunisie. L’accord de financement, d’une valeur totale de 1,75 milliard de dollars, approuvé en 2013 aurait dû s’achever en juin 2015. Il a été prorogé jusqu’au 31 décembre.
Selon le Fonds monétaire international, la croissance économique devrait se situer à 2,2 % en 2015, contre 4,6 % l’année dernière, dans les pays de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale (Cemac), en raison de la chute des cours du pétrole et de la baisse des investissements publics.
La Banque mondiale et le FMI viennent de baisser leurs prévisions de croissance économique en 2015 pour l’Afrique subsaharienne à 4 % et 4,5 % respectivement. En cause : la chute du cours des matières premières.
Le FMI a annoncé jeudi avoir achevé son plan d’allègement de dette d’environ 100 millions de dollars en faveur des trois pays africains frappés par l’épidémie d’Ebola : le Liberia, la Sierra Leone et la Guinée.
Le Ghana et le Fonds monétaire internationale ont trouvé un accord sur un programme de soutien d’une valeur de près d’un milliard de dollars et d’une durée de trois ans, qui devrait aider le pays d’Afrique de l’Ouest à retrouver la stabilité financière.
Christine Lagarde, directrice générale du Fonds monétaire international, s’est déclarée satisfaite des accomplissements de la Tunisie en matière de transition démocratique et politique. Fin décembre, l’institution internationale a approuvé le versement de 105 millions de dollars dans le cadre d’un plan de soutien de 1,75 milliard de dollars.
Le FMI a annoncé lundi avoir repris son aide financière au Mali. Elle était gelée depuis six mois et la découverte d' »irrégularités » budgétaires, dont l’achat d’un avion présidentiel pour 40 millions de dollars.
Le Fonds monétaire international (FMI) est « prêt à faire plus si nécessaire » pour la Guinée, l’un des trois pays africains les plus affectés par l’épidémie d’Ebola, a affirmé sa directrice Christine Lagarde à l’issue d’une rencontre vendredi avec le président guinéen Alpha Condé.
Le Fonds monétaire international (FMI) a approuvé vendredi une enveloppe supplémentaire de 130 millions de dollars en faveur des trois pays les plus frappés par Ebola (Guinée, Liberia, Sierra Leone) qui bénéficient déjà de plans d’aide de l’institution.
Le Ghana va demander formellement l’aide du FMI pour stabiliser son économie et sa monnaie, le cédi, qui a perdu plus de 40 % de sa valeur face au dollar depuis le début de l’année.
Le Fonds monétaire international (FMI) a publié jeudi 24 juillet ses prévisions de croissance pour l’économie mondiale en 2014. L’institution annonce un taux prévisionnel de 3,4% contre les 3,7% pronostiqués en avril dernier, en raison du début d’année difficile aux Etats-Unis et de perspectives moins favorables pour plusieurs pays émergents.
La directrice générale du Fonds monétaire international évoque l’action de son organisation en Afrique. À des années-lumière des terribles politiques d’ajustement structurel des années 1990 !