L’Organisation Mondiale de la Santé est une institution dépendant de l’Organisation des Nations Unies (ONU), dont la Constitution est entrée en vigueur le 7 avril 1948. Selon celle-ci, l’objectif principal de l’institution est d’amener chaque être humain à un niveau de santé le plus élevé possible, car elle constitue « l’un des droits fondamentaux de tout être humain, quelque soit sa race, sa religion, ses opinions politiques, sa condition économique ou sociale ». Son siège se situe à Genève, en Suisse.
Diffusé dans le monde entier, en direct, le 18 avril, ce « live confiné », organisé pour soutenir les travailleurs de la santé et l’Organisation mondiale de la santé (OMS), rassemble beaucoup de stars africaines et afro-américaines.
Le laboratoire de microbiologie de l’hôpital Charles-Nicolle de Tunis est parvenu à déterminer l’identité génétique du coronavirus. Une avancée de taille dans la lutte contre la pandémie et une victoire pour le monde de la recherche en Tunisie, que n’a pas manqué de saluer l’OMS. Entretien avec la coordinatrice des travaux, le professeur Ilhem Boutiba Ben Boubaker.
En pleine pandémie de Covid-19, le président américain Donald Trump a vivement critiqué l’Organisation mondiale de la santé et sa gestion de la crise. Mais à travers elle, c’est surtout la Chine qui est visée…
Les propos choquants de deux experts français favorables à la réalisation d’essais cliniques contre le Covid-19 en Afrique ont suscité une vague d’indignation, en suggérant que des expérimentations vaccinales pourraient prendre les Africains pour cobayes. Décryptage.
Alors que la pandémie de coronavirus prend une nouvelle dimension en Afrique, les experts de l’OMS et du Programme alimentaire mondial s’inquiètent de la pénurie d’équipements médicaux adaptés.
Un cas de contamination au nouveau coronavirus, un ressortissant italien, a été confirmé jeudi 27 février à Lagos, la capitale économique du Nigeria. C’est le premier cas officiellement identifié en Afrique subsaharienne.
Sauf accident, on viendra à bout du coronavirus dans les prochaines semaines grâce au partenariat qui s’est noué entre la Chine et l’Organisation mondiale de la santé (OMS), que dirige l’Éthiopien Tedros Adhanom Ghebreyesus.
Soupçonné à tort de complaisance à l’égard de la Chine dans sa gestion de l’épidémie, le patron éthiopien de l’OMS durcit le ton à mesure que le nombre de malades augmente.
Les tests effectués sur l’étudiante ivoirienne arrivée de Pékin et placée en quarantaine le 25 janvier sont négatifs, ont annoncé les autorités. D’autres cas suspects ont été détectés au Kenya, en Éthiopie et au Soudan.
Face à l’épidémie de coronavirus, et même si aucun infection confirmée n’a été signalée à ce jour sur le continent, plusieurs pays ont annoncé des mesures spécifiques. À ce jour, le virus a fait 132 victimes dans le monde.
L’épidémie de pneumonie virale qui s’est déclenchée fin décembre en Chine s’est répandue dans le monde, contaminant plus de 2 700 personnes. L’Afrique, qui entretient d’importantes relations commerciales avec la Chine, surveille avec attention l’évolution de la situation.
Frontières poreuses, législations peu dissuasives et faiblesse de l’offre de santé constituent un terreau fertile sur lequel prospère le trafic de faux médicaments en Afrique. Le 18 janvier, à Lomé, sept chefs d’État se sont engagés à criminaliser ce trafic et à renforcer leur coopération.
La présidente du Conseil économique, social et environnemental du Sénégal, Aminata Touré, participe du 17 au 18 janvier à l’Initiative de Lomé, au cours de laquelle des chefs d’État africains ont signé un engagement politique visant à lutter contre le trafic de faux médicaments. Elle appelle à la criminalisation du phénomène et à une meilleure coopération entre les États.
L’épidémie d’Ebola qui frappe la RDC depuis 2018 est particulièrement meurtrière. Elle est également très éprouvante pour les équipes soignantes, confrontées à la méfiance voire à l’hostilité des populations. Le Pr Edmond Bertrand insiste sur la nécessité de traiter les causes de cette défiance, en modifiant les méthodes et la communication et en agissant en toute transparence.
L’épidémie d’Ebola en cours en RDC reste une « urgence mondiale » sanitaire, a déclaré vendredi 18 octobre l’Organisation mondiale de la santé (OMS), à l’issue d’une réunion de son comité d’urgence.
Alors que la RDC s’apprête à recourir à un second vaccin dans sa riposte à Ebola, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) est accusée par l’ONG Médecins sans frontières de « rationner » le vaccin des laboratoires Merck, le seul utilisé à ce jour contre l’épidémie.
L’Organisation mondiale de la santé accuse la Tanzanie de ne pas avoir fourni d’informations sur des suspicions de cas d’Ebola dans ce pays d’Afrique de l’Est au risque d’entraver la lutte contre la propagation du virus qui a fait plus de 2000 morts dans la région.
Alors que l’OMS relève que le taux de suicides en Afrique est supérieur à la moyenne mondiale, il est urgent que sociologues et politologues se penchent sur cette pandémie en expansion qui devrait interpeller les pouvoirs publics.
La fièvre hémorragique d’Ebola a tué 1 905 personnes en une année en République démocratique du Congo, où 844 patients ont été déclarés guéris, d’après les chiffres publiés jeudi par les autorités sanitaires congolaises.
Le chercheur congolais Jérôme Munyangi affirme avoir été « persécuté » en RDC pour avoir fait la promotion de l’artemisia comme traitement contre le paludisme. Au-delà des déboires du jeune homme dans son pays, c’est la violence de la controverse autour de cette plante qui resurgit à nouveau.
Les forces loyales au Gouvernement libyen d’union nationale (GNA), basé à Tripoli, ont annoncé vendredi soir avoir mené un raid contre une base aérienne, dans le centre du pays, contrôlée par les forces du maréchal Khalifa Haftar.
Le Gouvernement libyen d’union nationale (GNA), reconnu par l’ONU, a demandé jeudi des explications « urgentes » à Paris, après que la France a reconnu que des missiles découverts dans un QG du maréchal Khalifa Haftar près de Tripoli lui appartenaient.
Comme le révèle le classement Jeune Afrique des 100 Africains les plus influents, de nombreuses personnalités du continent occupent des postes éminents dans les institutions internationales, mais rares sont celles à y occuper les plus hautes fonctions. Explications.
La Libye a demandé au Conseil de sécurité de l’ONU d’envoyer une équipe d’inspecteurs pour enquêter sur les violences contre des civils dans la capitale Tripoli, selon une lettre publiée jeudi.
Pour venir à bout du paludisme, les partisans de l’artemisia, une plante qui guérirait de la maladie, tentent depuis plusieurs années de faire reconnaître ses propriétés. À l’occasion de la journée mondiale de lutte contre la malaria, Jeune Afrique revient sur le débat qui fait rage entre les adeptes et les adversaires de la plante.
Le Malawi, le Ghana et le Kenya donnent le coup d’envoi à l’introduction du vaccin le plus avancé contre le paludisme. Une « lueur d’espoir », se félicite Matshidiso Moeti, directrice régionale pour l’Afrique de l’Organisation mondiale de la santé (OMS).
Au moins 121 personnes ont été tuées et 561 autres blessés depuis le début le 4 avril d’une offensive du maréchal Khalifa Haftar contre la capitale libyenne Tripoli, a indiqué l’Organisation mondiale de santé.
Dans son documentaire « Les Anges », la journaliste britannique Jane Labous s’attaque au tabou de l’infertilité au Sénégal et donne la parole à des femmes qui se battent pour, un jour, devenir mères.
L’Organisation mondiale de la santé a publié son rapport annuel sur le paludisme le 19 novembre. Si le nombre de cas à l’échelle semble stagner par rapport à 2017 et même diminuer sur certains continent, l’Afrique reste en première ligne face au fléau.