Le Hamas est un un mouvement d’inspiration islamique favorable à la lutte armée contre Israël pour libérer les territoires palestiniens occupés. Créé en 1987 par le cheikh Ahmed Yassine, il est principalement actif à Gaza.
L’agence onusienne pour les réfugiés palestiniens (Unrwa) est au cœur d’une polémique depuis qu’une dizaine de ses membres sont suspectés d’avoir participé à l’attaque du Hamas en Israël le 7 octobre dernier.
La Cour internationale de justice (CIJ), saisie par l’Afrique du Sud, a appelé vendredi Israël à empêcher tout acte de « génocide » et à autoriser l’accès humanitaire à Gaza.
Israël a dit « examiner » les opérations en cours pour déterminer l’origine des tirs contre le bâtiment, qui ont fait, le 24 janvier, au moins « neuf morts et 75 blessés », selon l’agence onusienne en charge des réfugiés palestiniens.
Au quatrième mois de la guerre, Tsahal aurait tué « environ 20 % à 30 % » des combattants du Hamas, qu’il est déterminé à détruire, d’après le renseignement américain.
L’armée israélienne bombarde intensément le sud de la bande de Gaza, ce vendredi 19 janvier, sur fond d’un important différend entre Israël et Washington au sujet d’un éventuel État palestinien et d’une régionalisation croissante du conflit jusqu’au large du Yémen.
L’armée israélienne dit concentrer désormais ses opérations sur Khan Younès, dans le sud de la bande de Gaza. Depuis le début du conflit, près de 24 000 Palestiniens ont été tués, en majorité des civils, selon le Hamas, qui détiendrait toujours 132 otages.
Le secrétaire d’État américain poursuit sa tournée au Moyen-Orient et doit s’entretenir avec le président égyptien, Abdel Fattah al-Sissi. Israël, dans le même temps, fait face à des accusations « d’actes génocidaires » devant la Cour internationale de justice.
La crainte d’un embrasement régional du conflit, notamment au Liban, inquiète le secrétaire d’État américain, qui arrivera dans la soirée à Tel Aviv. Il a aussi mis en garde Israël face à la situation extrêmement grave des civils dans la bande de Gaza.
Le secrétaire d’État américain poursuit en Jordanie une intense séquence diplomatique dans la région, appelant à éviter à tout prix un embrasement du conflit entre Israël et le Hamas palestinien, et avec la volonté de « travailler à une paix durable ».
L’organisation libanaise a dit avoir tiré « 62 missiles » sur la base militaire israélienne de Meron. Tsahal a dit avoir frappé en réponse une cellule responsable de certains de ces tirs. En visite au Liban, le chef de la diplomatie européenne, Josep Borell, a déclaré que le Liban ne devrait pas être « entraîné dans un conflit régional ».
Depuis l’attaque meurtrière du Hamas sur le sol israélien, le 7 octobre, et la riposte de Tsahal à Gaza, le royaume joue une partition délicate, tentant de conserver une approche équilibrée. Une position qui risque de ne pas résister si le conflit devait s’éterniser et le bilan continuer à s’alourdir.
Saleh al-Arouri a été tué dans une frappe attribuée à Israël près de Beyrouth, ravivant les craintes d’une extension du conflit entre le Hamas et Israël.
Alors que le conflit a déjà fait près de 22 000 morts dans la bande de Gaza, selon le ministère de la Santé du Hamas, Tsahal « sera sollicité pour des tâches et des combats supplémentaires », a prévenu le porte-parole de l’armée israélienne.
Crimes de guerre, crimes contre l’humanité, génocide… Pour quels faits les responsables israéliens et les cadres du Hamas pourraient-ils être jugés ? Jeune Afrique fait le point.
La communauté internationale s’alarme du bilan humain de plus en plus lourd dans la guerre que livre Israël au Hamas. Depuis le début du conflit, plusieurs hôpitaux ont été bombardés ou attaqués.
Cette figure emblématique de la chaîne qatarie, très appréciée dans le monde arabe, couvre la guerre Israël-Hamas depuis l’enclave palestinienne. Il a appris en direct la mort de sa famille, décimée par un bombardement israélien.
L’armée israélienne continue d’avancer dans le sud de la bande de Gaza, où elle « reprend [l]es derniers bastions » de l’organisation palestinienne. Près de 85 % de la population locale a été déplacée à la suite des affrontements et des bombardements israéliens.
Alors que le Hamas a répété, le 10 décembre, qu’aucun otage ne quitterait Gaza autrement que dans le cadre d’échanges de prisonniers, les combats ont repris ce lundi matin. Dans la nuit, l’aviation israélienne a frappé des quartiers de Damas, affirmant qu’ils abritaient des bases du Hezbollah.
À l’heure où l’armée israélienne poursuit son avancée dans le sud du territoire palestinien contrôlé par le Hamas, une résolution doit être votée au conseil de sécurité des Nations unies afin d’assurer la sécurité des civils et de permettre leur prise en charge médicale.
Après avoir détruit le nord de Gaza, l’armée israélienne frappe désormais le Sud, vers lequel Tsahal avait conseillé aux Palestiniens de se déplacer pour ne pas être tués dans les bombardements.
Les soldats israéliens sont engagés dans une offensive terrestre depuis le 27 octobre dans le nord de Gaza, ciblant les « bastions du Hamas ». Depuis l’expiration de la trêve, l’armée s’était principalement concentrée sur des raids aériens.
L’ancien chef du parti islamiste MSP a découvert la mesure qui le frappait en arrivant à l’aéroport. Malgré ses contacts au sommet de l’État, il n’a pas pu obtenir d’explication et assure qu’on veut ainsi lui faire payer son soutien à la cause palestinienne.
« Si le Hamas ne libère pas les otages dans les délais impartis, Israël doit exécuter les principaux leaders du mouvement détenus dans ses prisons. » Les déclarations récentes de l’ancien agent du Shin Bet, fils du cheikh Hassan Youssef, l’un de ces responsables incarcérés, ont parachevé son statut de célébrité controversée.
Multipliant les visites impromptues et les initiatives inattendues, le président tunisien déconcerte souvent ses concitoyens, qui attendent de lui qu’il tranche sur les dossiers prioritaires. À un an de la présidentielle, le chef de l’État continue à ne jamais être là où on l’attend.
La pause humanitaire décidée par le gouvernement de Benyamin Netanyahou et le Hamas dans le cadre d’un accord d’échange d’otages israéliens contre des prisonniers palestiniens durera deux jours de plus.
La pause humanitaire de quatre jours se termine théoriquement ce 27 novembre. Après plusieurs échanges d’otages et de prisonniers, les discussions sont en cours pour éviter une reprise des combats.
En vigueur depuis ce 24 novembre au matin, cette première pause humanitaire doit être suivi dans l’après-midi de la libération de treize otages israéliens.