L’Organisation Mondiale de la Santé est une institution dépendant de l’Organisation des Nations Unies (ONU), dont la Constitution est entrée en vigueur le 7 avril 1948. Selon celle-ci, l’objectif principal de l’institution est d’amener chaque être humain à un niveau de santé le plus élevé possible, car elle constitue « l’un des droits fondamentaux de tout être humain, quelque soit sa race, sa religion, ses opinions politiques, sa condition économique ou sociale ». Son siège se situe à Genève, en Suisse.
Dans son dernier rapport, fin mai, l’Organisation mondiale de la Santé fait le point sur l’espérance de vie dans le monde. L’occasion de constater les progrès opérés et le chemin restant à parcourir, notamment en Afrique.
C’est désormais une certitude. La souche du virus Zika qui affecte l’Amérique du Sud est bien présente au Cap-Vert, premier pays du continent contaminé par la récente flambée de l’épidémie. Voici ce qu’il faut savoir à l’heure actuelle de la présence de Zika en Afrique.
Alors que le Cap-Vert connaît depuis des mois une épidémie du virus Zika et qu’un premier cas suspect de microcéphalie chez un nouveau-né a été détecté en mars, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a confirmé vendredi qu’il s’agissait de la même souche de Zika que le virus qui sévit en Amérique du Sud.
Si le virus Ebola responsable de la mort de plus de 11 300 personnes a clairement faibli et n’est plus considéré comme une « urgence de santé publique » mondiale, il n’a pas totalement disparu d’Afrique de l’Ouest.
Les autorités sanitaires togolaises ont révélé lundi que deux cas de contamination à la fièvre hémorragique de Lassa avaient été confirmés dans le nord du pays. Il s’agit des premiers cas connus de cette maladie dans le pays depuis son identification au Nigeria en 1969.
L’action de la principauté est passée du caritatif à une véritable aide au développement, ciblée sur dix pays du continent et dotée d’un budget de 16 millions d’euros.
Pour Chris McAllister, directeur régional de British American Tobacco, la contrebande de cigarettes est un fléaux qui engendre un manque à gagner pour les États et représente un facteur de déstabilisation.
Les quatre derniers patients atteints par Ebola au Liberia ont été jugés guéris lundi. Sans aucun cas connu, le pays est officiellement libéré de la maladie, après qu’elle a fait un bref retour fin juin. La prudence est donc de mise.
Le Liberia en a fini officiellement samedi avec l’épidémie d’Ebola, a annoncé l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), appelant cependant à rester vigilants en raison de la présence du virus en Guinée et en Sierra Leone voisine, même si le nombre de nouveaux cas est en net recul.
L’épidémie de peste qui sévit à Madagascar depuis septembre 2014 a coûté la vie à 71 personnes sur un total de 263 cas recensés, selon un rapport de l’Organisation mondiale de la santé (OMS).
Le nouveau chef de la Mission de l’ONU pour la lutte contre Ebola (UNMEER), Ismaïl Ould Cheikh Ahmed et un haut responsable de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) ont estimé vendredi en Sierra Leone que le pays avait désormais les moyens de juguler l’épidémie.
Le nombre des morts dues à l’épidémie de fièvre hémorragique Ebola en Afrique de l’Ouest s’élève à 7 373 sur un total de 19 031 cas enregistrés dans les trois pays les plus touchés, selon le dernier bilan actualisé samedi de l’Organisation mondiale de la santé avec des données fournies jusqu’au 16 décembre.
L’OMS a annoncé l’apparition de cas de peste à Madagascar et mis en garde contre le danger qu’elle se développe rapidement dans la capitale Antananarivo.
« L’épidémie (d’Ebola) a été stoppée au Nigeria. Il s’agit d’une réussite spectaculaire qui montre au monde entier que l’Ebola peut être stoppé », a déclaré lundi le représentant de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) au Nigeria, Rui Gama Vaz, lors d’une conférence de presse à Abuja.
Selon l’OMS, l’épidémie d’Ebola pourrait infecter 5 000 à 10 000 nouvelles personnes par semaine en Afrique de l’Ouest. Quant au taux de mortalité des malades contaminés, il peut atteindre 70% dans les trois pays les plus touchés : Liberia, Sierra Leone et Guinée
Margaret Chan, la directrice générale de l’OMS, a appellé jeudi les dirigeants de la planète à agir avec plus de détermination pour enrayer l’épidémie d’Ebola qui frappe l’Afrique de l’Ouest.
Alors que les autorités congolaises affirment que l’épidémie est « en bonne voie d’être maîtrisée », l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a estimé mardi qu’il était prématuré de faire des prédictions sur l’évolution d’Ebola en RDC.
Dans la lutte contre le virus Ebola, qui a déjà fait 2 630 morts, selon le dernier bilan de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), la recherche d’un sérum a provoqué des effets pervers. L’OMS a ainsi dénoncé un nouveau commerce : celui du sang de personnes ayant survécu au virus. Explications.
Tandis que l’épidémie d’Ebola ne cesse de s’étendre en Afrique de l’Ouest, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a proposé huit traitements ainsi que deux vaccins expérimentaux à développer au plus vite, à l’occasion d’une réunion organisée jeudi et vendredi à Genève.
Le bilan de l’épidémie d’Ebola que connaît la RDC depuis le 11 août est officiellement passé à 31 morts. Mais la zone touchée, dans la région de l’Équateur, est enclavée ce qui freine la propagation du virus.
Un expert de l’Organisation mondiale de la santé, opérant en Sierra Leone pour lutter contre l’épidémie d’Ebola, a contracté le virus à l’origine de la fièvre hémorragique, selon un communiqué publié dimanche par l’OMS.
L’ONU et l’Organisation mondiale de la santé (OMS) ont promis samedi des moyens « sans précédent » au Liberia pour faire face à la propagation foudroyante du virus Ebola, qui menace les acquis de dix ans de paix dans le pays.
L’épidémie d’Ebola a atteint une telle vitesse de propagation qu’il faudra de six à neuf mois pour l’arrêter, a prévenu vendredi un haut responsable de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) au Liberia, le pays le plus touché, où plus aucune région n’est épargnée.
Alors que les États-Unis vont envoyer au Liberia des échantillons du sérum expérimental, dit « ZMapp », le comité d’éthique de l’OMS a approuvé mardi l’emploi de traitements non homologués.
Pour mieux lutter contre l’épidémie d’Ebola, le Liberia et le Sierra Leone, deux pays en état d’urgence face au virus, ont décidé jeudi de placer en quarantaine trois villes de la zone contaminée, fermant des routes et des lieux de loisirs.
L’Organisation mondiale de la Santé a exhorté vendredi à une mobilisation internationale contre le virus Ebola, qui « avance plus vite » que les efforts pour l’endiguer, lors d’un sommet à Conakry réunissant les trois principaux pays touchés, Guinée, Liberia et Sierra Leone.