La Mission multidimensionnelle Intégrée des Nations Unies pour la Stabilisation au MAli a été créée par la résolution 2100 du Conseil de Sécurité du 25 avril 2013. L’opération a pour but le maintien de la paix au Mali.
Les drones ne suffisent pas. Dans le Nord, les militaires français et les Casques bleus de la Minusma ont besoin d’informateurs locaux. Qui le paient souvent de leur vie.
Une tentative d’attentat suicide visant mardi soir l’aéroport de Gao, dans le nord du Mali, s’est soldée par la mort de son auteur sans autre victime, a-t-on appris de sources sécuritaires. Le groupe Al-Mourabitoune, du jihadiste Belmokhtar, a revendiqué cette attaque dans un communiqué diffusé dans la nuit de mardi à mercredi.
Selon plusieurs sources, un gendarme et un surveillant de prison maliens étaient toujours portés disparus ce lundi après une attaque menée dans la nuit de dimanche à lundi par des jihadistes présumés, dans la localité de Banamba.
La Minusma a annoncé qu’un Casque bleu togolais et deux civils maliens ont été tués dimanche dans une attaque dans la région de Mopti, située dans le centre du Mali.
Le 8 octobre, Cheikh Ag Aoussa, chef militaire et figure majeure du HCUA, était tué dans l’explosion de sa voiture à Kidal. Une semaine après, de nombreuses questions entourent toujours les circonstances exactes de sa mort.
Des sources militaires locales ont indiqué jeudi que quatre soldats maliens ont été tués et sept autres blessés dans la soirée au cours d’une attaque dans le secteur de Goma-Coura, dans le centre du pays.
Dans la nuit de lundi à mardi, un homme qui projetait un attentat a été tué à Tombouctou, alors qu’il se dirigeait vers une patrouille de Casques bleus suédois de la Minusma.
Le gouvernement malien a exprimé dimanche sa « tristesse » après la mort « accidentelle » du chef militaire de l’ex-rébellion dans une explosion, à Kidal.
En visite au Mali, la chancelière allemande Angela Merkel a insisté dimanche à Bamako sur la nécessité de combiner soutien militaire et aide au développement.
L’Allemagne va construire au Niger une base militaire en appui à la Mission militaire onusienne qui combat les jihadistes au Mali voisin, a annoncé mercredi l’ambassadeur d’Allemagne à Niamey. Angela Merkel se rendra à Niamey le 10 octobre.
La Mission des Nations unies au Mali (Minusma) a annoncé la mort de deux Casques Bleus de l’ONU au cours d’une attaque à Aguelhok (nord-est). Des blessés sont également à déplorer, dont cinq grièvement touchés.
Le Mali déplore deux nouvelles victimes de jihadistes présumés lundi. Un garde national et son cousin ont été tués dimanche à Tombouctou par « de présumés terroristes » dans une « attaque ciblée », selon un officier de l’armée malienne.
Le ministre malien de la Sécurité, le général Salif Traoré, a promis lundi un renforcement de la protection militaire dans le centre du pays, frappé par une série d’attaques au cours desquelles trois militaires ont été tués et une localité brièvement contrôlée par des assaillants.
Un officier de police sénégalais de la Minusma a été intercepté par la douane malienne à bord d’un bus public avec 7 500 munitions qu’il devait remettre à son unité basée à Gao. Un incident qui a rapidement fait polémique.
Les combats déclenchés mardi 9 août entre des hommes de la Coordination des mouvements de l’Azawad (CMA, ex-rébellion à dominante touareg) et du Groupe d’autodéfense touareg Imghad et alliés (Gatia), un mouvement de la Plateforme (coalition progouvernementale), se poursuivaient mercredi près de Kidal. Ces affrontements ont causé des « pertes en vies humaines », a annoncé le gouvernement malien dans un communiqué.
Les Maliens seront appelés aux urnes le 20 novembre prochain pour élire leurs maires « sur toute l’étendue du territoire national », sept ans après les derniers scrutins communaux dans ce pays en proie à des troubles, a annoncé mercredi 10 août le gouvernement.
Les combats déclenchés mardi entre ex-rebelles et membres du groupe armé pro-gouvernemental Gatia près de Kidal (extrême nord-est) sont toujours en cours, ont indiqué mercredi à l’AFP le Gatia et l’ONU.
De nouveaux combats ont éclaté mardi dans le nord du Mali près de Kidal entre des hommes de la Coordination des mouvements de l’Azawad (CMA, à dominante touareg) et d’autres du Groupe d’autodéfense touareg Imghad et alliés (Gatia), un mouvement de la Plateforme, la coalition pro-gouvernementale.
Un Casque bleu a été tué et quatre blessés dimanche dans l’explosion d’une mine dans la région de Kidal, dans le nord-est du Mali, a annoncé la Mission de l’ONU au Mali (Minusma).
Après de violents affrontements entre ex-rebelles et membres d’un groupe armé pro-gouvernemental samedi dans les environs de Kidal, aucun combat n’a été signalé dimanche 31 juillet dans cette région du nord du Mali, a indiqué un élu local.
Qui est derrière l’attaque du camp militaire de Nampala, qui a fait 17 morts et une trentaine de blessés dans les rangs de l’armée malienne le 19 juillet ?
Les modalités du renforcement de la mission de l’Onu au Mali (Minusma) se précisent. Cependant le camp de Kidal pose problème, les forces occidentales rechignant à y envoyer des troupes spécialisées dans le renseignement…
Deux Casques bleus de la Minusma sont morts mercredi 6 juillet lors d’un exercice sur un champ de tirs à Kidal, dans le nord du Mali, indique la Minusma dans un communiqué, sans préciser la nationalité des deux victimes.
Le Conseil de sécurité des Nations unies a renouvelé mercredi le mandat de la mission de l’ONU au Mali (Minusma) et décidé le renforcement de ses effectifs, comme le suggérait le secrétaire général Ban Ki-moon dans un rapport remis au Conseil de sécurité fin mai.
Faire passer les effectifs de la Mission de l’ONU au Mali (Minusma) de 12 000 à 14 500 hommes, c’est l’enjeu de la réunion du Conseil de sécurité, ce 29 juin, à New York.
Le Conseil de sécurité de l’ONU s’apprête à renouveler, mercredi 29 juin, le mandat de la Minusma. Quels sont les changements attendus pour la mission onusienne au Mali ? Éléments de réponse avec Jean-Hervé Jezequel, directeur adjoint du projet Afrique de l’Ouest à l’International crisis group (ICG).
Rencontrant François Hollande à l’Élysée pour la cinquième fois le 14 juin, Mahamadou Issoufou a plaidé pour que la Mission de l’ONU au Mali soit dotée d’un « mandat offensif ».
Le 20 juin 2015, la Coordination des mouvements de l’Azawad (CMA) paraphait l’accord de paix baptisé « Accord d’Alger », à Bamako. Une victoire sur le papier pour un Mali en guerre depuis la fin 2012 contre des groupes terroristes et rebelles. Un an plus tard, faut-il fêter cet accord ?
Mahamat Saleh Annadif, le patron de la Minusma et représentant spécial de Ban Ki-moon au Mali depuis maintenant six mois, a la cote à Bamako – ce qui était loin d’être le cas de ses prédécesseurs, le Néerlandais Bert Koenders et le Tunisien Mongi Hamdi.
Ban Ki-moon a diffusé fin mai son rapport de situation sur la Minusma, proposant plusieurs ajustements de son mandat. Alors qu’un climat de grave insécurité règne dans le nord et le centre du Mali, le secrétaire général de l’ONU met l’accent sur sa volonté de faire appliquer l’accord de paix d’Alger avec des moyens supplémentaires.