Le secrétaire général du Mouvement national pour la libération de l’Azawad (MNLA) a déclaré, lundi dans une interview au quotidien arabophone El Khabar, qu’il ne se sentait pas concerné par l’appel au cessez-le-feu lancé samedi par le gouvernement malien et l’Alliance démocratique du 23 mai. Les combats se poursuivent, notamment dans la région de Tombouctou.
Une semaine avant la reprise de la rébellion touarègue, le 17 janvier dernier, le Mali tentait encore de négocier avec le MNLA et son allié Iyad Ag Ghaly, leader du groupe salafiste Anssar dine. Jeune Afrique s’est procuré en exclusivité le document contenant les propositions de Koulouba lors de ces discussions.
Alimentée par le retour de Libye de plusieurs milliers de combattants touaregs d’origine malienne, la rébellion reprend du service au Nord du Mali. Sous la houlette du Mouvement national de libération de l’Azawad (MNLA). Analyse.