Le FPI est un parti politique ivoirien créé par Laurent Gbagbo en 1982. Au pouvoir de 2000 à 2010 sous la présidence de Gbagbo, le parti est dirigé depuis 2001 par Pascal Affi N’Guessan.
En tête des priorités du président Ouattara cette année : la fusion des deux partis de la majorité, une nouvelle Constitution et des élections législatives. Réussira-t-il le triplé ?
Un an après sa condamnation à Abidjan en mars 2015, Simone Gbagbo sera de retour lundi 9 mai devant la Cour d’assises d’Abidjan. Cette fois-ci, l’ancienne première dame ivoirienne, 66 ans, sera jugée pour crimes contre l’humanité.
L’audience solennelle du procès de Simone Gbagbo aura lieu le 9 mai à la Cour d’Assises d’Abidjan, a confirmé jeudi 28 avril à Jeune Afrique l’un de ses avocats, Me Ange Rodrigue Dadjé, précisant que le jury du procès avait été tiré au sort la veille.
Le ministère public ivoirien a annoncé la remise en liberté provisoire de 70 détenus proches du FPI. Le dégel de quatre comptes bancaires, dont celui de Jeannette Koudou, sœur de Laurent Gbagbo, a également été acté lors du conseil des ministres, mercredi.
Selon les uns, Pascal Affi N’Guessan est désormais le chef de l’opposition. Selon les autres, il a pâti de l’appel au boycott lancé par les inconditionnels de l’ancien président. Une chose est sûre : le prisonnier de la CPI est omniprésent.
À la veille de la présidentielle, le FPI espère encore réunir la grande famille de l’ex-président Gbagbo pour aller au second tour du scrutin et voir le candidat Affi N’Guessan conserver toutes ses chances. Alors qu’un autre candidat de l’opposition, Charles Konan Banny, vient d’annoncer son retrait de la course, l’heure est à la pêche aux voix. Entretien avec Augustin Kouadio Komoé, ex-ministre de la Culture puis des Mines sous Laurent Gbagbo, désormais secrétaire général adjoint du FPI.
Dans un communiqué publié mardi, la tendance du Front populaire ivoirien (FPI) menée par Abou Drahamane Sangaré, un fidèle de Laurent Gbagbo, s’est prononcée pour un boycott de l’élection présidentielle prévue le 25 octobre.
À moins de trois mois de la présidentielle ivoirienne prévue le 25 octobre prochain, un début de campagne (non officielle) semble avoir été lancé par les états-majors du FPI et du RHDP, la coalition au pouvoir.
L’élection d’octobre est peut-être la dernière qui verra s’affronter les trois formations historiques du pays : PDCI, FPI et RDR. Car déjà une recomposition, faite d’alliances et de scissions, est en cours.
Durement marquée par dix années de crise politico-militaire, l’activité de la deuxième ville du pays et ex-fief de la rébellion reprend peu à peu, mais trop lentement cependant pour ses habitants.
Le président sortant, Alassane Ouattara, espère l’emporter au premier tour le 25 octobre. Mais c’est compter sans les ambitions de Charles Konan Banny (PDCI) et de Pascal Affi N’Guessan (FPI), qui fourbissent leurs armes malgré les divisions de leurs partis respectifs.
Pascal Affi N’Guessan, le chef du parti de l’ex-président ivoirien Laurent Gbagbo, secoué par des divisions internes, a lancé un appel au rassemblement au sein du Front Populaire Ivoirien, vendredi, à l’occasion de sa désignation comme candidat pour la présidentielle d’octobre.
Le 4e congrès extraordinaire du Front populaire ivoirien (FPI) a entériné vendredi la candidature de Pascal Affi N’Guessan à la présidentielle d’octobre.
Appréhendés lundi, trois cadres du FPI ont été placés en détention mardi. Ils sont poursuivis pour atteinte à l’ordre public et complicité d’assassinat, entre autres.
L’ex-chef de l’État ivoirien Laurent Gbagbo, détenu par la Cour pénale internationale, a été déclaré jeudi « président » de son parti par un millier de militants, une démarche jugée sans « aucune valeur » par la direction de cette formation en pleine crise.
Il y a quatre ans, le 11 avril 2011, Laurent Gbagbo était arrêté à Abidjan. Aujourd’hui, son parti, le FPI, est au bord de l’implosion. Pris dans une guerre de leadership, les barons de l’ancien régime ont choisi leur camp. D’un côté, les partisans de Pascal Affi N’Guessan ; de l’autre, ceux d’Abou Drahamane Sangaré.
La justice ivoirienne a confirmé le 3 avril Pascal Affi N’Guessan dans ses fonctions de président du Front populaire ivoirien (FPI). Interdit d’utiliser le logo et le nom du parti, Abou Drahamane Sangaré et les frondeurs du parti de Laurent Gbagbo sont dans l’impasse. Comment peuvent-ils en sortir ? Décryptage.
La justice ivoirienne a tranché, une nouvelle fois, en faveur de Pascal Affi N’Guessan, qui a été confirmé vendredi président du FPI, principal parti d’opposition, au détriment des frondeurs qui avaient tenté d’en prendre le contrôle.
Au Front populaire ivoirien, on dialogue à coup de plaintes devant les tribunaux et par communiqués interposés. Les héritiers de l’ancien président se déchirent à l’approche de l’élection, et lui assiste, impuissant, à l’implosion de son parti.
Après un long entretien avec Abou Drahamane Sangaré, Mamadou Koulibaly, président de Liberté et démocratie pour la République (Lider), a déclaré mercredi soir qu’une nouvelle coalition de l’opposition regroupant les frondeurs du FPI et ceux du PDCI allait voir le jour.
Le chef du Front populaire ivoirien a menacé samedi de saisir la justice après que des « frondeurs » ont annoncé son éviction de la tête du parti de l’ex-président Laurent Gbagbo, en pleine crise avant la présidentielle d’octobre.
Un communiqué du FPI a annoncé jeudi la destitution de son président, Pascal Affi N’Guessan. Ce dernier, joint au téléphone par « Jeune Afrique », dément ce qu’il qualifie de « propagande ». Interview.
La candidature de Laurent Gbagbo à la présidence du Front populaire ivoirien (FPI) a été déclarée irrecevable lundi par la justice ivoirienne. Le camp de l’ancien président de la Côte d’Ivoire devrait faire appel.
À dix mois de la présidentielle ivoirienne, le Parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI) d’Henri Konan Bédié et le Front populaire ivoirien (FPI) de Laurent Gbagbo n’ont jamais été aussi divisés. Comme le montrent les événements de jeudi…
Pascal Affi N’Guessan ne baisse pas les bras. Mardi, il a annoncé le report du congrès du Front populaire ivoirien (FPI), qui devait démarrer jeudi et désigner le président du parti. Il s’oppose toujours à la candidature de l’ancien chef d’État ivoirien Laurent Gbagbo.
Tous deux candidats à la présidence du Front populaire ivoirien (FPI), Pascal Affi N’Guessan et Laurent Gbagbo seront départagés lors du 4e congrès du parti, début décembre à Abidjan. Quels sont les principaux soutiens de l’actuel patron du FPI et ceux de l’ancien président de la Côte d’Ivoire ? « Jeune Afrique » fait le point.
Le comité de contrôle du Front populaire ivoirien (FPI) a validé mercredi la candidature de l’ancien président ivoirien Laurent Gbagbo à la présidence du parti, a appris « Jeune Afrique ». Le recours déposé par le camp de Pascal Affi N’Guessan, lui aussi candidat, est par conséquent rejeté.