La Monusco (Mission de l’ONU pour la stabilisation en RDC) renvoie à la force de paix des Nations Unies déployée en RDC, qui a fait suite en 2010 à la Monuc, à l’œuvre depuis 1999. La Monusco, selon la résolution 1925, est davantage axée sur la protection des populations civiles.
Les Casques bleus ont repoussé une incursion contre l’une de leurs bases dans l’est de la République démocratique du Congo, où l’armée a par ailleurs salué dimanche « un festival de redditions », notamment de rebelles hutus rwandais.
Selon l’armée congolaise, un casque bleu de la Mission des nations unies au Congo (Monusco), a été retrouvé près de Beni, dans l’est de la République démocratique du Congo.
Deux personnes, dont un militaire selon l’armée, ont été lynchées samedi à Beni, dans l’est de la République démocratique du Congo, par la foule qui les accusait d’être des membres d’un groupe armé à qui on attribue le massacre de 100 civils en un mois.
Le secrétaire général-adjoint des Nations unies, Jean-Pierre Lacroix, est arrivé samedi à Beni, dans l’est de la République démocratique du Congo, où plus de 100 civils ont été massacrés par des groupes armés depuis le 5 novembre.
Au total 27 personnes sont mortes selon un nouveau bilan officiel jeudi du dernier massacre de civils attribué aux Forces démocratiques alliées (ADF), en République démocratique du Congo. Plusieurs ambassades à Kinshasa ont condamné ces violences.
Deux personnes ont été tuées mardi dans l’est de la RDC dans de nouvelles manifestations d’habitants qui dénoncent « l’inaction » des autorités et de l’ONU face aux massacres de civils attribués au groupe armé ADF, qui ont fait au moins 80 morts depuis le 5 novembre.
La présidence de la République démocratique du Congo (RDC) a annoncé lundi des « opérations conjointes entre l’armée nationale et la Monusco (Mission des Nations unies au Congo) » à Beni, dans l’est du pays, « afin d’assurer la paix et la sécurité à la population civile ».
Un camp de la Mission de l’ONU (Monusco) en RDC a été envahi ce lundi par des manifestants, à Beni, où des affrontements ont éclaté lors desquels les forces de sécurité congolaises ont tiré à balles réelles pour tenter de disperser la foule. Les habitants de Beni dénoncent depuis jeudi « l’inaction » de l’armée congolaise et des Casques bleus face aux tueries à répétition attribuées aux ADF dans la région.
Les représailles visant les civils se multiplient dans l’est de la République démocratique du Congo, les rebelles ADF ont attaqué la ville de Beni, faisant au moins dix morts, au nez et à la barbe des unités de l’armée congolaise présentent dans la région.
Alors que l’ONU est présente militairement en République démocratique du Congo (RDC) depuis une vingtaine d’années, les Casques bleus pourraient être retirés progressivement sur trois ans, sous condition pour les autorités de respecter plusieurs paramètres, propose un rapport onusien remis récemment au Conseil de sécurité.
La perspective d’opérations militaires conjointes entre la RDC, le Rwanda, l’Ouganda, le Burundi et la Tanzanie contre les multiples groupes armés qui continuent d’agir dans l’Est du Congo soulève de fortes réticences à Kinshasa. Si l’information n’a pas été officiellement confirmée, les différents acteurs planchent de fait sur l’organisation d’une offensive régionale en territoire congolais depuis plusieurs semaines.
Le général Bernard Commins a quitté ses fonctions de commandant par intérim de la force de la Monusco. C’est un autre militaire français qui a pris sa suite.
Véritable État dans l’État, la mission des Nations unies a longtemps essuyé les critiques acerbes de l’administration Kabila. Pourtant, soumise à d’importantes contraintes budgétaires, c’est sous la présidence de Félix Tshisekedi qu’elle pourrait plier bagage.
Depuis avril dernier, l’organisation État islamique (EI) a revendiqué plusieurs attaques en RDC. Mais la réalité de son implantation est mise en doute par les experts.
Alors que l’ONU vient de célébrer la Journée internationale des Casques bleus, l’Afrique est devenue le terrain privilégié pour les opérations de maintien de la paix déployées par l’organisation internationale depuis 1948.
Le budget de la Monusco est actuellement en discussion à l’ONU. Une chose est sûre : il sera en baisse. En RDC, les premiers effets se font déjà sentir, et la réduction programmée des moyens de l’une des principales opérations de maintien de la paix des Nations unies inquiète une partie de la société civile.
Le Conseil de sécurité a prolongé à l’unanimité jusqu’au 20 décembre le mandat de sa force de paix Monusco en République démocratique du Congo, sans modifier ses effectifs et en réclamant au secrétaire général de l’ONU de travailler dans les mois à venir sur une stratégie de sortie du pays.
Le Conseil de sécurité est appelé vendredi à voter une résolution prolongeant le mandat des Casques bleus en République démocratique du Congo (Monusco) jusqu’au 20 décembre avec des effectifs inchangés, selon le projet de texte diffusé jeudi.
Alors que les esprits s’échauffent à Kinshasa, suite à l’exclusion des circonscriptions de Beni, Butembo et Yumbi de l’élection présidentielle du 30 décembre, la représentante spéciale du secrétaire générale de l’ONU, Leila Zerrougui, appelle toutes les parties prenantes au calme et à la concertation. Et dévoile certaines coulisses des tractations survenues ces derniers jours.
L’enquête de RFI, Le Monde, Foreign Policy, Süddeutsche Zeitung et la télévision suédoise SVT, après une fuite de documents internes de l’ONU, met en évidence les embûches placées sur le chemin des enquêteurs onusiens suite à la disparition de deux de leurs experts, l’Américain Michael Sharp et la Suédo-Chilienne Zaida Catalan.
Le président congolais Joseph Kabila a reçu samedi les 15 membres du Conseil de sécurité des Nations unies à Kinshasa où l’opposition leur a demandé de « ne pas céder au chantage à la souveraineté » du pouvoir à l’approche des élections prévues le 23 décembre.
Les 15 membres du Conseil de sécurité des Nations unies ont rencontré la commission électorale vendredi à Kinshasa au premier jour d’une visite en République démocratique du Congo à « un moment crucial de son histoire » avant les élections prévues le 23 décembre.
Les opérations de maintien de la paix des Nations unies sont un exemple concret de multilatéralisme en action, affirme le secrétaire général des Nations unies. Elles sont la démonstration que la communauté internationale peut résoudre certains des problèmes les plus complexes en combinant créativité et pragmatisme.
Le président congolais Joseph Kabila a réclamé le 25 septembre devant l’Assemblée générale annuelle des Nations unies « le début effectif et substantiel du retrait » des Casques bleus de son pays, affirmant le caractère « irréversible » du scrutin présidentiel prévu le 23 décembre.
La ville de Beni, dans la province congolaise du Nord-Kivu, a été le théâtre samedi 22 septembre d’une violente attaque menée par de présumés rebelles ougandais des ADF. Révoltés et excédés, les habitants s’interrogent sur l’efficacité de la réponse militaire et sur le rôle de la Monusco.
Au moins 16 personnes ont été tuées samedi soir dans la ville de Beni, dans l’est de la République démocratique du Congo, dans une attaque attribuée au groupe armé des Allied defense force (ADF), ont indiqué dimanche plusieurs témoins.
Une visite du secrétaire général de l’ONU et du président de la commission de l’Union africaine en République démocratique du Congo est « inopportune » en cette période préélectorale, a affirmé dimanche un conseiller du président congolais Joseph Kabila.
Monusco, Minusca, Minusma, Minuss… Le budget des opérations de paix 2018-2019 adopté jeudi par l’ONU entraînera la réduction des quatre plus importantes missions de Casques bleus, qui se trouvent toutes en Afrique.
Élections en RDC et au Mali, crise en Centrafrique, augmentation du nombre de Casques bleus tués sur le terrain… Le secrétaire général adjoint des Nations unies en charge des opérations de maintien de la paix fait le point pour Jeune Afrique.