Le Hamas est un un mouvement d’inspiration islamique favorable à la lutte armée contre Israël pour libérer les territoires palestiniens occupés. Créé en 1987 par le cheikh Ahmed Yassine, il est principalement actif à Gaza.
Le chef de l’OLP avait su tisser avec son peuple une relation exceptionnelle. Sa succession n’en sera que plus difficile, écrivait Jacques Bertoin dans Jeune Afrique au lendemain de la mort du raïs palestinien, le 11 novembre 2004.
LE DÉCRYPTAGE DE JA – Un an après l’attaque du Hamas sur Israël et le début de l’offensive de Tel Aviv sur Gaza – qui a fait plus de 40 000 morts –, l’Afrique du Sud et son président Cyril Ramaphosa continuent d’être l’un des principaux soutiens du peuple palestinien.
Une nouvelle mobilisation en solidarité avec les victimes des actes de guerre israéliens a été organisée ce dimanche 6 octobre dans la capitale du Maroc. La fin de la normalisation des relations entre le royaume et Israël demeure en tête des revendications, tandis que les manifestants continuent d’exprimer leur soutien au Hamas et au Hezbollah.
Le gouvernement algérien vient de signer, via son ambassadeur à Washington, un contrat de lobbying avec une firme américaine. Une pratique classique dans la diplomatie, à ceci près que l’entreprise retenue entretient de nombreux liens avec Israël. Ce qui ne peut qu’étonner, compte tenu des positions algériennes sur la situation en Palestine.
À la suite des élections législatives du 10 septembre, le roi Abdallah II de Jordanie a chargé dimanche son directeur de cabinet, Jaafar Hassan, de former un nouveau gouvernement.
Tandis que les opérations de l’armée israélienne se poursuivent en Cisjordanie, une délégation du Hamas s’est rendue à Doha. Mais les positions des deux protagonistes se durcissent au fil du temps.
Au moins 19 personnes ont péri dans une frappe israélienne sur une zone humanitaire dans le sud de la bande de Gaza, alors que l’ONU déplore des « entraves inacceptables » à ses opérations sur le territoire.
Les États-Unis ont exhorté Israël et le Hamas palestinien à finaliser un accord de cessez-le-feu dans la bande de Gaza, après que les deux parties se sont mutuellement accusées de faire échouer les pourparlers. Mais selon Benyamin Netanyahou, « aucun accord n’est en cours de négociation ».
Alors que la situation sanitaire ne cesse de se dégrader dans la bande de Gaza et que l’armée israélienne poursuit son opération en Cisjordanie, chaque partie attribue à l’autre la responsabilité de l’impasse dans les discussions en vue d’un éventuel cessez-le-feu.
À la suite de l’intervention des États-Unis, de l’Égypte et du Qatar, Israël va envoyer, le 15 août, des négociateurs afin d’aboutir à la concrétisation d’un accord.
La Turquie s’est jointe, mercredi 7 août, à la procédure intentée par l’Afrique du Sud contre Israël devant la CIJ, pour violation présumée de la Convention sur le génocide de 1948.
Yahya Sinwar, considéré comme un cerveau de l’attaque du 7 octobre contre Israël, a été désigné, mardi 6 août, comme le nouveau chef politique du Hamas.
Les manœuvres diplomatiques se sont intensifiées, lundi 5 août, pour tenter d’éviter une escalade militaire au Moyen-Orient, alors que de nombreux pays appellent leurs ressortissants à quitter le Liban.
Appels à quitter le Liban, renforcement du dispositif militaire américain dans la région, suspension de liaisons aériennes… Les inquiétudes face à une escalade militaire au Moyen-Orient s’amplifient après la multiplication des menaces de l’Iran et de ses alliés contre Israël.
Tandis que le chef du Hamas, Ismaïl Haniyeh, assassiné mercredi en Iran, doit être enterré ce vendredi au Qatar, où il vivait en exil, l’Iran et ses alliés préparent leur riposte.
L’armée israélienne a déclaré, ce jeudi 1er août, que Mohammed Deif, le chef de la branche armée du Hamas, avait été « éliminé » dans une frappe, le 13 juillet, dans la bande Gaza.
La mort du responsable militaire Fouad Chokr, visé, mardi 30 juillet, par une frappe israélienne près de Beyrouth, au Liban, a été annoncée hier, mercredi, par le mouvement islamiste.
Ismaïl Haniyeh, le chef du bureau politique du Hamas, a été tué dans une frappe, mercredi 31 juillet, alors qu’il séjournait à Téhéran. Le mouvement islamiste palestinien accuse Israël et condamne « un lâche assassinat ».
Deux hauts responsables du Hamas ont annoncé dimanche l’arrêt des négociations sur un cessez-le-feu à Gaza, au lendemain d’une frappe israélienne ayant ciblé son chef militaire.
De nombreuses frappes aériennes israéliennes ont visé la ville de Gaza, dans le nord du territoire palestinien, ainsi que Rafah et Khan Younès, dans le sud. Plus de quarante Palestiniens ont été tués au cours des 24 dernières heures.
Le Premier ministre israélien, Benyamin Netanyahou, se projette dans le nord, après son offensive terrestre menée dans la ville du sud de la bande de Gaza contre le Hamas.
Après des négociations avec l’ONU, Israël a accepté dimanche 16 juin une pause dans ses opérations dans une zone du sud de Gaza dévastée et menacée par la famine.
En pleine visite du secrétaire d’État américain, le Hamas a annoncé avoir remis au Qatar et à l’Égypte sa réponse au plan annoncé le 31 mai par le président Joe Biden. Mais Tsahal continue de bombarder sans relâche la bande de Gaza.
Des frappes israéliennes ont touché un camp de réfugiés dans la bande de Gaza après une attaque meurtrière contre une école gérée par l’ONU, alors que la guerre déclenchée par Israël après l’attaque du Hamas le 7 octobre est entrée ce 7 juin dans son neuvième mois.
Au moins 27 personnes ont été tuées et de nombreuses autres blessées après une frappe aérienne de Tsahal sur cet établissement de l’Unrwa, dans la région de Nousseirat, qui abritait, aux dires de l’armée israélienne, une base du Hamas.
Après une visite au Qatar, le chef de la CIA et un conseiller spécial de la Maison Blanche sont attendus, mercredi 5 juin, en Égypte pour tenter de rallier des soutiens à la dernière proposition de cessez-le-feu entre Israël et le Hamas, dans la bande de Gaza.