L’ONU a désigné ce mercredi 26 juillet une équipe de trois experts pour enquêter conjointement avec l’État congolais sur les violences dans la région du Kasaï. Parmi eux, le Sénégalais Bacre Waly Ndiaye, dont le choix a été salué par la Lucha. Spécialiste de la RD Congo, il est aussi l’auteur d’un rapport qui a fait date sur l’implication du régime Habyarimana dans le génocide des Tutsis au Rwanda.
Les quatre artistes plasticiens arrêtés vendredi dernier par les forces de l’ordre, à Goma, peuvent à nouveau respirer l’air frais de la capitale du Nord-Kivu. Ils avaient été appréhendés alors qu’ils manifestaient contre les violences à Beni et dans le Kasaï.
Les membres du mouvement citoyen la Lucha ont participé vendredi 2 juin à la cérémonie de remise des fleurs sur la tombe de Floribert Chebeya, activiste des droits de l’homme retrouvé mort dans sa voiture il y a sept ans.
Dix-sept jeunes Congolais arrêtés au cours d’une manifestation contre des faillites bancaires ont été libérés samedi après-midi dans l’est de la République démocratique du Congo après plus de 72 heures de détention, a-t-on appris de sources concordantes.
Pour être libéré, chaque militant de la Lucha interpellé mercredi à Goma pour « incitation à la désobéissance » devra s’acquitter d’une « amende transactionnelle » d’un montant d’environ 50 euros. C’est du moins ce qu’aurait décidé le parquet, explique l’un des avocats du mouvement. L’ONG Amnesty international a appelé à leur libération.
17 militants du mouvement citoyen Lutte pour le changement (Lucha) ont été interpellés ce mercredi matin lors d’une manifestation à Goma, pour « trouble à l’ordre public ».
32 membres du mouvement citoyen de la Lucha ont été interpellés par les forces de l’ordre pour « troubles à l’ordre public » ce mercredi matin au cours d’une manifestation pacifique devant la Banque centrale du Congo, à Goma. Ils ont depuis été libérés.
Ils s’appellent Eugène Serufuli, Modeste Makabuza, Mgr Melchisédech Sikuli Paluku ou encore Fred Bauma. Ils sont parmi les personnalités les plus influentes du Nord-Kivu. Jeune Afrique vous les présente.
De passage à Paris après un séjour à Londres où il a participé à une conférence sur la RD Congo organisée par l’institution universitaire Oxford Union, Fred Bauma, l’une des figures du mouvement citoyen Lucha, a répondu mardi, en direct sur Facebook, aux questions des internautes.
Oxford Union a invité Fred Bauma, un jeune militant opposé au maintien au pouvoir du président Joseph Kabila, à participer à une conférence le 10 mars à Londres.
Face aux blocages qui empêchent l’application de l’accord de la Saint-Sylvestre, la Lucha a dénoncé ce mercredi les « interminables » pourparlers politiques en cours à Kinshasa. Le mouvement citoyen exige le retour à l’ordre constitutionnel d’ici la fin de l’année.
Une journaliste congolaise arrêtée dans le nord-est de la République démocratique du Congo a été libérée après quatre jours de détention, a annoncé mardi son avocat.
Au moins six personnes, dont cinq militants de « Bye-Bye Kabila », un mouvement à l’initiative de la Lucha appelant à la confiscation des biens d’une trentaine de personnalités congolaises, ont été arrêtées jeudi à Bunia dans le nord-est de la République démocratique du Congo, a rapporté l’AFP de sources concordantes.
Plusieurs leaders de mouvements citoyens africains ont participé, du 16 au 22 novembre à Paris, au Programme d’invitation des personnalités d’avenir, qu’organisait le ministère français des Affaires étrangères.
Une coalition d’ONG et de mouvements citoyens congolais ont annulé mercredi un sit-in prévu devant le siège de l’Union africaine (UA) à Kinshasa. Depuis les violences du mois de septembre, les autorités ont interdit tout rassemblement public à caractère politique dans la capitale. Plusieurs nouvelles arrestations de militants de la Lucha ont également été rapportées.
Douze militants du mouvement citoyen Lutte pour le changement (Lucha) ont été interpellés vendredi à Kinshasa alors qu’ils tentaient de déposer un mémorandum au siège de l’Union africaine (UA) dans la capitale de la RDC. Ils ont été libérés dans la soirée.
Christopher Ngoy de Synergie, Fred Bauma et Yves Makwambala de Lucha ont été libérés lundi soir de la prison centrale de Makala, à Kinshasa, en RD Congo.
Le militant de Lucha, Fred Bauma, ainsi que Christopher Ngoyi Mutamba, Yves Makwambala et 21 autres personnes vont être remises en liberté sur décision du ministre congolais de la Justice, Alexis Thambwe Mwanba. Cette mesure dite de « décrispation politique » a été signée vendredi.
Six militants du mouvement des jeunes indignés opposés à toute prolongation du mandat du président congolais Joseph Kabila, condamnés pour « tentative d’incitation à la révolte », ont bénéficié vendredi d’une grâce présidentielle, après avoir passé quatre mois en prison.
Cette tribune est une lettre ouverte des mouvements de la jeunesse africaine engagée aux chefs d’État et de gouvernement africains. Elle est co-signée par le mouvement citoyen de la RD Congo Lucha, et par une vingtaine d’organisations prodémocratie africaines (voir ci-dessous).
Trois mois après leur arrestation à Kinshasa à la veille de la « journée ville morte », Bienvenu Matumo et Héritier Kapitene du mouvement Lutte pour le changement (Lucha) ainsi que Victor Tesongo, jeune militant de l’opposition, ont été condamnés vendredi à 12 mois de prison et à une amende de 100 000 francs congolais. La défense promet d’interjeter appel.
Devenu l’adversaire de Joseph Kabila depuis qu’il a claqué la porte du parti présidentiel, l’ancien gouverneur du Katanga sera-t-il candidat à la présidentielle de novembre ? C’est plus que probable : le 30 mars, une plateforme groupant sept partis d’opposition lui a officiellement demandé d’être son champion.
Le Front citoyen, qui regroupe des associations de défense des droits de l’homme, des mouvements pro-démocratie comme Filimbi et Lucha, ou encore des opposants au président Joseph Kabila, a lancé jeudi une campagne de sensibilisation envers les forces de l’ordre. Objectif : prévenir les violences pendant la répression de futures manifestations contre le régime.
Après neuf jours sans alimentation, Fred Bauma et Yves Makwambala ont décidé de suspendre leur mouvement de grève de la faim, qu’ils avaient entamé pour protester contre leur incarcération et des accusations qu’ils estiment « politiques ».
La grève de la faim initiée mardi par Fred Bauma et Yves Makwambala pour protester contre leur détention, jugée arbitraire par de nombreuses organisations internationales, ne suscite pour l’instant que l’indifférence du gouvernement congolais.
La Cour suprême de justice de RD Congo a refusé la liberté provisoire sollicitée par les deux militants du mouvement pro-démocratie Lutte pour le changement (Lucha), Fred Bauma et Yves Makwambala, détenus depuis un an à Kinshasa.
Yves Makwambala et Fred Bauma attendent toujours de connaître leur sort, la Cour suprême ne s’étant pas encore prononcée en RDC. Une violation des droits civiques et des libertés fondamentales, selon leur défense.
Dix-huit personnes ont été arrêtées mardi à Goma, en RDC, dans une manifestation pour la libération de Fred Bauma et Yves Makwambala, deux militants de Lucha emprisonnés depuis un an.