La Mission multidimensionnelle Intégrée des Nations Unies pour la Stabilisation au MAli a été créée par la résolution 2100 du Conseil de Sécurité du 25 avril 2013. L’opération a pour but le maintien de la paix au Mali.
Les Nations unies ont annoncé leur intention d’identifier les Maliens » ceux qui font obstruction à la mise en oeuvre de l’accord de paix », en vue de leur imposer des sanctions, ont annoncé mercredi la France et les États-Unis.
Un Casque bleu nigérien a péri à la suite d’une attaque à Gao, principale ville du nord du Mali, a annoncé la Mission de l’ONU au Mali (Minusma) dans un communiqué, précisant avoir eu plus de 100 tués dans des « actes hostiles ».
Deux hommes ont été tués et dix autres blessés dans une attaque sur le camp de la Mission de l’ONU au Mali (Minusma) à Aguelhok, dans le nord-est du pays. Cela porte à 150 le nombre de Casques bleus tombés dans le cadre de cette mission, lancée en juillet 2013.
Deux ans après la signature de l’accord de paix entre les mouvements armés et le gouvernement, les tensions s’enveniment entre les différentes communautés vivant à Gao. Le sentiment d’insécurité, la crise économique et les rivalités avec les autorités intérimaires en sont les raisons principales, analyse Ibrahim Maïga, chercheur à l’Institut d’études en sécurité (ISS).
Directement visés par la lente montée en puissance de la force du G5 Sahel aux confins du Mali, du Burkina Faso et du Niger, les groupes jihadistes tentent de la contrecarrer par des attaques de plus en plus meurtrières, selon des experts.
Le nouveau Premier ministre du Mali, Soumeylou Boubèye Maiga, s’est dit prêt dimanche à prendre des « mesures fortes » pour renfoncer la sécurité des Maliens, en particulier dans le centre du pays confronté à une montée des attaques jihadistes.
Terrorisme, opérations de maintien de la paix, déplacement des populations… Le secrétaire général des Nations unies, en poste depuis un an, est conscient de la difficulté de sa mission, mais convaincu que l’ONU a encore un rôle important à jouer dans ces domaines. Entretien.
Le Conseil de sécurité a adopté vendredi à l’unanimité une résolution autorisant les Casques bleus de la force de l’ONU déployée au Mali à apporter un soutien logistique et opérationnel à la force antijihadiste naissante G5-Sahel.
Quatre Casques bleus de l’ONU et un militaire malien ont été tués vendredi dans deux attaques au Mali, qui ont également fait une vingtaine de blessés, ont annoncé la Mission des Nations unies (Minusma) et l’armée malienne.
L’opération menée par Barkhane près d’Abeïbara, dans la nuit du 23 au 24 octobre dernier, n’aurait pas été au menu des discussions entre le président malien et la ministre française des Armées, lors du Forum de Dakar, mi-novembre. C’est ce qu’affirment leur entourage.
Au moins quatre civils, dont une adolescente, ont été tués ce lundi 6 novembre dans le nord du Mali lorsque l’autocar qui les transportait a roulé sur une mine.
Trois Casques bleus ont été tués jeudi au Mali, et deux blessés, lorsque leur véhicule a heurté « une mine ou un engin explosif improvisé » dans le nord du pays, a indiqué la Minusma.
Croissance honorable, nouveaux chantiers, activités des opérateurs locaux en hausse : le patron des patrons maliens est optimiste. Ce qui ne l’empêche pas de remettre quelques pendules à l’heure.
À la tête d’une trentaine de sociétés, Diadié Sankaré, le PDG de la Société africaine d’études et de réalisations (SAER), a l’art de repérer les créneaux porteurs et de réussir dans les affaires. En toute simplicité.
À quelques mois de la prochaine présidentielle, qui devrait se tenir en juin 2018, le Premier ministre malien Abdoulaye Idrissa Maïga défend le bilan du gouvernement et d’Ibrahim Boubacar Keïta. Vice-président du RPM (le parti présidentiel) et ex-directeur de campagne d’IBK en 2013, il souhaite aussi que le chef de l’État brigue un second mandat. Interview.
Au moins trois Casques bleus de l’ONU au Mali ont été tués dimanche dans une attaque à l’engin explosif contre leur convoi dans le nord du pays, a-t-on appris de sources concordantes.
Deux Casques bleus de la Minusma ont été tués et deux autres grièvement blessés ce mardi 5 septembre dans le nord-est du Mali. Une attaque qui survient quelques heures seulement après l’adoption par le Conseil de sécurité de l’ONU d’une résolution créant un régime général de sanctions pour le Mali, alors que les entraves au processus de paix signé en mai-juin 2015 se multiplient.
Six agents de sécurité travaillant pour la mission de l’ONU au Mali (Minusma) à Tombouctou (nord-ouest) ont été tués lundi dans une attaque et des Casques bleus ont été blessés, tandis que 6 assaillants étaient « neutralisés », selon une source au sein de la Minusma.
Un Casque bleu et un soldat malien ont trouvé la mort lors de l’attaque lundi 14 août d’un camp de la mission de l’ONU au Mali (Minusma) à Douenza, dans le centre du pays. Deux assaillants ont été tués.
Neuf enfants soldats ont été remis vendredi aux Casques bleus présents à Kidal, dans le nord du Mali, a annoncé le porte-parole de l’ONU à New York, Stéphane Dujarric.
Des affrontements meurtriers ont eu lieu ce week-end dans la région de Kidal, dans le nord du Mali, entre des combattants de la Coordination des mouvements de l’Azawad (CMA) et des hommes des mouvements de la Plateforme, réputés proches de Bamako. Les combats risquent de s’entendre dans la région de Gao.
Vraisemblablement accidentel, le crash d’un hélicoptère dans le nord du Mali mercredi a coûté la vie à deux Casques bleus allemands. Un drame qui survient alors que de nouveaux affrontements ont été signalés dans la région.
Le contingent burkinabé présent au Darfour, dans l’ouest du Soudan, sera redéployé sur le territoire national afin de faire face à la menace terroriste.
Financement de l’Union africaine, lutte antiterroriste dans le Sahel, participation aux efforts de maintien de la paix sur le continent et crise du Golfe… Mankeur Ndiaye, ministre sénégalais des Affaires étrangères, revient pour Jeune Afrique sur les principaux dossiers internationaux dans lequel le pays est impliqué.
Des affrontements armés entre la Coordination des mouvements de l’Azawad (CMA) et les groupes armés pro-gouvernementaux réunis au sein de la « Plateforme » ont fait au moins trois morts jeudi au sud d’Aguelhok, dans la région de Kidal. Une nouvelle violation du cessez-le-feu par ces deux signataires de l’accord de paix de juin 2015 qui a été aussitôt condamnée par la Mission de l’ONU au Mali (Minusma).