Mission intégrée multidimensionnelle de stabilisation des Nations Unies en Centrafrique. Créée en avril 2014 mais déployée officiellement en septembre 2014, elle remplace la force africaine de maintien de la paix en Centrafrique.
Le Front populaire pour la renaissance de la Centrafrique (FPRC) conditionne sa participation au processus de « désarmement, démobilisation, réinsertion et rapatriement » (DDRR) à la libération de tous ses combattants arrêtés par les Casques bleus et remis au gouvernement centrafricain, a annoncé lundi 11 septembre un porte-parole du groupe armé.
Après que le leader anti-balaka Maxime Mokom a appelé lundi la Minusca à agir contre les mercenaires étrangers, celle-ci lui a répondu ce mercredi 23 août.
En Centrafrique, les humanitaires sont devenus les cibles de groupes armés, alors que leur travail est de plus en plus compliqué, du fait de l’augmentation de nombre de déplacés.
Le lieutenant-général kényan Leonard Muriuki Ngondi a été nommé mardi 8 août commandant de la Minuad au Darfour. Une désignation qui porte désormais à six sur huit le nombre d’Africains à la tête des opérations de maintien de la paix sur le continent.
Un haut responsable de l’ONU a réclamé lundi davantage de militaires et de policiers pour l’opération de maintien de la paix des Nations unies en Centrafrique (Minusca).
L’officier tunisien Khaled Karoui a reçu un certificat de reconnaissance de l’ONU pour avoir sauvé trois de ses confrères et un prisonnier dans une attaque perpétrée par des anti-balka.
Les Casques bleus marocains de la Minusca, environ 750 soldats, paient un lourd tribu. Directement visés, ils sont aujourd’hui déployés dans de nombreuses villes du sud de la centrafrique, toutes sous tension.
Deux Casques bleus marocains ont péri mardi à Bangassou, dans le sud-est de la Centrafrique, lors d’une embuscade tendue par de présumés anti-Balaka. Une attaque qui survient deux jours seulement après celle qui a coûté la vie à un autre soldat de la paix, dans la même ville.
La ville de Bangassou, épicentre de violences meurtrières en mai dernier, est de nouveau en proie à des combats. La Minusca a essuyé des tirs, et ce mardi 25 juillet dans la matinée des jeunes s’arment en prévision d’affrontements avec les anti-balaka.
Un Casque bleu marocain a été tué dimanche à Bangassou, dans le sud-est de la Centrafrique, lors de l’attaque d’un convoi militaire de la Minusca par de présumés anti-Balaka. Trois autres soldats des Nations unies ont également été blessés.
De nouvelles violences ont éclaté à Bangassou dans le sud-est de la Centrafrique, deux mois après les tueries du mois de mai, a indiqué samedi la Mission des Nations unies pour la Centrafrique (Minusca).
De violents affrontements depuis mardi ont fait 2 morts, 4 blessés, et déplacé 3 500 personnes à Zémio, dans le sud-est de la Centrafrique, a appris vendredi l’AFP auprès de l’agence des Nations Unies pour les réfugiés (UNHCR).
Le Secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, doit l’annoncer dans les prochaines heures : le contingent de 629 Casques bleus congolais déployés à Berberati, la troisième plus grande ville de la République centrafricaine, vont être rapatriés. En cause : des accusations d’agressions sexuelles et de participation à des trafics.
Le gouvernement tchadien a, dans une lettre datée du 24 mai, vivement rejeté un rapport de l’ONU accusant des soldats tchadiens d’exactions contre des civils en Centrafrique entre 2013 et 2014.
Saluée par la communauté internationale, la Cour spéciale, créée en 2015 et appelée à juger les atteintes aux droits de l’homme, dispose enfin d’un procureur.
Une nouvelle flambée de violences en Centrafrique a fait au moins 26 morts à Bangassou dans le sud-est, qui viennent s’ajouter aux six casques bleus tués la semaine dernière, selon l’ONU. Mais d’après la Croix-Rouge locale, le nombre de victimes dépasse la centaine.
Un groupe armé a lancé une attaque dans la nuit du samedi 13 mai sur la ville de Bangassou au sud de la Centrafrique. D’où provient ce groupe ? Et que s’est-il passé depuis l’attaque ? Jeune Afrique fait le point.
L’ONG Human Rights Watch (HRW) a dénoncé, dans un rapport publié lundi, des abus sexuels commis selon elle entre 2009 et 2017 sur plusieurs femmes par des militaires ougandais déployés dans l’est de la Centrafrique.
Un Casque bleu marocain a été tué samedi dans une attaque à Bangassou, ville du sud-est de la Centrafrique près de laquelle cinq autres soldats des Nations unies ont été tués ces derniers jours, a indiqué samedi à l’AFP la Mission des Nations unies en Centrafrique (Minusca).
Un cinquième Casque bleu a été retrouvé mort suite à l’attaque lundi soir d’un convoi de la Mission des Nations unies en Centrafrique (Minusca) par un groupe armé, a annoncé ce jeudi l’ONU. Il est de nationalité marocaine.
Quatre Casques bleus ont été tués lundi, dans l’attaque d’un convoi de l’ONU dans le sud-est de la Centrafrique et huit ont été blessés, selon les informations délivrées au lendemain de l’attaque par la mission des Nations Unies en Centrafrique (Minusca).
Les États-unis débutent mercredi le retrait de leurs forces sécuritaires déployées depuis 2011 à l’est de la Centrafrique dans la lutte contre la rébellion de l’Armée de résistance du Seigneur (LRA) de Joseph Kony.
Des négociations sans précédent sous l’égide de l’ONU entre le gouvernement centrafricain et l’ensemble des groupes armés du pays ont eu lieu en fin de semaine à Bangui en vue d’accélérer le désarmement de ces milices, responsables de nombreuses exactions.
Deux miliciens bien connus, Abdoulaye Hissène, ex-Séléka et Maxime Mokom, anti-balaka, sont considérés comme à l’origine des violences qui ont frappé Bangui en 2015 et 2016 par le Trésor américain. Celui-ci a décidé de les sanctionner en gelant notamment leurs avoirs.
Une vingtaine de personnes, pour la plupart des civils, ont été tuées dans des heurts entre groupes armés en Centrafrique à Bakouma, une région du nord-ouest du pays.
Selon un communiqué de l’ONU, un Casque bleu sénégalais a été tué mercredi 8 mars à Bangui « par des individus armés non identifiés ». La Mission des Nations unies en Centrafrique (Minusca), a ouvert une enquête pour déterminer les circonstances de sa mort.
La Mission des Nations unies en Centrafrique (Minusca) a annoncé ce mercredi avoir obtenu le départ de la ville de Bambari d’Ali Ndarass, chef de guerre considéré comme l’un des responsables des affrontements entre deux factions rivales de l’ex-rébellion Séléka.
Dans un communiqué publié ce jeudi, Human Rights Watch (HRW) accuse les rebelles de l’Union pour la Paix en Centrafrique (UPC) de « crimes de guerre ». Selon l’ONG, en décembre 2016 ce groupe armé a assassiné 32 civils dans une localité du centre du pays.