Le Hamas est un un mouvement d’inspiration islamique favorable à la lutte armée contre Israël pour libérer les territoires palestiniens occupés. Créé en 1987 par le cheikh Ahmed Yassine, il est principalement actif à Gaza.
Le ministre israélien des Affaires étrangères, Israël Katz, a qualifié l’ONU d’« organisation anti-israélienne », après la visite en bordure de la bande de Gaza du secrétaire général António Guterres, qui a appelé à un « cessez-le-feu humanitaire immédiat ».
Aucun vote n’est pour l’instant programmé sur ce texte lié à la libération des otages israéliens détenus par le Hamas. Depuis le début du conflit, le 7 octobre 2023, Washington a opposé son veto à plusieurs résolutions appelant à un tel cessez-le-feu.
L’armée israélienne a annoncé lundi 18 mars mener une opération contre l’hôpital Al-Shifa, le plus grand de la bande de Gaza, où se trouvent « des dizaines de milliers » de déplacés, selon le Hamas.
Le Hamas a accusé l’armée israélienne d’avoir mené des tirs à partir de « chars et d’hélicoptères » sur des personnes qui attendaient une distribution de farine à proximité de la ville de Gaza.
Au moins un employé de l’agence onusienne pour les réfugiés palestiniens (Unrwa) a été tué. Les États-Unis tentent toujours, avec le Qatar et l’Égypte, d’arracher un accord pour une trêve de plusieurs semaines entre Israël et le Hamas.
Les négociations pour une trêve restent bloquées en raison de désaccords persistants entre le Hamas et Israël, notamment concernant le sort des otages et le retrait des troupes israéliennes du territoire palestinien enclavé.
L’armée israélienne a de nouveau bombardé Gaza dimanche 10 mars, faisant des dizaines de morts en pleine mobilisation internationale pour envoyer de l’aide à la population civile assiégée et menacée de famine.
Pékin a répété son soutien à une « pleine » adhésion d’un État palestinien à l’ONU, alors que la guerre entre Israël et le Hamas entre dans son sixième mois. À Gaza, la famine menace plus de 2 millions d’habitants.
Une trêve va-t-elle être scellée entre Israël et le Hamas avant le ramadan ? Alors que les négociations sont en cours, c’est la perspective d’une offensive sur Rafah qui fait craindre le pire. 150 jours après le début de cette guerre qui a fait plus de 30 000 morts, décryptage en infographies d’un drame humanitaire.
La vice-présidente américaine, Kamala Harris, s’est alarmée de la situation dans le territoire palestinien bombardé chaque jour par Israël, et où une famine menace, selon l’ONU.
Des négociations ont repris pour obtenir une trêve entre Israël et le Hamas dans la bande de Gaza, où les bombardements israéliens meurtriers se poursuivent dans le territoire palestinien menacé de famine.
Tsahal a reconnu des « tirs limités », mais en faisant état d’une « bousculade » au cours de laquelle, selon le Hamas, plus de 110 personnes ont été tuées. La communauté internationale a demandé une enquête indépendante.
Un nouveau bilan de 30 000 morts dans la bande de Gaza a été annoncé ce 29 février par le ministre de la Santé du Hamas. Une trêve est toujours en discussion pour le début du ramadan.
Le soutien inconditionnel d’Emmanuel Macron à la guerre menée à Gaza par le Premier ministre israélien et son gouvernement d’extrême droite implique un tribut de plus en plus lourd à payer pour l’Hexagone, sur le plan de la politique intérieure comme à l’international.
Sans présenter de plan précis, le Premier ministre israélien, Benyamin Netanyahou, a déclaré qu’il « y [avait] de la place » pour que les civils « aillent au nord de Rafah », alors que près de 1,5 million de personnes sont réfugiées dans la ville, dans le sud de la bande de Gaza.
Disparu des écrans radars depuis l’attaque du 7 octobre dernier, le chef du Hamas à Gaza reste introuvable. Son sort, qui demeure un mystère, fait l’objet de toutes les spéculations et de nombreuses fake news.
Alors que les bombardements israéliens sur Gaza continuent, le conseiller du président américain Joe Biden pour le Moyen-Orient est attendu en Israël après une étape en Égypte où se tiennent de nouveaux pourparlers en vue d’une trêve.
Après le rejet d’un projet de résolution de l’ONU appellant à un cessez-le-feu « humanitaire immédiat », les espoirs d’un arrêt des combats entre Israël et le Hamas apparaissent de plus en plus minces.
Le gouvernement de Benyamin Netanyahou menace d’attaquer Rafah, dans le sud de la bande de Gaza, où sont réfugiés 1,4 million de Palestiniens, alors que les pourparlers pour une nouvelle trêve patinent.
Alors que les négociations avec le Hamas pour une trêve et la libération des otages se poursuivent au Caire, le Premier ministre israélien, Benyamin Netanyahou, reste déterminé à mener son offensive sur le sud du territoire palestinien, où plus d’un million de personnes ont trouvé refuge. Et ce, malgré les pressions internationales.
Le Premier ministre israélien, Benyamin Netanyahou, a déclaré vouloir d’abord faire évacuer la ville située dans le sud de la bande de Gaza. De plus en plus de pays et d’organisations internationales s’inquiètent des conséquences désastreuses d’une telle attaque sur le territoire contrôlé par le Hamas palestinien.
Selon la presse israélienne, certains dealers marocains de résine de cannabis seraient décidés à boycotter le marché de l’État hébreu, en solidarité avec la population de Gaza.
L’Afrique du Sud a annoncé le 13 février avoir déposé un nouveau recours auprès de la Cour internationale de Justice (CIJ) afin qu’elle examine en urgence l’annonce par Israël d’une prochaine offensive militaire sur Rafah et s’oppose si nécessaire à « une nouvelle violation des droits ».
Toujours en négociation avec le mouvement palestinien pour la libération des otages détenus dans la bande de Gaza depuis le 7-Octobre, le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou a estimé que seule la poursuite de la pression militaire » jusqu’à la « victoire » permettra d’atteindre cet objectif.
Le Hamas a averti dimanche 11 février qu’une offensive militaire israélienne contre Rafah, à l’extrême-sud de la bande de Gaza, menacerait les négociations sur la libération des otages détenus dans le territoire.
Alors que le secrétaire d’État américain Antony Blinken termine sa tournée au Moyen-Orient dans l’objectif de négocier une nouvelle trêve entre Tel-Aviv et le Hamas, les craintes s’accentuent pour les plus d’un million de Palestiniens coincés dans le sud de Gaza, où Tsahal veut lancer une nouvelle offensive.
Le secrétaire d’État américain se rend d’abord en Arabie saoudite, puis au Qatar, en Égypte, en Israël et en Cisjordanie occupée pour discuter d’une trêve et des « besoins de la population palestinienne ».
Les discussions entre Israël et le Hamas s’accélèrent, aidées par la médiation du Qatar, de l’Égypte et des États-Unis. Ces derniers ont par ailleurs annoncé de rares sanctions contre les colons israéliens extrémistes accusés de violences à l’encontre de Palestiniens en Cisjordanie.
Le secrétaire d’État américain est attendu « dans les prochains jours », alors que le chef du Hamas, Ismaïl Haniyeh, se rend ce 1er février en Égypte pour discuter d’une proposition de trêve en « trois phases ».
Alors que le conflit avec le Hamas entame son 114e jour, les États-Unis, l’Égypte et le Qatar s’emploient à négocier un projet d’accord qui impliquerait une trêve de deux mois et la libération de tous les otages, ainsi que celle de prisonniers palestiniens en Israël.