Le HCR est une agence des Nations Unies fondée en 1950 chargée de coordonner l’action internationale visant à protéger les réfugiés dans le monde entier. Basée à Genève, elle veille au respect de la Convention de Genève sur les réfugiés datant de 1951.
Ils sont originaires de Syrie, du Soudan, de RDC, du Cameroun, d’Érythrée… Depuis les Jeux de Rio en 2016, des athlètes concourent sous la bannière de l’équipe des réfugiés, avec un cœur en guise de logo. Tout un symbole. Pour les olympiades de Paris, ils sont 36.
Diplomate chevronné, fin connaisseur des agences onusiennes, il était représentant permanent du royaume auprès de l’Office des Nations unies à Genève depuis 2018. Portrait.
Unique pôle de stabilité dans la sous-région, la petite République accueille chaque année de nombreux migrants. Ils bénéficient des mêmes avantages que les Djiboutiens, notamment en matière de protection sociale. Un défi pour un pays à revenu intermédiaire.
La Tunisie est avec la Libye le principal point de départ pour des milliers de migrants qui souhaitent rejoindre l’Italie, et 12,6 % d’entre eux sont Ivoiriens. En rétablissant les visas entre les deux pays, la Côte d’Ivoire entend « [régler] d’une certaine façon ce problème ».
Jusque-là accueillis par les communautés locales, 10 000 réfugiés burkinabè vont être prochainement hébergés dans deux centres construits par les autorités ivoiriennes. Selon le HCR, environ 1 000 de leurs compatriotes franchissent la frontière chaque semaine.
L’ambassadeur de France auprès des Nations unies était dans l’est de la RDC au début de mars, quelques jours après qu’Emmanuel Macron, en visite à Kinshasa, a brandi la menace de mesures coercitives si les combats entre le M23 et l’armée congolaise devaient se poursuivre.
Ancien député des Tunisiens vivant en Italie et spécialiste des phénomènes migratoires, Majdi Karbai dénonce à la fois les propos brutaux de Kaïs Saïed, les contre-vérités sur les migrants en Tunisie et le cynisme des Européens. Et appelle à un vrai dialogue Sud-Nord sur la question migratoire.
Dans le camp de Mbera, des dizaines de milliers de réfugiés maliens vivent dépossédés de tout. Les populations locales, les autorités et les organisations internationales soulagent en partie leurs peines, mais l’incertitude demeure quant à leur hypothétique retour au pays.
Après la signature d’un accord mardi avec l’Union africaine (UA) et le Haut Commissariat de l’ONU pour les réfugiés (HCR), le Rwanda va devenir le second pays africain à accueillir temporairement des réfugiés et demandeurs d’asile africains bloqués en Libye.
« On est traumatisés, essoufflés et toujours aucune lueur d’espoir », s’apitoie Mohamed, un réfugié soudanais, affalé sur une natte dans un centre de transit onusien à Agadez, dans le nord du Niger.
Ils sont près de 100 000, principalement venus de la Corne de l’Afrique, à avoir fui leur pays pour arriver au Yémen au cours de l’année 2017. Malgré la guerre et la crise humanitaire qui ravagent ce pays
Les autorités israéliennes ont annoncé que les étrangers en situation irrégulière, majoritairement des Érythréens et des Soudanais, ont jusqu’à la fin mars pour quitter le pays. Passé ce délai, ils s’exposent à un emprisonnement à durée indéterminée.
Une cargaison de minerais frauduleux a été saisie mardi à bord d’un véhicule appartenant au Haut commissariat des Nations unies pour les réfugiés (HCR), mais mis à la disposition de la Commission nationale pour les réfugiés.
À quelques kilomètres de la frontière avec le Nigeria, le camp de réfugiés de Minawao, au Cameroun, accueille de nombreuses victimes des exactions commises par la secte islamiste Boko Haram. Si le pire est derrière eux, leurs souvenirs continuent de les hanter. Reportage.
La Libye est devenue au fil des années l’une des principales zones de départ vers l’Europe pour les migrants, victimes de nombreux sévices malgré les appels incessants en faveur d’une action urgente de la communauté internationale.
Selon le HCR, le haut commissariat de l’ONU pour les réfugiés, le nombre de Soudanais fuyant les combats en Ouganda a dépassé le million. Dans un communiqué publié jeudi 17 août, l’organisation lance également un nouvel appel à l’aide adressé à la communauté internationale.
Depuis près de deux mois, un groupe de réfugiés Syriens est bloqué dans le désert entre le Maroc et l’Algérie. Le 2 juin, Alger avait annoncé leur accueil, avant de le suspendre « provisoirement » mercredi 7 juin.
La résurgence des violences en Centrafrique a fait fuir 88 000 personnes depuis le début du mois, a annoncé mardi le Haut-Commissariat de l’ONU pour les réfugiés.
Depuis Tripoli, le chef du Haut-Commissariat pour les réfugiés (HCR), Filippo Grandi, a appelé le 21 mai à la libération des demandeurs d’asile et des réfugiés détenus dans les centres de rétention pour migrants en Libye.
En raison de la baisse des contributions des donateurs, les conditions de vie des quelque 45 000 personnes entassées dans le camp de Mbera se sont sérieusement dégradées.
Parce que, dans les camps de réfugiés, l’ONU et les ONG ne peuvent pas tout, le secteur privé est de plus en plus appelé à la rescousse. Une véritable aubaine !
Le Haut-commissariat de l’ONU pour les réfugiés (HCR) a annoncé ce mardi avoir commencé à convoyer près de 30 000 réfugiés sud-soudanais vers la région de l’Ituri, dans le nord-est de la RDC.
La Commission européenne a présenté mardi, devant le Parlement, un « nouveau cadre de partenariat sur la migration ». Le plan prévoit jusqu’à huit milliards d’euros d’ici 2020 — pris sur des fonds déjà existants, mais incluant un critère nouveau : la coopération des États pour freiner l’afflux de migrants vers l’UE par la Méditerranée. Le Mali, le Sénégal et le Niger font partie des premiers bénéficiaires visés.
Depuis 2014, plus de 10 000 migrants ont péri en Méditerranée en tentant de rejoindre les côtes de l’Europe, a déclaré mardi à Genève un porte-parole du Haut-commissariat de l’ONU pour les réfugiés (HCR).
Le Haut-Commissariat de l’ONU pour les réfugiés (HCR) a révélé vendredi d’importants mouvements de populations du Burundi vers les pays voisins, notamment le Rwanda et la RDC. Près de 8 000 civils auraient ainsi fui le pays par crainte de violences lors des futures échéances électorales.
De plus en plus de civils fuient les combats dans le nord-est du Nigeria pour se réfugier dans les pays voisins. Mardi, le HCR a lancé un appel aux dons de 34 millions de dollars pour aider 75 000 réfugiés au Cameroun, au Tchad et au Niger.