L’Organisation des Nations unies compte 193 États-membres (sur les 197 qu’elle reconnaît). Fondée en 1945 au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, elle a pour finalité la paix internationale.
Alors que le Hamas a répété, le 10 décembre, qu’aucun otage ne quitterait Gaza autrement que dans le cadre d’échanges de prisonniers, les combats ont repris ce lundi matin. Dans la nuit, l’aviation israélienne a frappé des quartiers de Damas, affirmant qu’ils abritaient des bases du Hezbollah.
À l’heure où l’armée israélienne poursuit son avancée dans le sud du territoire palestinien contrôlé par le Hamas, une résolution doit être votée au conseil de sécurité des Nations unies afin d’assurer la sécurité des civils et de permettre leur prise en charge médicale.
Après avoir détruit le nord de Gaza, l’armée israélienne frappe désormais le Sud, vers lequel Tsahal avait conseillé aux Palestiniens de se déplacer pour ne pas être tués dans les bombardements.
Mary Lawlor, rapporteuse spéciale de l’ONU chargée de la situation des défenseurs et défenseuses des droits humains, est en Algérie. Au menu de sa visite : des entretiens avec les autorités et avec des militants, dont certains sont emprisonnés. Elle rendra un rapport en mars 2024.
Rivalité stratégique entre superpuissances, invasion de l’Ukraine par la Russie, guerre israélo-palestinienne… La COP28 s’ouvre dans un contexte géopolitique particulier. Les négociations sur le climat pourraient en pâtir.
Bilan de l’Accord de Paris, financement du climat dans les pays en développement, sortie des énergies fossiles… Alors que s’ouvre la COP28, les questions en suspens sont nombreuses.
À l’initiative du Nigeria, une nouvelle convention fiscale internationale a été massivement adoptée par une majorité franche de pays en développement. Dont 51 États africains.
La Mission de maintien de la paix de l’ONU en RDC (Monusco) a déclaré le 22 novembre qu’elle avait signé avec Kinshasa un plan de retrait de ses troupes.
Le président tunisien adopte une position particulièrement intransigeante à l’égard d’Israël tout en s’opposant, chez lui, à une loi qui criminalise la moindre normalisation des relations avec l’État hébreu. Un grand écart qui ne fait qu’accentuer son isolement.
Il a été assassiné il y a tout juste soixante ans. « JFK », premier président des États-Unis à saisir l’importance de l’Afrique, a séduit Nyerere, Nkrumah, Houphouët, Sékou Touré, Ben Bella, Hassan II, Bourguiba… Et été impuissant à retirer Lumumba des griffes de la CIA.
Le président sortant ne regrette rien des années passées à la tête du pays. Ni sa décision de ne pas briguer un nouveau mandat, ni la confiance accordée à Amadou Ba, son dauphin, ni même la solitude du pouvoir ou la virulence des coups portés par ses adversaires, à commencer par le premier d’entre eux, Ousmane Sonko. Interview exclusive.
Au 43e jour des confrontations entre Israël et le Hamas, qui ont déjà fait quelque 12 000 morts, l’État hébreu resserre un peu plus l’étau sur Gaza. Pour Skander Ounaies, il est encore temps d’éviter le désastre annoncé, et de contrer la rupture définitive qui se profile entre le monde arabe et l’Occident.
Plusieurs centaines d’avocats issus du monde entier ont déposé une plainte devant la Cour pénale internationale. Si cette instance a déjà ouvert une enquête depuis plusieurs années, celle-ci est restée au point mort. Les détails.
En dépit des critiques, le Parlement kényan a approuvé jeudi 16 novembre le déploiement d’un millier de policiers en Haïti, pays plongé dans la violence des gangs, dans le cadre d’une mission soutenue par l’ONU.
Après les États-Unis et l’Union européenne, c’est au tour des Nations unies de demander aux autorités burkinabè d’enquêter sur le massacre d’une centaine de civils dans ce village du Centre-Nord, début novembre.
Cinquante ans après le premier sommet France-Afrique, Paris est dans l’incapacité de sortir de ses paradigmes postcoloniaux et de formuler une politique cohérente en Afrique. Se pose-t-on, à l’Élysée, les questions nécessaires ?
L’élection du 25 février marquera-t-elle une troisième alternance ou un changement dans la continuité ? Pour plusieurs candidats, elle sera en tout cas le scrutin de la dernière chance.
Que les pollueurs paient, que les pourparlers aboutissent, c’est le message envoyé par les militants écologistes réunis samedi 11 novembre dans la capitale kenyane, en marge de la réunion de l’ONU qui s’ouvrira lundi sur le sujet.
La pollution au plastique, détectée dans le corps humain comme au fond des océans, doit faire l’objet d’âpres négociations à Nairobi pour parvenir à un traité international contraignant.
Ces fenêtres de « quatre heures sans opérations militaires », selon les États-Unis, permettront aux civils de fuir cette partie de la bande de Gaza, où les combats et les bombardements se concentrent, pour rejoindre le sud du territoire contrôlé par le Hamas.
Le Premier ministre israélien a rejeté une nouvelle fois cette possibilité, alors que le territoire palestinien sous contrôle du Hamas est devenu selon l’ONU « un cimetière pour les enfants ». Benjamin Netanyahou a promis d’y prendre la « responsabilité générale de la sécurité » après la guerre qui entre, ce 7 novembre, dans son deuxième mois.
En indiquant que la loi tunisienne contient déjà toutes les dispositions nécessaires, le président Kaïs Saïed pensait mettre fin aux débats parlementaires visant à criminaliser tout acte de normalisation avec Israël. Il n’empêche : les députés ne l’entendent pas de cette oreille.
Il y a tout juste dix ans, les journalistes français Ghislaine Dupont et Claude Verlon étaient assassinés à Kidal, dans le nord du Mali, dans des circonstances encore non élucidées.
Deux jours avant le vote, à l’ONU, portant sur le renouvellement du mandat de la Minurso, des « tirs de projectiles » ont fait un mort et trois blessés, dans la nuit du 28 au 29 octobre, à Smara. Quelles sont les implications de cette attaque d’un nouveau genre revendiquée, depuis, par le Polisario ?
Conseiller principal du président Erdogan, Akif Çagatay Kiliç est l’une des personnalités les plus influentes du pouvoir turc. Position d’Ankara sur les putschs, groupe Wagner, situation au Soudan ou en Libye… Il évoque ces dossiers chauds, en exclusivité pour JA.
Pour ces diplomates marocain et algérien, l’ONU est devenue un ring de boxe, où ils échangent uppercuts et directs du droit. Au centre de leurs échanges, un sujet revient plus souvent que les autres : la question du Sahara.