La Mission multidimensionnelle Intégrée des Nations Unies pour la Stabilisation au MAli a été créée par la résolution 2100 du Conseil de Sécurité du 25 avril 2013. L’opération a pour but le maintien de la paix au Mali.
Depuis plus de deux ans, la localisation et les mouvements de l’ancien président de l’Assemblée nationale sont l’objet de toutes les attentions au sein des services de renseignement ivoiriens. Mais Soro demeure introuvable.
Plus les mois passent, plus l’étau se resserre autour de Guillaume Soro, lequel bénéficie néanmoins du soutien des autorités maliennes. Et cherche, selon les informations de JA, à obtenir celui de la Russie.
La mission onusienne de maintien de la paix (Minusma) est visée par une campagne de fake news qui a conduit à l’agression de deux de ses employés civils.
Départ de Barkhane, présence des mercenaires de Wagner, organisation des élections… Nouhoum Sarr, membre du Conseil national de transition (CNT) malien, est un fervent soutien de la junte dirigée par Assimi Goïta. Interview.
La grande ville du nord-est du Mali est cernée par les jihadistes de l’EIGS qui contrôlent la région. Sur place, les réfugiés affluent et ni les Fama, ni Wagner, ni la Minusma ne parviennent à rétablir un semblant de stabilité.
Le secrétaire général de l’ONU souligne le retard pris dans l’exécution du processus de transition. Et s’inquiète de l’impasse dans laquelle se trouve l’accord d’Alger.
Un an après le massacre de Moura, la mission de l’ONU au Mali n’a toujours pas publié les résultats de son enquête. Elle estime que le gouvernement n’en finit pas de lui mettre des bâtons dans les roues.
Plusieurs contingents de la mission des Nations unies dans le pays sont sur le départ. Avec pour conséquences la fermeture de la base de Ber (Nord) et la dissolution probable de la force d’intervention rapide stationnée à Gao.
Au Mali, six mois après le départ des Français de Barkhane, Assimi Goïta et les Fama multiplient les communiqués de victoire. Entre propagande et réalités de terrain, enquête sur une grande muette en proie au doute.
Le dernier rapport de l’expert indépendant de l’ONU sur la situation des droits humains au Mali incrimine les mercenaires de la société militaire privée russe, dont Bamako continue de nier la présence.
Arrivé à Gao le 17 février, le Premier ministre malien ne s’est finalement rendu ni à Ansongo – dont il est originaire – ni à Bourem. Une annulation qui fait grand bruit et que l’intéressé peine à justifier.
Depuis plus d’un mois, Bamako ne délivre plus d’autorisation de vol aux drones de la mission des Nations unies. La junte craint que des puissances étrangères n’espionnent ses troupes. L’Allemagne menace désormais de se retirer de la Minusma et dénonce l’influence de Wagner.
Le gouvernement malien d’Assimi Goïta a sommé Guillaume Ngefa-Atondoko Andali, le chef de la division des droits de l’homme de la Minusma, de quitter le territoire. Un nouveau départ forcé qui pose la question de l’avenir de la mission onusienne.
De nombreux membres du Conseil de sécurité de l’ONU ont souligné le 27 janvier l’impossibilité d’un « statu quo » pour la mission de maintien de la paix au Mali lors d’une réunion qui a mis en lumière les divisions sur la façon de la faire évoluer.
La détention au Mali de 49 soldats ivoiriens fut le point d’orgue d’une crise inédite entre deux pays intimement liés mais dont les dirigeants actuels ne s’apprécient guère. Récit en trois épisodes d’un mauvais feuilleton qui aura tenu en haleine la sous-région pendant six mois.
Graciés par Assimi Goïta et libérés début janvier, les militaires ont été félicités par le chef d’état-major de l’armée ivoirienne. Durant six mois, ils ont été au cœur d’un bras de fer politico-judiciaire entre Abidjan et Bamako.
Rejet des vieilles élites et de la France, détricotage du dispositif sécuritaire régional… L’arrivée des Russes dans la sous-région pourrait bien être l’accélérateur et le révélateur d’un changement de paradigme.
Après plus de cinq mois de détention, les militaires de Côte d’Ivoire seront jugés ce 29 décembre devant la cour d’assises de Bamako. Une journée décisive et à double-tranchant dans cette affaire qui empoisonne les relations entre les deux voisins ouest-africains.
Après les Britanniques, les Ivoiriens ont annoncé leur retrait de la mission des Nations unies au Mali. Les conditions du maintien des autres Casques bleus est désormais en question, alors que Bamako est en conflit ouvert avec une partie de la communauté internationale.
Pour contrer la menace jihadiste, les pays de l’Initiative d’Accra veulent collaborer davantage en matière de sécurité et de renseignement. Une réunion ministérielle a eu lieu ce 17 novembre, en vue d’une rencontre la semaine prochaine.
En août dernier, quinze pays avaient fait part aux Nations unies de leurs inquiétudes quant à leur présence au sein de la mission. Depuis, deux d’entre eux ont décidé de se retirer, et d’autres pourraient suivre…
Quatre mois après leur arrestation, les militaires arrivés de Côte d’Ivoire sont toujours détenus à Bamako, ce qui renforce les tensions entre les deux pays. Décryptage.
De Bamako à Ouaga, les partisans des juntes au pouvoir affichent des positions pro-russes et anti-françaises pour se donner une posture révolutionnaire. Bien commode quand on tente, comme Abdoulaye Maïga devant l’ONU, de masquer un échec politico-sécuritaire.
La direction générale des Douanes nigériennes a suspendu la délivrance des autorisations de transit de produits pétroliers, ainsi que les autorisations déjà en cours. Cette décision « n’a rien à voir » avec les accusations portées par Bamako à l’encontre de Mohamed Bazoum.
Présent à New York la semaine dernière pour l’Assemblée générale des Nations unies, le représentant spécial de l’ONU pour l’Afrique de l’Ouest et le Sahel y a suivi de près les différents dossiers régionaux. En particulier les transitions au Mali, en Guinée et au Burkina Faso. Interview.
La Bundeswehr n’avait repris ces opérations de reconnaissance qu’au début de septembre. Berlin avait déjà suspendu à la mi-août l’engagement des soldats allemands après des tensions avec Bamako.
Afin de maintenir la pression sur Bamako, le président ivoirien s’est tourné vers le secrétaire général des Nations unies. La suite des négociations, avec Jeune Afrique.
Les militaires interpellés le 10 juillet à l’aéroport de Bamako sont toujours détenus, malgré les tentatives de médiation. Retour sur le partenariat qui a motivé leur présence sur la base allemande de la Minusma.
Il a été nommé Premier ministre par intérim ce dimanche 21 août pour remplacer Choguel Maïga, hospitalisé depuis le 10 août. Contrairement aux autres colonels au pouvoir, Abdoulaye Maïga n’a pas participé aux putschs qui ont secoué le pays. Il était jusque-là ministre de l’Administration territoriale et porte-parole de la junte.