La France devrait accueillir une rencontre entre les parlementaires des pays membres du G5 Sahel et les bailleurs de fonds de l’Alliance Sahel. L’événement, prévu fin 2018, se tiendra sous l’égide de la Commission des Affaires étrangères de l’Assemblée nationale française.
Le ministre nigérien de l’Intérieur, patron du PNDS (au pouvoir), fait figure de présidentiable pour l’élection de 2021. Qui sont les proches sur lesquels il peut compter ?
Depuis le double attentat de Ouagadougou, Iyad Ag Ghaly est le chef jihadiste le plus recherché de la région. À moins que cet ancien interlocuteur privilégié d’Alger et de Bamako ne bénéficie toujours d’une protection…
Engagé au sein du G5 Sahel et de la Force multinationale mixte, impliqué dans les questions migratoires entre l’Union africaine et le continent africain, le Niger est au centre de tous les regards au Sahel. Ibrahim Yacouba, son ministre des Affaires étrangères, répond aux questions de Jeune Afrique.
L’union européenne a annoncé ce vendredi le doublement de sa participation au financement de la force conjointe du G5 Sahel, portant le total des fonds rassemblés à 414 millions d’euros. Il faut « 480 millions », selon le président du Niger, Mahamadou Issoufou, qui s’inquiète de la pérennité des financements.
Le président français est attendu à Nouakchott d’ici à la fin juin 2018. Ce sera la première visite officielle d’un chef d’État français en Mauritanie depuis celle de Jacques Chirac, en 1997. Au centre des discussions : la lutte contre le terrorisme et le financement du G5 Sahel.
Directement visés par la lente montée en puissance de la force du G5 Sahel aux confins du Mali, du Burkina Faso et du Niger, les groupes jihadistes tentent de la contrecarrer par des attaques de plus en plus meurtrières, selon des experts.
Suite à de nombreuses critiques venant de l’international, le Nigérien Najim Elhadj Mohamed a été écarté du poste de secrétaire permanent du G5 Sahel, au profit de Maman Sidikou.
Les chefs d’État du G5 Sahel se sont réunis mardi à Niamey. Mahamadou Issoufou a été désigné nouveau président en exercice de l’organisation sahélienne, laquelle sera désormais gérée par un autre Nigérien, Maman Sidikou, nommé au poste de secrétaire permanent.
La ministre française de la Défense, Florence Parly, a appelé samedi le Japon à fournir une aide financière ou matérielle à la force conjointe antijihadiste du G5 Sahel, à l’occasion d’une visite à Tokyo.
Lors de son voyage à Alger, le 6 décembre dernier, le président français Emmanuel Macron a discuté du cas Iyad Ag Ghaly avec le vice-ministre de la Défense nationale, Ahmed Gaïd Salah. Les renseignements français accusent les services de sécurité algériens de protéger le jihadiste malien.
À l’issue d’une réunion de soutien au G5 Sahel ce mercredi à la Celle Saint-Cloud, en banlieue parisienne, l’Arabie saoudite a annoncé qu’elle soutenait la mise en place de la force conjointe de l’organisation sahélienne à hauteur de 100 millions de dollars. De leur côté, les Émirats arabes unis donneront 30 millions de dollars.
Au lendemain du sommet de Paris sur le climat qui s’est ouvert ce mardi, une réunion à la Celle Saint-CLoud, en région parisienne, réunira le président français, les membres du G5 Sahel ainsi que la chancelière allemande, le Premier ministre italien, le ministre saoudien des Affaires étrangères et le président de la Commission de l’UA. Objectif : discuter du financement de la force conjointe antiterroriste.
Le Conseil de sécurité a adopté vendredi à l’unanimité une résolution autorisant les Casques bleus de la force de l’ONU déployée au Mali à apporter un soutien logistique et opérationnel à la force antijihadiste naissante G5-Sahel.
Le président mauritanien, Mohamed Ould Abdel Aziz, est à la tête d’un colloque organisé en France, le 12 décembre prochain, sur le thème « G5 Sahel : une initiative régionale pour une nouvelle architecture de paix ? ».
S’il n’en parle pas à tout bout de champ, Emmanuel Macron a une préoccupation constante : donner au G5 Sahel les moyens de lutter contre les jihadistes.
La ministre française des Armées était à Dakar au Forum international sur la paix et la sécurité en Afrique. Mise en place de la force conjointe du G5 Sahel, évolution de l’opération Barkhane, lutte contre le terrorisme… Florence Parly répond aux questions de Jeune Afrique.
Depuis le 1er novembre, le G5 Sahel a lancé aux frontières du Mali, du Niger et du Burkina Faso l’opération Hawbi, au sein de laquelle militaires maliens, burkinabè, nigériens et français collaborent. Une première victoire pour les Ouest-Africains, qui sont confiants dans l’évolution de cette force, notamment d’un point de vue financier.
Soutenue sur le terrain par la France, la nouvelle force anti-jihadiste G5 Sahel a lancé ce 31 octobre ses opérations aux confins du Mali, du Burkina Faso et du Niger, dans une zone très instable devenue un foyer pour les groupes extrémistes.
Les États-Unis ont annoncé ce 30 octobre une aide financière aux pays du Sahel engagés dans la lutte contre les jihadistes, mais sans passer par les Nations unies comme l’espérait notamment la France.
La Mauritanie a appelé lundi 2 octobre les partenaires du G5 Sahel (Burkina Faso, Mali, Mauritanie, Niger, Tchad) à appuyer financièrement la création de cette force antijihadiste, en quête de fonds pour son déploiement.
La mise sur pied d’une force conjointe anti-terroriste réunissant le Burkina Faso, le Mali, la Mauritanie, le Niger et le Tchad, annoncée depuis des mois, tarde à se concrétiser.
Plusieurs chefs d’État du G5 Sahel n’avaient pas prévu de se rendre à New-York pour l’Assemblée générale des Nations unies. Ils feront finalement le voyage pour assister à une réunion de haut niveau sur la mise en place de leur force conjointe. Explications.
Les cinq présidents du G5 Sahel tiendront une réunion de haut niveau avec Emmanuel Macron le 18 septembre, à New-York, en marge de l’assemblée générale des Nations unies. Objectif : résoudre le casse-tête du financement de leur force conjointe.
La ministre française des Armées, Florence Parly, et son homologue allemande de la Défense, Ursula von der Leyen, ont affirmé mardi 1er août à Bamako l’engagement de leurs deux pays à élargir le soutien à la création d’une force anti-jihadiste du G5 Sahel. Elles étaient ensemble lundi 31 juillet au Niger. La veille, Florence Parly s’est rendue seule au Tchad.
Financement de l’Union africaine, lutte antiterroriste dans le Sahel, participation aux efforts de maintien de la paix sur le continent et crise du Golfe… Mankeur Ndiaye, ministre sénégalais des Affaires étrangères, revient pour Jeune Afrique sur les principaux dossiers internationaux dans lequel le pays est impliqué.
Face aux correspondants des médias internationaux, Salif Diallo, président de l’Assemblée nationale du Burkina, a déploré vendredi que le G5 Sahel peine à mobiliser des financements alors que cette force conjointe a besoin d’un budget de 400 millions d’euros.
Au lendemain du sommet de Bamako et alors qu’il est à Addis-Abeba pour le sommet de l’Union africaine, le président nigérien a accordé une interview à Jeune Afrique.