Mission intégrée multidimensionnelle de stabilisation des Nations Unies en Centrafrique. Créée en avril 2014 mais déployée officiellement en septembre 2014, elle remplace la force africaine de maintien de la paix en Centrafrique.
Trois Casques bleus ont été mis en cause dans trois nouveaux cas de viols en Centrafrique, a rapporté mercredi une porte-parole de l’ONU. Cette nouvelle affaire survient moins d’une semaine après le renvoi du chef de la mission de l’ONU en Centrafrique (Minusca), Babacar Gaye.
La campagne de prévention lancée lundi sur internet vise à rappeler la « tolérance zéro pour le personnel civil et militaire des Nations unies » lorsque des violences sexuelles sont commises, indique le site de la Monusco.
La Mission de l’ONU en Centrafrique (Minusca) a ouvert une enquête suite aux accusations communiquées mardi 11 août par Amnesty international sur le viol d’une fillette et les homicides d’un adolescent de 16 ans et de son père.
La fusillade fratricide, qui a coûté la vie à quatre casques bleus rwandais samedi à Bangui sur une base du contingent rwandais de la Mission de l’ONU en Centrafrique (Minusca), est un « acte déplorable », vraisemblablement à caractère « terroriste », a affirmé dimanche l’armée rwandaise.
Un Casque bleu rwandais a tué quatre de ses compagnons d’armes et en a blessé huit autres, lors d’une fusillade au sein de leur contingent samedi à Bangui, avant d’être abattu, a-t-on appris auprès de plusieurs sources militaires.
Au moins cinq personnes, dont un Casque bleu de la Minusca, ont été tuées et des dizaines d’autres blessées lors d’un accrochage, dimanche avec des hommes armés à Bangui, selon un nouveau bilan donné lundi par une source policière.
La mission de l’ONU en République centrafricaine (Minusca) a été informée d’accusations d’abus sexuels qui auraient été commis par ses Casques bleus « contre des enfants des rues à Bangui ».
Selon un communiqué de la Minusca, des combats ont opposé mardi matin les forces internationales à des combattants de l’ex-rébellion de la Séléka, dans le centre-est de la Centrafrique. Sept ex-rebelles ont été tués, selon la mission onusienne. Que s’est-il passé ?
La Minusca a annoncé que l’employée de la mission onusienne dans le pays qui avait été enlevée par des miliciens anti-balaka mardi 20 janvier à Bangui était libre.
Au lendemain du rapt d’une Française, en mission humanitaire en Centrafrique, les miliciens anti-balaka ont enlevé mardi matin une autre expatriée, membre de la mission onusienne dans le pays, à Bangui, selon des sources sécuritaires dans la région.
La France va progressivement retirer ses soldats engagés en Centrafrique, passant de 2 000 hommes actuellement à 1 500 au printemps, a indiqué vendredi le ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian. Un an après le lancement de l’opération Sangaris, la Centrafrique se porte-t-elle mieux ?
La police de la force de l’ONU en Centrafrique (Minusca) a accentué ces derniers jours ses patrouilles armées dans Bangui pour dissuader miliciens, criminels et pillards de continuer de s’en prendre à une population qui aspire à la paix.
Lors d’une embuscade contre un convoi de la mission de l’ONU en République centrafricaine (Minusca) jeudi soir près de Bangui, un Casque bleu a été tué et huit autres ont été blessés, a indiqué l’ONU.
De violentes manifestations et des pillages ont eu lieu mercredi matin à Bangui alors qu’une partie des anti-balaka demande la démission de la présidente de la transition, Catherine Samba-Panza.
Un officiel de la diplomatie angolaise a annoncé lundi que Luanda enverra ses troupes en Centrafrique pour prendre part à la Minusca. Ce sera la première participation de l’Angola dans une opération de maintien de la paix des Nations unies.
La Minusca commence à se déployer officiellement en Centrafrique ce lundi. La mission onusienne remplace la mission africaine dans le pays et devra compter à terme quelque 12 000 hommes.
À quelques jours du déploiement de la Minusca, beaucoup d’observateurs espèrent que cette énième mission de l’ONU en Centrafrique – qui en compte plus d’une dizaine ces dernières décennies – ne sera pas une « intervention superficielle » comme les précédentes.
L’ONU a annoncé mardi le déploiement au 15 septembre de 7 600 hommes en République centrafricaine dans le cadre de son opération de maintien de la paix.
L’accrochage violent entre des soldats français de l’opération Sangaris et un groupe armé jeudi dans un quartier musulman de Bangui a fait sept morts, a indiqué la mission de l’ONU en Centrafrique (Minusca) dans un rapport parvenu samedi à l’AFP.
La résolution des Nations unies autorisant le déploiement d’une mission de maintien de la paix en Centrafrique sera soumise jeudi au vote du Conseil de sécurité.