La Monusco (Mission de l’ONU pour la stabilisation en RDC) renvoie à la force de paix des Nations Unies déployée en RDC, qui a fait suite en 2010 à la Monuc, à l’œuvre depuis 1999. La Monusco, selon la résolution 1925, est davantage axée sur la protection des populations civiles.
Le Conseil de sécurité des Nations unies a renouvelé mercredi le mandat de la Monusco, présente en RD Congo depuis 16 ans, contre l’avis des autorités congolaises.
Lors de son intervention mercredi au Conseil de sécurité des Nations unies à New York, Raymond Tshibanda, chef de la diplomatie de la RD Congo, a annoncé le souhait de son pays de voir les effectifs de la Monusco être réduits de moitié d’ici la fin de l’année.
Des militaires des FARDC ont-ils participé à des massacres dans la région de Beni, dans l’est de la RDC ? Selon Jason Stearns, ancien expert de l’ONU qui dirige actuellement le Groupe d’étude sur le Congo, la réponse est oui. Explications.
Alors que le Conseil de sécurité doit voter une nouvelle résolution sur la RD Congo d’ici à la fin du mois, Kinshasa réclame une nouvelle réduction des effectifs militaires de la Mission de l’ONU (Monusco) sur son territoire, estimant que la situation sécuritaire s’est « nettement améliorée ». Le gouvernement congolais souhaite par ailleurs bénéficier de « l’appui » onusien dans l’organisation de ses élections, mais refuse tout « accompagnement ».
Treize civils ont été tués dans la nuit de dimanche à lundi par de présumés rebelles ougandais dans le territoire de Beni, dans l’est de la RDC, a déclaré l’armée congolaise.
Suite à une interview d’Hervé Ladsous, le chef des opérations de maintien de la paix de l’ONU, la RD Congo s’est fendue d’un communiqué dénonçant des affirmations inexactes et inacceptables.
Lune de miel entre la République démocratique du Congo et la Mission de l’ONU (Monusco) ? Les deux parties ont signé jeudi un accord formalisant la reprise totale de leur coopération militaire, sclérosée depuis un an par une brouille sur la traque de la rébellion hutue rwandaise des Forces démocratiques de libération du Rwanda (FDLR).
Faut-il réduire l’effectif de la mission de l’ONU en République démocratique du Congo ? Et de combien de Casques bleus ? Dans une période préélectorale tendue, le débat est ouvert, non sans arrière-pensées politiciennes…
Dans un rapport rendu public mardi, l’ONU envisage de réduire à nouveau les effectifs de la force des Nations unies en République Démocratique du Congo (Monusco). Une proposition qui sera examinée la semaine prochaine par le Conseil de sécurité.
Après la nomination du Nigérien Maman Sidikou comme chef de la Mission, le général-major sud-africain Derick Mbuyiselo Mgwebi, 59 ans, a été désigné mardi commandant de la Force. Le remplaçant du général brésilien Carlos Alberto dos Santos Cruz cumule 35 ans d’expérience militaire et a notamment été chef de la Force de l’Opération de l’ONU au Burundi de 2004 à 2006.
De violentes combats opposaient mardi depuis plusieurs heures des Casques bleus à des rebelles ougandais des Forces démocratiques alliées (ADF) dans l’est de la RDC.
Vingt-quatre personnes ont été tuées dans la nuit de dimanche à lundi dans une attaque des rebelles ougandais des Forces démocratiques alliées (ADF) et les combats qui ont suivi, dans l’est de la RDC, selon un bilan donné par l’ONU.
L’ONU étudie la possibilité d’envoyer des Casques bleus au Burundi depuis la RDC voisine, si les violences s’amplifiaient et devenaient incontrôlables.
Responsable de l’administration au sein des Forces démocratiques de libération du Rwanda (FDLR), dans l’est de la RD Congo, le lieutenant-colonel Gerard Ntibibaza a fait défection, fin septembre, pour se réfugier en territoire rwandais.
L’armée congolaise a annoncé mercredi que deux de ses soldats et quatre rebelles ougandais des Forces démocratiques alliées (ADF) ont été tués lors de combats dans le territoire de Beni, dans la partie est de la RDC.
Le 8 octobre, Maman Sambo Sidikou a pris la tête de la Monusco, mais il va avoir fort à faire avec Kinshasa, qui n’a qu’une hâte : se débarrasser des 20 000 Casques bleus déployés sur son sol.
Le gouverneur de la province du Nord-Kivu a affirmé jeudi que cinq civils avaient été tués dans une attaque héliportée menée lundi par des Casques bleus contre des rebelles.
L’ONU a rejeté jeudi les accusation du gouverneur de la province du Nord-Kivu qui rendent la Monusco responsable de la mort de cinq civils lors d’une opération de ses Casques bleus lundi.
S’exprimant pour la dernière fois devant le Conseil de sécurité des Nations unies, Martin Kobler, chef de la Monusco dont le mandat expire à la fin du mois, a demandé mercredi à Kinshasa de garantir une campagne électorale équitable menant à des élections crédibles.
C’était la dernière journée de Martin Kobler. Après deux ans à la tête de la Mission de l’ONU pour la stabilisation en RDC (Monusco), le diplomate allemand s’est envolé, vendredi, pour la 70e Assemblée générale de l’ONU à New-York. Avant son départ, il s’est confié à Jeune Afrique sur ses motifs de satisfaction et ses frustrations.
La justice allemande rendra lundi 28 septembre son verdict contre deux chefs de la rébellion hutue rwandaise, accusés d’avoir orchestré à 6000 kilomètres de distance des crimes contre l’humanité et de guerre dans l’est de la RDC. Un verdict qui survient après quatre ans d’un procès épineux
Martin Kobler, le Chef de la Mission des Nations unies en RD Congo pourrait remplacer Bernardino León à la tête de la Mission d’appui des Nations unies en Libye (Manul).
Les Nations unies ont demandé mardi à Kinshasa « la libération immédiate » de deux jeunes militants de la société civile congolaise, six mois jour pour jour après leur arrestation.
Les soldats déployés par l’ONU sont souvent des cibles de choix des jihadistes et des groupes rebelles armés. Zoom sur les missions de maintien de la paix les plus meurtrières sur le continent.
La Mission des Nations unies en République démocratique du Congo (Monusco) risque de cesser, dès le mois de septembre, de nourrir près de 7 000 ex-rebelles et demande à Kinshasa de prendre le relai. Principale raison évoquée : le coût de cette aide, évalué à deux millions de dollars par mois.
Deux Congolais et un Zimbabwéen, membres de l’unité de la Monusco chargée du déminage et de la neutralisation des munitions non explosées, ont été enlevés jeudi au Nord-Kivu.