La Monusco (Mission de l’ONU pour la stabilisation en RDC) renvoie à la force de paix des Nations Unies déployée en RDC, qui a fait suite en 2010 à la Monuc, à l’œuvre depuis 1999. La Monusco, selon la résolution 1925, est davantage axée sur la protection des populations civiles.
La nouvelle chef de la mission des Nations unies en République démocratique du Congo, l’Algérienne Leila Zerrougui, a pris ses fonctions dimanche dans un climat de tension larvée avec les autorités.
L’opposant congolais était présent dans la capitale éthiopienne lors du 30e sommet de l’Union africaine. S’il ne figurait parmi aucune délégation officielle, il a cependant multiplié les rencontres, en catimini.
Après la mort dimanche d’au moins six personnes lors de la répression policière des marches contre le régime de Joseph Kabila, le secrétaire général des Nations unies, Antonio Guterres, a demandé lundi aux autorités congolaises des « enquêtes crédibles ».
Les autorités congolaises et la Mission des Nations unies en RDC (Monusco) accusent les rebelles ADF d’avoir tué plus de 700 civils depuis octobre 2014 dans la région de Beni. Samedi, l’armée congolaise a lancé une offensive contre le groupe ougandais, permettant de les déloger de deux positions.
Des coups de feu ont retenti vendredi aux abords de la cathédrale Notre-Dame du Congo à Kinshasa, où venait de s’achever une messe en hommage aux victimes de la répression policière du 31 décembre.
Trois principaux chantiers attendent Leila Zerrougui dès sa prise de fonction en février 2018. Cette juriste algérienne a été nommée mercredi chef de la Monusco, la mission onusienne en RDC.
Les corps des 15 Casques bleus tanzaniens tués jeudi dans l’est de la République démocratique du Congo (RDC) lors d’une attaque attribuée à des rebelles ougandais seront rapatriés « entre mardi et mercredi », a annoncé dimanche l’armée tanzanienne.
Au moins quatorze Casques bleus tanzaniens ont été tués jeudi lors de l’attaque d’une base de la Mission des Nations unies au Congo (Monusco), dans la province du Nord-Kivu.
Le Conseil de sécurité de l’ONU a entériné mardi le nouveau calendrier électoral en République démocratique du Congo prévoyant une présidentielle le 23 décembre 2018, mais insiste sur « l’importance capitale de s’assurer que ces scrutins ne soient pas encore repoussés ».
À la veille des manifestations annoncées sur toute la RDC pour protester contre le calendrier électoral, les Nations unies ont mis en garde mardi Kinshasa contre une éventuelle répression des manifestants. Au même moment, à Lubumbashi, dans le sud du pays, l’opposition dénonce déjà les « intimidations ».
La ville de Kisangani, l’un des principaux centres urbains dans l’est de la République démocratique du Congo, subit une méga-panne d’eau et d’électricité depuis jeudi 9 novembre.
Deux personnes ont été tuées le 5 novembre dans des affrontements entre forces de sécurité et gardes d’un fonctionnaire déchu, le colonel Abbas Kayonga. Ce dernier a été remis aux autorités par la Mission des Nations unies, à Bukavu dans l’est de la République démocratique du Congo.
Deux Casques bleus tanzaniens ont été tués ce lundi dans l’attaque d’une base de la Monusco à Beni. L’attaque survient au lendemain de combats ayant opposé dimanche 8 octobre les Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC) aux Forces démocratiques alliés (Allied Democratic Forces, ADF), accusées par les autorités d’être à l’origine de la disparition, samedi, d’une vingtaine de civils.
Une base de la Monusco a été la cible vendredi d’une attaque de miliciens dans la province congolaise du Nord-Kivu, se soldant par la mort de trois des assaillants. Deux Casques bleus ont été légèrement blessés.
Le mercredi 11 octobre, le Conseil de sécurité doit rendre publique la nouvelle configuration de la Monusco. Contraction budgétaire, réduction des effectifs, changement de mode opératoire … À quoi ressemblerait la mission onusienne en RDC ?
Seize miliciens ont été tués dans d’intenses combats qui opposent depuis vendredi l’armée congolaise à des milices Maï-Maï dans une localité du Nord-Kivu, dans l’est de la RDC, a-t-on appris lundi 2 octobre de source militaire.
À l’occasion de la remise de son rapport annuel sur la République démocratique du Congo, le Conseil des droits de l’homme a vertement critiqué mardi l’apathie de Kinshasa dans la lutte contre l’impunité des crimes commis par les forces de sécurité congolaises. L’instance onusienne en a également profité pour dénoncer le non-respect des clauses de l’Accord du 31 décembre 2016.
Un « très grave incident ». C’est en ces termes que la Monusco a qualifié mardi 29 août l’intrusion la veille de l’armée congolaise dans ses installations à Kananga, dans le centre de la République démocratique du Congo, alors qu’ils tentaient d’y arrêter un journaliste venu s’y réfugier. Des affirmations contestées par Kinshasa.
Le lieutenant-général kényan Leonard Muriuki Ngondi a été nommé mardi 8 août commandant de la Minuad au Darfour. Une désignation qui porte désormais à six sur huit le nombre d’Africains à la tête des opérations de maintien de la paix sur le continent.
La Monusco a annoncé mercredi la fermeture d’ici fin juillet de cinq de ses bases fixes au Nord-Kivu, dans l’est de la RD Congo. Une décision commandée par le nouveau mode opérationnel des Casques bleus, mais qui est loin de rassurer tout le monde.
Les découvertes macabres se succèdent dans le Kasaï. Les 4 et 7 juillet 2017, 38 nouveaux charniers ont été recensés par une équipe du Bureau conjoint des Nations unies pour les droits de l’homme (BCNUDH) et la cellule d’appui aux poursuites, composé de procureurs civils et militaires congolais, chargés d’enquêter sur les crimes de guerre en RDC. Au total, 80 charniers ont été mis au jour dans le Kasaï depuis le début de la rébellion de la milice Kamwina Nsapu en août 2016.
L’ONU a recensé 80 000 personnes déplacées, ces six derniers jours, dans l’est de la République démocratique du Congo. Elles fuient les combats qui opposent la milice Maï-Maï Yakotumba et l’armée congolaise dans le territoire de Fizi, au Sud-Kivu.
Avant de s’envoler pour Genève où se tient jusqu’au 23 juin la 35e session du Conseil des droits de l’homme des Nations unies, Marie-Ange Mushobekwa, ministre congolaise des Droits humains, s’est confiée à Jeune Afrique. Sujets abordés : les violences dans le Kasaï et la situation des droits de l’homme en RDC.
La Mission de l’ONU en RDC (Monusco) s’est déclarée préoccupée mercredi après avoir documenté, du 5 au 9 juin, 62 cas de violations graves des droits des enfants, dont des viols sur mineures par des miliciens dans l’est et le centre de la République démocratique du Congo.
Parti au Canada pour quelques mois d’études, ce Camerounais a vite pris la tangente. Il est aujourd’hui conseiller politique pour la mission des Nations unies en RDC.
Seize membres de l’ONU ont été libérés mardi après avoir été pris en otage dans la journée par d’ex-rebelles sud-soudanais dans un camp de réfugiés dans l’est de la RDC, a affirmé un responsable onusien sous couvert d’anonymat.
Depuis des mois, le Kasaï-Central est en proie à de violents affrontements entre les milices de Kamuina Nsapu et l’armée congolaise. Venus enquêter sur le conflit qui ensanglante cette province rebelle, deux experts de l’ONU ont perdu la vie.