La Tunisie accueillera les 30 et 31 mars le 30e sommet de la Ligue arabe. Si ses voisins maghrébins n’enverront pas leurs chefs d’État, l’Arabie saoudite devrait être de loin la mieux représentée des 21 délégations participantes.
La capitale tunisienne se prépare à accueillir fin mars le sommet de la Ligue arabe, où une importante délégation saoudienne est notamment annoncée. Les détails.
Les organisations multilatérales telles la Ligue arabe, l’Union du Maghreb arabe (UMA) ou encore le Conseil de coopération du Golfe (CCG) semblent bien démunies face aux conflits qui opposent leurs pays membres. Dans ce contexte, quel est leur poids et quel peut être leur avenir ? Éclairage avec plusieurs spécialistes.
Frappes en Syrie, conflit israélo-palestinien, élections en Libye, guerre au Yémen… Les enjeux sont nombreux pour ce 29e sommet de la Ligue arabe se tient dimanche 15 avril, à Dammam et qui réunira 21 chefs d’État arabes.
De Rabat à Tunis, les autorités s’efforcent de se tenir à égale distance de Doha et de Riyad, même si ces derniers ont marqué des points chez les uns ou chez les autres. Revue de détail.
Contrairement à celui de juillet 2016 à Nouakchott, en Mauritanie, le sommet d’Amman, en Jordanie, qui ouvre ses portes mercredi 29 mars se distinguera par une forte affluence de chefs d’État. Objectif : réconcilier un monde arabe plus que jamais divisé.
Le président libanais, Michel Aoun, est arrivé lundi au Caire, où il a été reçu par le président Abdel Fattah Al-Sissi pour sa première visite en Égypte, dont il a souligné le rôle important en matière de lutte contre le « terrorisme ».
Le Maroc et ses alliés arabes ont boycotté les travaux de ce sommet qui se tient ce mercredi, pour protester contre la présence d’une délégation sahraouie. Le Koweït et l’Égypte, en revanche, ne les ont pas suivis.
Ahmed Aboul Gheit, élu jeudi secrétaire général de la Ligue arabe, a été le dernier ministre des Affaires étrangères de l’ex-raïs égyptien Hosni Moubarak, qu’il a fidèlement servi pendant sept ans avant de faire volte-face lors de la révolte de 2011.
Réunis au Caire, les pays de la Ligue arabe ont exprimé dimanche leur « solidarité totale » avec l’Arabie saoudite face aux « actes hostiles » de l’Iran.
Le chef de la Ligue arabe Nabil al-Arabi a dénoncé dimanche les « actes de provocation » de Téhéran dans le cadre de la crise diplomatique opposant l’Iran à l’Arabie Saoudite depuis que Ryad a exécuté un dignitaire religieux chiite.
Boutros Boutros Ghali qui fut ministre des Affaires étrangères des raïs Sadate et Moubarak (1977-1991) et secrétaire général des Nations unies (1992-1996) puis de la Francophonie (1997-2002) confie à Jeune Afrique son point de vue sur l’état du monde. Interview.
La Ligue arabe s’est prononcée mardi 18 août pour « une stratégie arabe » pour combattre l’organisation État islamique (EI), plaidant également pour un soutien militaire aux autorités libyennes. L’organisation est toutefois restée silencieuse sur les frappes aériennes réclamées.
La Ligue arabe a dénoncé dimanche une « campagne haineuse » contre le Qatar, qui doit accueillir le Mondial-2022 de football, alors qu’un scandale de corruption à l’échelle planétaire éclabousse la Fifa et les conditions d’attribution de la compétition sportive.
Une commission regroupant les chefs d’état-major des membres de la Ligue arabe a entamé mercredi au Caire les travaux destinés à mettre sur pied une force arabe conjointe. Fin mars, l’organisation panarabe avait donné quatre mois à ses États membres pour s’accorder sur ses modalités et sa composition.
Les chefs d’Etat de la Ligue arabe ont annoncé dimanche leur intention de créer une force militaire conjointe pour combattre les « groupes terroristes », notamment l’Etat islamique (EI), se donnant quatre mois pour s’accorder sur ses modalités et sa composition.
Les chefs d’État arabes ont clamé samedi à l’ouverture de leur sommet annuel en Égypte leur intention de créer une force unie pour combattre les « groupes terroristes », considérant comme un « test » l’opération militaire conjointe en cours au Yémen.
La création d’une force multinationale va dominer le sommet des chefs d’Etat de la Ligue arabe qui s’est ouvert samedi en Egypte, au moment où l’intervention militaire d’une coalition arabe au Yémen contre une rébellion chiite est perçue comme un « coup d’essai » de ce projet.
L’Arabie saoudite, le Qatar, l’Égypte, les Émirats arabes unis et la Jordanie ont convenu dimanche de la nécessité de lutter contre les jihadistes de l’État islamique (EI).
Les ministres des Affaires étrangères de la Ligue arabe se rencontreront lundi au Caire pour discuter de la détérioration de la situation dans la bande de Gaza, où les raids israéliens se succèdent en riposte à des tirs de roquettes, a indiqué un diplomate samedi.
Depuis quinze ans, l’arabe prend de plus en plus d’importance. L’anglais, lui aussi, frappe à la porte. Un rééquilibrage culturel d’un côté, un virage commercial de l’autre. Et la fin d’une hégémonie…
Les États arabes ont une nouvelle fois refusé mercredi, lors d’un sommet de la Ligue arabe au Koweït, de reconnaître Israël comme « État juif ». C’est pourtant l’une des conditions posées par Tel-Aviv pour parvenir à un accord de paix avec les Palestiniens.
Mali, Libye, Tunisie, Syrie, nucléaire iranien… Autant de dossiers chauds auxquels l’Algérie s’intéresse de près. Explication de texte par son nouveau ministre des Affaires étrangères, Ramtane Lamamra.