Le FMI (Fonds monétaire international) est une institution internationale créée en 1944 destinée à assurer la stabilité du système monétaire international et la gestion des crises financières, à faciliter les échanges internationaux et à oeuvrer en faveur d’un emploi élevé. Il rassemble 188 États membres.
Alpha Condé a été chassé du pouvoir à la suite d’un coup d’État en 2021. Pourtant, contrairement à celles des autres pays du Sahel, l’économie guinéenne résiste. Explications.
Sous l’égide du programme économique et financier soutenu par le FMI, le Sénégal s’apprête à recevoir un décaissement d’environ 275 millions de dollars. Mais, dans un contexte préélectoral marqué par des incertitudes politiques, quelles sont les prévisions économiques pour le pays ?
Dotée de 800 millions de dollars, une plateforme commune du bailleur de la Banque mondiale et du géant marocain des phosphates doit encourager l’essor du financement de l’agriculture continentale.
Alors que les putschistes d’Afrique de l’Ouest justifient leur action en promettant une amélioration du bien-être collectif, le résultat est souvent inverse : hausse de la pauvreté, baisse du budget et des dépenses sociales, recul de l’activité économique…
Lors d’une table ronde sur les crises de la dette souveraine, le prix Nobel d’Économie Joseph Stiglitz a déploré l’incapacité de l’Occident à comprendre les besoins de refinancement du continent.
Alors que l’homme d’affaires franco-libanais Iskandar Safa est accusé de corruption d’agents publics, il dénonce une « machination politique » du président Filipe Nyusi, au premier jour du procès à Londres d’un scandale politico-financier qui secoue le Mozambique depuis une décennie.
Assainissement budgétaire, fin des subventions : le gouverneur de la Banque centrale du Kenya explique ses recettes pour retrouver le chemin des marchés internationaux.
À l’occasion d’un échange avec le président du groupe de la Banque mondiale au Maroc, le milliardaire anglo-soudanais a vertement critiqué l’organisation de l’institution internationale.
Aux assemblées générales des institutions de Bretton Woods à Marrakech, le président de la BM, Ajay Banga, a appelé à endiguer ce qu’il considère comme « un recul des progrès » dans le combat contre la pauvreté.
Si le Sommet de Paris a permis de constater la nécessité d’une meilleure représentation des pays du Sud au sein des institutions de Bretton Woods, l’heure est venue, selon les intéressés, d’accélérer le mouvement à l’occasion des assemblées annuelles des deux institutions au Maroc.
Élu en 2019 sur un programme visant à renverser l’ordre ancien et à rendre la parole au peuple, le président tunisien n’a eu de cesse, depuis, de concentrer le pouvoir entre ses mains, quitte à modifier la Constitution et à atomiser l’opposition.
Attendue depuis deux ans, l’annonce a été faite ce 12 octobre par l’institution multilatérale en marge des assemblées annuelles du FMI et de la Banque mondiale, à Marrakech.
Le directeur général de la Société financière internationale aborde les réformes passées et en cours au sein de la filiale de la Banque mondiale. Il détaille également les investissements records réalisés par l’institution cette année.
Depuis plusieurs mois, des représentants de haut niveau de la Cemac et de la BDEAC font la tournée des grands rendez-vous du financement du développement pour convaincre les investisseurs de miser sur une nouvelle tranche de « projets intégrateurs ». Coulisses.
À Marrakech, le président de la Banque mondiale cherche à repositionner la Banque mondiale pour mieux répondre à des défis mondiaux comme le changement climatique.
À Marrakech, les économies les plus riches montreront si elles prennent au sérieux les effets dévastateurs de la crise climatique sur les pays en développement. Ou si elles veulent continuer à se replier sur elles-mêmes.
Crise de la dette, réchauffement climatique, réduction trop lente de la pauvreté… Pour le rassemblement annuel des deux institutions internationales, le continent sera au cœur de nombreuses conversations.
En amont des assemblées annuelles du FMI et de la Banque mondiale, du 9 au 15 octobre à Marrakech, Ousmane Diagana, vice-président Afrique de l’Ouest et Afrique centrale de la Banque mondiale, livre son diagnostic sur les sujets brûlants de l’actualité.
Frappé par le tremblement de terre le plus puissant de son histoire récente, le royaume panse ses plaies, tout en préparant la reconstruction. Une opération d’envergure qui « prendra du temps et nécessitera des moyens colossaux ».
Longtemps décrié pour ses politiques d’austérité imposées, le FMI offre désormais un nouveau visage, plus social. La Banque mondiale est également en passe d’adopter une feuille de route remaniée pour se concentrer sur la lutte contre le changement climatique.
La directrice générale du FMI a choisi la Côte d’Ivoire pour prononcer son discours inaugural avant l’ouverture des Assemblées annuelles, qui se tiendront à Marrakech du 9 au 15 octobre. La dirigeante bulgare en a profité pour rencontrer les principaux responsables politiques du pays. Coulisses.
Catastrophes naturelles et sanitaires, hausse des importations, dépréciation de l’ariary… La Grande Île reste prise dans une spirale inflationniste et peine à renouer avec la croissance.
Le président tunisien a créé la surprise en annonçant, le 2 octobre, qu’il rejetait l’offre de partenariat proposée par l’Europe, qualifiée de simple « aumône ». Un couac à mettre sur le compte de nombreuses maladresses européennes.
Pour soulager des finances publiques de leur pays, plusieurs États africains se sont engagés sur la voie de la réforme pour réduire, voire supprimer, les aides publiques aux produits pétroliers. Explications.
Malgré les obstacles posés par le séisme du 8 septembre, Marrakech s’apprête à accueillir les assemblées générales du FMI et de la Banque mondiale, témoignant de la résilience de la ville et de la confiance de la communauté internationale à son égard.
Le Congo a réussi son dernier examen de passage auprès du FMI, son économie redécolle, et, à deux ans et demi de la présidentielle, le chef de l’État a les mains libres – et du temps – pour se consacrer aux dossiers internationaux.
Le Congo a beau disposer de 10 millions d’hectares de terres arables, il importe 80% de ses besoins alimentaires. L’exécutif s’attèle donc à développer l’agriculture et à susciter des vocations.
Marrakech a été choisi pour accueillir les assemblées annuelles de la Banque mondiale et du FMI du 9 au 15 octobre. Un rendez-vous qui n’avait pas eu lieu sur le sol africain depuis 50 ans. Mais après le séisme qui a frappé la région le 8 septembre, des doutes naissent quant à la possibilité de maintenir l’événement.
Un groupe de députés européens sera à Tunis du 14 au 16 septembre pour évoquer les partenariats en cours, portant notamment sur les flux migratoires et les assistances financières.