La Monusco (Mission de l’ONU pour la stabilisation en RDC) renvoie à la force de paix des Nations Unies déployée en RDC, qui a fait suite en 2010 à la Monuc, à l’œuvre depuis 1999. La Monusco, selon la résolution 1925, est davantage axée sur la protection des populations civiles.
Dix-neuf personnes ont été tuées à la machette mercredi à Beni, territoire de l’est de la RDC où des massacres de civils ont lieu depuis plus de six mois. Une situation qui perdure malgré la présence des Casques bleus et de l’armée dans la région.
La Monusco comptera 2 000 soldats de moins. Cette reconduction du mandat de la force onusienne survient en pleine brouille entre les Nations unies et Kinshasa.
Entre le gouvernement congolais et les Nations unies, le courant ne passe plus. La coopération entre l’armée et la Monusco serait actuellement complétement rompue.
La Mission onusienne en RDC (Monusco) a suspendu son appui à l’armée congolaise dans les opérations contre les FDLR. En réponse, Kinshasa a décidé de traquer seul ces rebelles rwandais. De passage à Paris, Raymond Tshibanda, le chef de la diplomatie congolaise, a expliqué à « Jeune Afrique » les raisons de cette décision. Interview exclusive.
La Monusco a annoncé mercredi soir faire « une pause » dans son soutien à l’armée congolaise en vue de l’offensive contre les FDLR dans l’est du pays, confirmant les tensions entre New-York et Kinshasa au sujet de la nomination de deux généraux controversés appelés à diriger les opérations.
Le documentaire « RDC : à quoi servent les Casques bleus ? » mis en ligne jeudi sur le site de la chaîne franco-allemande Arte revient sur la série des massacres qui ont été perpétrés fin 2014 à Beni, dans l’est du pays. Et remet surtout en cause l’efficacité de la Monusco dans la protection des civils.
Décidée fin 2014, une opération militaire conjointe Monusco-armée congolaise a été lancée lundi contre les rebelles burundais des Forces nationales de la libération (FNL), actifs dans le Sud-Kivu. Rien à voir avec les derniers affrontements au Burundi, selon la mission onusienne en RDC.
L’armée congolaise et les Casques bleus menaient mardi après-midi une opération conjointe contre les rebelles ougandais de l’ADF, soupçonnés d’être responsables d’une série de récents massacres dans l’est de la République démocratique du Congo.
Lors de son point de presse hebdomadaire, Martin Kobler, le patron de la Mission de l’ONU en RDC (Monusco) a averti mercredi que le combat contre les rebelles ougandais des Forces démocratiques alliées (ADF), basés dans l’est du pays, est « difficile à gérer » et nécessite le soutien des populations locales.
Martin Kobler, le chef de la Mission de l’ONU en RDC (Monusco), a annoncé jeudi la réduction des effectifs des Casques bleus en 2015. Une déclaration qui intervient alors que les exactions contre les civils se sont multipliées ces derniers mois dans l’est du pays.
Des tenues de l’armée congolaise ont été retrouvées mercredi dans un fourgon de la Monusco à l’aéroport de Goma, selon plusieurs témoins sur place. Une affaire bien embarrassante pour la mission onusienne en RDC…
Lors de son point de presse hebdomadaire mercredi à Kinshasa, la Mission de l’ONU en RDC (Monusco) a annoncé que deux cents personnes ont été arrêtées dans le territoire de Beni, après les massacres qui ont fait environ 120 morts en un mois.
La Mission de l’ONU en République démocratique du Congo (Monusco) va renforcer sa présence dans le territoire de Beni, théâtre d’une série de massacres qui ont fait une centaine de morts courant octobre, a annoncé samedi son chef, Martin Kobler.
Les protestations contre la Monusco ont fait deux morts et un blessé par balle mardi, dans l’est de la RDC, a annoncé mercredi une fédération d’association.
De passage à Paris, Charles Antoine Bambara, responsable de l’information publique de la Monusco, est revenu mercredi sur les opérations militaires en cours contre les rebelles ougandais ADF dans l’est de la RDC. Mais aussi sur l’hypothétique désarmement volontaire des FDLR. Interview.
La mission des Nations unies en RDC s’est défendue mercredi de soutenir les rebelles hutus rwandais présents dans l’est du pays. Fin juin, elle avait été accusée par le Rwanda d’avoir transporté Gaston Rumuli Iyamuremye, l’un des dirigeants de cette milice.
La Monusco tire la sonnette d’alarme. La mission de l’ONU en RDC estime que les expulsions de ressortissants de ce pays par le Congo-Brazzaville est à l’origine d’une grave crise humanitaire. Et exige la fin de l’opération « Mbata ya bakolo », lancée début avril.
La traque des éléments du Forces démocratiques de libération du Rwanda (FDLR) se poursuit. La Monusco a annoncé lundi que des opérations conjointes avec l’arrmée congolaise devraient « être lancées très bientôt ».
Mis en service début décembre, un des deux drones d’observation de la Mission de l’ONU pour la stabilisation du Congo (Monusco) s’est écrasé mercredi lors de son atterrissage à l’aéroport de Goma. L’accident n’a pas fait de victime.
La Mission de l’ONU pour la stabilisation du Congo (Monusco) s’est dite mercredi inquiète de l’infiltration dans le nord du territoire congolais d’éléments armés venus de Centrafrique, craignant un effet déstabilisateur.
La Mission de l’ONU en République démocratique du Congo (Monusco) a pilonné, mercredi, des positions de rebelles ougandais présumés qui s’étaient emparés dans la matinée de la ville de Kamango, dans l’est du pays.
Après la défaite du Mouvement du 23-Mars (M23) dans l’est de la RDC, le Rwanda appelle l’armée congolaise et la Monusco à s’attaquer « en priorité » aux éléments des Forces démocratiques pour la libération du Rwanda (FDLR). Un « groupe armé pas comme les autres », selon Olivier Nduhungirehe, représentant permanent adjoint de Kigali au Conseil de sécurité de l’ONU. Interview.
Après la défaite militaire du Mouvement du 23-Mars (M23), Martin Kobler, le chef de la mission onusienne en RDC, a annoncé, mercredi, que les Casques bleus allaient aider à renforcer le contrôle des frontières du pays pour empêcher des rebelles hutus des FDLR, qui seront bientôt traqués, de retourner au Rwanda avec leurs armes.
Selon un nouveau rapport de la mission de l’ONU en RDC couvrant la période 2012-2013, environ un millier d’enfants soldats se battraient aux côtés des groupes armés actifs dans l’est du pays. Le chef de la force onusienne, Martin Kobler, a réclamé jeudi leur libération sans condition.
Les rebelles congolais du Mouvement du 23 mars (M23) ont tiré vendredi après-midi sur un hélicoptère militaire de l’ONU qui survolait l’espace sous son contrôle dans l’est de la République démocratique du Congo (RDC), a-t-on appris de sources concordantes.
Les hélicoptères d’attaque et l’artillerie de la Mission de l’ONU pour la stabilisation du Congo (Monusco) sont intervenus, le 28 août, contre les positions des rebelles du Mouvement du 23-Mars (M23) sur les collines de Kibati, à une dizaine de kilomètres au nord de la ville de Goma. Selon l’agence Reuters, citant le porte-parole adjoint de l’ONU, un Casque bleu aurait été tué, et deux autres blessés.
Alors que l’Union européenne invite les groupes armés actifs dans l’est de la RDC à « déposer les armes », Me Omar Kavota, vice-président et porte-parole de la société civile (un regroupement d’ONG) du Nord-Kivu, de retour d’une mission de plaidoyer à Washington, appelle la brigade d’intervention de la Monusco à « poursuivre » l’offensive contre les rebelles du Mouvement du 23-Mars (M23) et demande l’ouverture d’une « enquête mixte » sur la mort, le 24 août, de deux manifestants anti-Monusco dans la ville de Goma. Interview.
La force de l’ONU dans l’est de la RDC a été accusée, le 25 août, d’avoir tué deux civils à Goma en tirant sur une foule de manifestants qui reprochaient aux Casques bleus de ne pas protéger la population des attaques rebelles. Une « enquête conjointe » a été ouverte.
La Mission des Nations unies en RDC (Monusco) a décidé d’engager ses troupes aux côtés de l’armée congolaise contre les rebelles du Mouvement du 23-Mars. Cette décision fait suite aux tirs d’artillerie, jeudi 22 août, sur les faubourgs de Goma, la capitale du Nord-Kivu, et qui ont fait, selon l’ONU, quatre morts et une dizaine de blessés.