L’Organisation des Nations unies compte 193 États-membres (sur les 197 qu’elle reconnaît). Fondée en 1945 au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, elle a pour finalité la paix internationale.
La commission d’enquête de l’ONU sur le Burundi a accusé le 27 juin la ligue des jeunes du parti au pouvoir, les Imbonerakure, d’être la principale responsable des exactions commises durant la récente campagne pour le référendum constitutionnel.
Au Conseil de sécurité des Nations unies, l’émissaire onusien en Centrafrique a affirmé que la Minusca est « débordée » et que « les menaces contre le personnel du maintien de la paix continuent de s’accroître ».
Les États-Unis accusent l’institution basée à Genève d' »hypocrisie » et de parti pris contre Israël. Leur décision a été aussitôt dénoncée par des organisations de défense des droits humains.
Les Pays-Bas ont annoncé vendredi 15 juin qu’ils se retiraient de la mission de maintien de la paix de l’ONU au Mali, à laquelle ils participent depuis 2014 avec 250 soldats déployés sur le terrain.
Le Conseil de sécurité a sanctionné jeudi 7 juin six chefs de réseaux de trafiquants de migrants actifs en Libye. Ce processus qui représente une première pour l’ONU avait été retardé par une demande de précisions de la Russie, selon des diplomates.
L’explosion démographique en Afrique risque d’anéantir la croissance économique (+ 5 %) dans la région si les investissements nécessaires ne sont pas réalisés pour éduquer, soigner et offrir des emplois décents aux jeunes africains de moins de 35 ans.
La coalition d’opposition qui a fait campagne au Burundi pour le « non » lors du référendum du 17 mai a déposé jeudi un recours en nullité devant la Cour constitutionnelle, estimant que la consultation n’avait pas été « libre ».
Si le directeur général des relations multilatérales du ministère des Affaires étrangères, Alcide Djédjé, a les faveurs du chef de la diplomatie ivoirienne pour succéder à l’ancien ambassadeur ivoirien décédé mi-avril, le président Ouattara n’a pas encore validé ce choix.
Pour l’ambassadrice itinérante du Maroc, il est nécessaire de créer des organes multilatéraux afin de désamorcer les conflits avant qu’ils ne dégénèrent. L’ONU ne peut pas tout gérer seule, selon Assia Bensalah Alaoui.
Dans un rapport rendu public lundi, l’ONU fait un point très critique sur l’avancée du processus électoral mené par la Ceni en RDC, sur financements du gouvernement congolais.
Les corps de quatre accompagnateurs congolais de deux experts de l’ONU tués au moment où ils enquêtaient sur des violences au Kasaï, dans le centre de la RDC, ont été retrouvés lundi 7 mai par la justice militaire.
Après de multiples retouches, une nouvelle résolution concernant le conflit du Sahara devrait être soumise au vote du Conseil de sécurité d’ici lundi 30 avril, au plus tard. Le texte remanié prévoit un prolongement du mandat de la mission onusienne de six mois seulement et appelle à une reprise de négociation d’ici la fin de l’année.
Le Conseil de sécurité des nations unies doit se pencher, mercredi 25 avril, sur un projet de résolution sur le Sahara occidental porté par l’Espagne, la France, le Royaume-Uni et les États-Unis. Rabat est à l’offensive diplomatique.
De violentes explosions ont retenti dimanche à Tombouctou, dans le nord du Mali, non loin de bases de casques bleus et de militaires français. Celles-ci avaient été prises pour cible le week-end dernier.
Après la chute de Kadhafi, l’ONU a tenté de mettre au point des solutions parfois imposées ou négociées officieusement afin de résoudre la crise. Depuis le 5 avril, les Nations unies ont décidé de donner la parole aux citoyens en organisant des consultations à travers le pays. Et des centaines de participants affluent…
Selon nos sources, Jamal Benomar, ancien militant de l’extrême gauche marocaine et conseiller spécial de l’ONU, en retrait depuis 2017, s’est vu confier une nouvelle mission : il sera chargé de renforcer la diplomatie dans la résolution des conflits en Afrique et au Moyen-Orient.
La mission de l’ONU en Centrafrique (Minusca) a ouvert une enquête après l’arrestation vendredi d’un Casque bleu soupçonné de s’être livré à un trafic des munitions, a annoncé samedi la mission de l’ONU.
Refusant toujours de participer à la conférence des donateurs pour la RDC, prévue le 13 avril à Genève pour financer les actions humanitaires dans le pays, Léonard She Okitundu, ministre congolais des Affaires étrangères, menace les ONG qui accepteraient cet argent de se voir interdire de travailler dans le pays.
Des affrontements entre des milices du quartier musulman PK5 à Bangui et une patrouille composée de Casques bleus et de soldats centrafricains ont fait au moins 19 morts et une centaine de blessés mercredi.
Les Nations unies ont annoncé leur intention d’identifier les Maliens » ceux qui font obstruction à la mise en oeuvre de l’accord de paix », en vue de leur imposer des sanctions, ont annoncé mercredi la France et les États-Unis.
L’OCHA a annoncé jeudi la désactivation, d’ici le 20 avril, du L3, le niveau d’urgence humanitaire extrême, attribué fin 2017 à la RDC. Un « rétropédalage », selon Kinshasa. Mais est-ce vraiment le cas ?
Si l’ONU incite fortement à la tenue, cette année, d’un référendum constitutionnel et d’élections présidentielle et législatives en Libye, cette perspective pourrait ne pas être la solution. L’ONU ne semble en effet pas avoir retenu les leçons de ses errements répétés.
Tirs à balles réelles dans la foule, arrestations arbitraires, dissimulation de cadavres… Un rapport des Nations unies revient sur la répression menée pendant un an par les forces de sécurité congolaises face aux manifestations contre le régime du président Joseph Kabila.
Bien des organisations internationales sont passées maîtresses dans l’art du communiqué de presse attristé, soucieux, parfois indigné, au sujet de la résolution des crises qui secouent le continent. L’effet sur la stratégie des régimes répressifs ou des groupes armés est pourtant quasi nul.
Un an après la mort des deux experts de l’ONU, Zaida Catalán et Michael Sharp dans le Kasaï, un de leurs collègues dénonce les erreurs commises dans la première enquête conduite par les Nations unies.